Goût d'un pays mêlé avec celui du peuple de qui il a tiré fes lu- miéres. LXIII. 171. & LXXIII. 3. 188. Ce qui fait connoître le goût d'un peuple. Avert. pag.vij. Com- paraifon de la différence du goût des peuples avec celle qui eft en- tre les couleurs primitives. ibid. pag.viij. Pourquoi les verres & les vales de terre cuite font connoî- tre le goût national. ibid. Goutte-feréne, ou paralyfie du nerf optique. xc. 3. 227 Graces. Leurs ftatues drappées. XLIX. I. 131. & LIII. 2. 141. Leurs fta- tues en bois avec des habits do- rés, le vifage, les pieds, & les mains de marbre blanc. ibid. Grainetis fur les tranches d'un can- délabre. LXXXII.1.207. & LXXXIII. 208
Gratus. [Julius] LXXII. 3. Gravelle. [M. de] Examen de fon fentiment au fujet d'une pierre gravée, qui repréfente, felon lui, Ajax & Caffandre. LVI. 2. 153 Graveurs Romains n'ont pas tou- jours mis leurs noms fur leurs ou-
fe font écartés du goût pour le grand, qui faifoit le caractère des Egyptiens. 119. Ce qui fortoit des mains des Grecs étoit plus élé- gant. Ils excelloient dans les Arts dont l'objet eft de plaire par l'i- mitation. ibid. Rareté des ouvra- ges du grand Grec. 120. Le filence des Grecs fur les Etrufques fem- ble prouver qu'ils avoient em- prunté de ceux-ci plufieurs ufa- ges. LIV. 4. 148. Rome s'eft trou- vée remplie d'Artiftes Grecs, prin- cipalement fous les Empereurs. 159. Les caractères Grecs ont été formés des Phéniciens. xxi. &c.
Pierres lines copioient ordinaire- Habillement le plus commun des
ment les meilleures ftatues. XLVI. 126
Gravure des pierres, connue des Egyptiens. 6. & des Etrufques.79. Gravûre en bois comparée à une manœuvre des Ouvriers en terre cuite parmi les Etrufques. XXIX. 1. 87. Gravûres ne peuvent faire connoître le goût national. LXXXV. 2. 212. Utilité de la Gravûre pour la confervation des monumens antiques. Avert. pag. v. Grecs. Ils s'écartérent du goût &
des ufages Egyptiens. 79. Leur vanité: 117. & 118. Leur Reli- gion, leurs Arts & leur Gouver- nement empruntés des Egyptiens. Temples dans la Gréce dédiés à Ifis, à Sérapis & à d'autres Divi- nités Egyptiennes. ibid. Les Grecs
Etrufques. xxxvii. Hache des anciens habitans du Pé- rou. LXI. 2. 168. Hache d'armes. 197
Hadrien. Voyez Sauveur. Hadrien fe
confacra à lui-même un autel dans la ville d'Athènes. xx. 1. 62. On lui donne dans deux infcrip- tions le titre de óral.ibid. Au- tel que l'on croit avoir été élevé en l'honneur de ce Prince. ibid. 61. Hadrien représenté fur un camée avec un lion qu'il combat. LI. 3. 138. Hadrien protecteur des Arts. 159. & LXIX. 1811 Harpocrate porte la main gauche à la bouche. VII. 1. 25. Deux figures de ce Dieu qui offrent quelques variétés. VIII. 1. & 2. 28. Voyez
Hermaphrodite ou la Nature. xxxvIII.
rempli de fruits, & paroît être une Divinité qui préfidoit à quelque faifon. XLII. 3. 111 Hermès. Ses Livres écrits en caractères hieroglyphiques. VI. I. 24 Hermophilus. Le collyre de fon invention cité par Galien. xc.3. 226 Héros Grec allant avec fes armes aux exercices publics. XLIX. 3.132 Hefperides [pommes des] dans la main d'Hercule. LX. 2. Heures. Déeffes. LI. 2. 137 Hieroglyphes. Les Egyptiens ne difpofoient pas toujours leur écriture hieroglyphique de la même ma
niére. xix. 59. Warburton a détruit l'erreur où l'on étoit que les PrêtresEgyptiens avoient inventé les hiéroglyphes pour cacher leur fcience. xxi. &c. 70. Quelques hieroglyphes ont paffé dans l'écriture courante des Egyptiens, fans éprouver le moindre changement. ibid. 72 Hippopotame de bronze, dont l'ouvrage eft Romain. II. 3. 13 Hiftoire. Les difficultés hiftoriques font fouvent expliquées par des monumens antiques. Avert.pag.ij. Homère utile aux Artistes. xxx. 3. 91. Il a été admiré chez les Etrufques. 98 Honorius, Empereur, porté fur les épaules de quelques jeunes gens de qualité. vII.2. 26 Horus & Harpocrate représentés comme déux Divinités différentes. VII. 1. 25. Horus, Harpocrate & le Soleil n'étoient qu'une même chose. vi. 1. & 2. 30. Horus affis fur la fleur du lotus. 1x. 1. 32 Houlette. Symbole d'Ifis. vI. I. Hydrauliques. [machines] Les ancjens Auteurs en parlent. LXXIV.
189 Hymette. Il y a fur ce mont un Monaftère de S. Jean. Expl. des Vign pag. xix.
Ambes. Pourquoi réunies dans les ftatues Egyptiennes. Japon. Voyez Chine. Javelot [fer de ] de bronze. xcii. 5.
des Etrufques. LIV. 4. Images des Ancêtres chez les Ro- mains. C'étoient des buftes.Ufage à cette occafion. LXXXI. I. 200. De quelle matiére étoient ces images. ibid. Imaguncula. Ce mot, auffi-bien que celui de Plaguncula, fignifie dans les Lettres de Cicéron à Atticus, de petites poupées de cire qui re- préfentoient les perfonnes au na- turel. LXXV. &c. Imitation des Auteurs & des Artiftes Grecs. LIII. 141. On imitoit les camées, ou plûtôt les agathes de deux ou de trois couleurs. xcvii. 1. 264. Imitation des pierres fines & de certains verres antiques. 293
Impetus. Explication de ce mot en termes de Médecin-Oculifte. xc. 226 3.
Imprimerie. Il est étonnant que les anciens Romains ne l'aient pas inventée, puifqu'ils faifoient des cachets, fur lefquels ils gravoient des caractères évuidés avec la faillie fuffifante pour leur faire prendre la couleur, fans que le fond pût marquer, &c. xciv. 6. 254. & 255. L'Imprimerie ne dif- fère de cette gravure que par la mobilité des caractères. Si les An- ciens euffent porté leur invention jufqu'à l'Imprimerie, leurs plan- ches n'auroient été travaillées que d'un côté. ibid. Incrustation pratiquée par les An- ciens fur des pierres fines. LXI. I. 167. & 168. & LXXI. 2. 185. Sur du verre. Voyez Verre. Incrufta- rion d'émail dont les murailles étoient revêtues. LXXIX. I. 192. Incrustation de métaux. LXXXIX.
Infernal. Divinités infernales. Voyez Ailes.
Infcriptions fur les ftatues mêmes chez
les Etrufques & les Egyptiens. 78 Intempérie des faifons, Elle infpire
Ionique. [Ordre] Son chapiteau. Voyez Ove.
Jofepin a deffiné la pierre gravée ou
le camée du N°. 2. de la Pl.LI. 137 Iota a été ajoûté au Datif Dorique: dans la fuite on le fouscrivit. Voyez Onga.
fiaque. [Table] Les Cercopithéques qu'on y voit ne tiennent point la table chargée d'hieroglyphes qu'on voit dans la Pl. xvi. 2. SI is de bronze, dont la coëffure eft finguliére. IV. 1. & 2. 17. Buftes d'lfis. IV. 3.18. & 19. Cette Déeffe eft ordinairement représentée af- fife. v. 2. 20. Sa puiffance. vI. I. 22. Elle a été prife pour le bon Génie. ibid. Ses Miniftres paroif- foient en certaines cérémonies avec les fymboles des Divinités les plus puiffantes. VI. 4. 24. Tête d'Ifis faite de terre, & accompa- gnée de la dépouille d'une poule de Numidie. xv. 4. 50. Ifis avec la figure d'Ofiris placée debout devant elle. Expl. des Vign.pag.xv. fochrufa. Explication de cette épi- thete de certains collyres. xc. 3.
Julien l'Apoftat rétablit le culte des Divinités Egyptiennes. Médailles
fur lefquelles il a la forme de Sérapis, & où fa tête eft en regard avec celle d'Ifis, comme fur la plaque de bronze de la Pl.LXXXVI.
par Polydore, Athénodore & Agefander, Sculpteurs de Rhodes. LVI. 4. 154 Laraire. Taureau confacré dans un Laraire. LXIV. 2. 174 Lares. Pendant les Saturnales on couvroit de petits mafques le vifage des Dieux Lares. LIV. 4. 146 Larves ou Lémures. x. 1. 36 Lene. Epithéte d'un collyre. xc. 3.
Lettres Egyptiennes n'étoient que des hieroglyphes fimplifiés & modifiés par le befoin & par l'ufage. XXI. &c. 70. Monumens fur lefquels fe trouve peut-être tout l'alphabet Egyptien. 71. Examen
Kircherianum. [Mufeum] Le P. Lides lettres Egyptiennes avoir id
Bonanni en a été l'éditeur.LXXXII.
4. C. Lubens curavit. LXXII.3.186 Labourage. Le cochon en a fait naître l'idée. xxXV. I. Labyrinthe. Les deux labyrinthes & les ruines de Thèbes font dignes d'admiration. 4 Lacrymatoire [urne] de verre blanc. XCIX. 5. 272. & cII. 3. 245 Lacrymatum, diftillé.Epithéte du col
lyre appellé Melinum. xc. 3. 230 Lait dans une urne de verre blanc, trouvée dans le tombeau d'un enfant. LXXX. 2. 198 Lambert. [le Préfident] Son goût pour les belles choses. LXIX. 182 Lampadiftes. Voyez Courfe du flambeau, fous Flambeau. Lampes fépulchrales de Pietro Santi Bartoli. LXXIII. 1. 187. Lampe de plâtre. xc. 1. 221. Trois lampes Romaines. xc1.232. Lampe à trois {lumignons. XCII. 3. 234. Lampe de chambre. XCIII. 3. Lance de bronze. xcvi. 3. Laocoon. Fameux grouppe compofé
noms de ceux où l'on a découvert des Antiques. Ligne. [portée de la] Voyez Ecriture. Lion. Sur quoi étoit fondée la coùtume des Egyptiens de terminer par des têtes de lion les tubes & les autres conduites qui portoient l'eau dans leurs bains, & le vin dans leurs preffoirs. xvII. 1. & 2. 52. Lions ailés fur les monumens Etrufques & Egyptiens. 78. Tête de lion imprimée fur la platterie la plus commune des Etrufques. XLIII. S. 113
Lit. Trois différens lits d'une agathe-onyce de trois couleurs. LII.
MAnalius, [mont] fur lequel
on s'imaginoit entendre Pan jouer de la flûte à plufieurs tuyaux. L.
134 Magoula. Autels qu'on y a trouvés. XIX. & xx. 1. 61. & 62 Majault. [M.] Ses expériences fur les verres coloriés des Anciens. cvII. 298 Maillet [M.] a envoyé en France une bande de toile tirée d'une mumie. xxi. &c. 71. Voyez Momie. Mains croifées d'Ifis. vi. I. Manche de couteau terminé par une tête de bélier. XCII. 4. 234 Mandrin. Combien il étoit néceffaire pour foûtenir les coins des mé- dailles antiques. cv.1.284. & 285 Manganeze. Même matiére que la terre bolaire des Etrufques. xxix. 86
Mariage. Cochon immolé chez les Etrufques dans les cérémonies du mariage. xxxv. 1. Martial cité au fujet du trochus. 203
Martiale ou bolaire. [terre] Voyez Bolaire.
Mafcarons. Ce que c'eft. xcvIII. I.
266 Mafque ou fauffe tête. x. 1. 35. Maf- que de fycomore qui avoit été mis à plat fur les bandelettes qui couvroient le vifage d'un mort. XI. 3. 41. Mafques relevés fur le haut de la tête, & qui laiffent voir à découvert les vifages de deux Acteurs. LIV. I. 145. Mafque d'une Actrice. LIV. 2. 145. A quoi fervoient les grandes boucles de cheveux qui pendoient fur le cou des Acteurs mafqués. ibid. & 146. Les Romains ne chargeoient pas toûjours avec excès les mafques des vieillards. LIV. 3. 146. Les Egyptiens n'ont pas connu les mafques. ibid.4. 147. Ils furent in- ventés enGréce par Efchyle, felon Horace, qui eft contredit par Ari- ftote. ibid. Les Grecs reçûrent des Etrufques l'ufage des mafques.ibid. Les mafques fervoient quelque- fois à couvrir le vifage des Dieux Lares. LI. 4. & LXXIII. 4. 189 Maffe dont on fe fervoit à la guerre.
Médailles ne peuvent pas inftruire auffi parfaitement que la fculp- ture de la maniére dont les Da- mes Grecques & Romaines fe coëffoient.Lxxv.&c. 191.Le Pois, Savot & d'autres ont cru que les Anciens fe fervoient de coins &
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