L'âne d'or d'Apulée: avec Le démon de Socrate, Volumen2M. Brunet, 1736 |
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... ment à Hippate , nous n'avons rien à craindre , & nous fommes en toute fureté ; car après que vous en fûtes partis pour revenir ici chargés de butin , je me fourrai parmi le peuple , & faifant fem- blant d'être touché , & même indigné ...
... ment à Hippate , nous n'avons rien à craindre , & nous fommes en toute fureté ; car après que vous en fûtes partis pour revenir ici chargés de butin , je me fourrai parmi le peuple , & faifant fem- blant d'être touché , & même indigné ...
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... ment . Que dis - je ? elle s'attache à fuivre ceux qu'elle fuiroit con- tinuellement , fi elle voyoit clair ; & ce qui eft de plus cruel , elle nous donne ordinairement une réputation que nous ne devons point avoir , & qui eft même ...
... ment . Que dis - je ? elle s'attache à fuivre ceux qu'elle fuiroit con- tinuellement , fi elle voyoit clair ; & ce qui eft de plus cruel , elle nous donne ordinairement une réputation que nous ne devons point avoir , & qui eft même ...
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... tous les voleurs , d'un commun confente- ment , l'élurent pour leur chef , & lui présenterent un habit un peu plus propre que les leurs , afin qu'il qu'il s'en revêtît , & qu'il quittât fes vieux haillons 16 L'ANE D'OR.
... tous les voleurs , d'un commun confente- ment , l'élurent pour leur chef , & lui présenterent un habit un peu plus propre que les leurs , afin qu'il qu'il s'en revêtît , & qu'il quittât fes vieux haillons 16 L'ANE D'OR.
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... je me croirois coupable , fi je ne vous difois pas mon fentiment fur ce qui regarde vos intérêts . Permet- tez - moi donc , puifque c'est pour Tome II . B > votre bien , de vous dire libre ment ce que D'APULEE . LIV . VII . 17.
... je me croirois coupable , fi je ne vous difois pas mon fentiment fur ce qui regarde vos intérêts . Permet- tez - moi donc , puifque c'est pour Tome II . B > votre bien , de vous dire libre ment ce que D'APULEE . LIV . VII . 17.
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avec Le démon de Socrate Apuleius. votre bien , de vous dire libre ment ce que je penfe , d'autant plus que vous êtes toujours les maîtres de retourner à votre pre- mier avis , fi le mien ne vous plaît pas . Cependant je fuis perfuadé qu ...
avec Le démon de Socrate Apuleius. votre bien , de vous dire libre ment ce que je penfe , d'autant plus que vous êtes toujours les maîtres de retourner à votre pre- mier avis , fi le mien ne vous plaît pas . Cependant je fuis perfuadé qu ...
Términos y frases comunes
affez ainfi ainſi âne animaux Apulée auffi auffi-tôt avoient avoit bêtes c'eft c'eſt c'étoit Carite caufe cauſe chofe choſes confeil confiderable corps coup crime cruelle Décurion Déeffe deffein déja devoit Dieux difant difcours differentes difoit Divinité écou efclaves efpece efprit enfuite eſt étoient étoit facrés faifant faifoient faifoit fainte fang fans fant fcélérat fecours fecret femble femme fent fervir feul fi-tôt fille foient foin foit fommeil fon mari fonge font fortune fouffrir fous fouvent fuis fuivant fupplice j'ai j'avois j'étois jeune homme jour joye jufqu'à l'efprit laiffer long-tems lumiere main maiſon malheureux maniere mauvaiſes Medecin même-tems ment MICHEL BRUNET mort n'avoit n'eft nuit paffer païfans païs perfonne peuple plaifir Platon plufieurs plûtôt pofée pouvoit préfentement Prêtres puiffe reçû refte reux rouge couleur ſes Socrate ſon ſur tems tems-là terre tête Thrafile tion Tlépolême Tullianum valet venoit vifage voleurs vûë
Pasajes populares
Página 295 - Enfuite celle que fes armes faifoient connoître pour Pallas, étoit fuivie de deux jeunes hommes armés, & tenans leur épée nue à; la main , ils repréfentoient la Terreur & la Crainte, qui accompagnent par tout la DéefTedes com~ Bb iiij D'un bcts.
Página 296 - Pallas remuant la tête , 6c marquant dans fes yeux une noble fierté, s'avance en danfant, avec beaucoup d'action, & fait entendre à Paris par des geftes pleins de vivacite , que s'il lui accorde la victoire fur fes rivales, elle le rendra fameux par fa valeur & fes grands exploits.
Página 293 - Paris, avec une grande mante, brodée de couleurs différentes, & fur f» tête un bonnet d'étoffe d'or. Enfuite parut un jeune garçon fort gracieux , qui n'avoit pour tout habillement qu'un petit manteau fur l'épaule gauche. De fes cheveux blonds , qui étoient parfaitement beaux , fortoient deux petites aîles dorées, & femblables l'une à l'autre. Le caducée qu'il tenoit en fa main faifoit concoure que c'étoit Mercure.