Œuvres, Volumen11830 |
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... chef - lieu de l'ordre pour y enseigner la phi- losophie . L'abbé de Colbert ne tarda pas à la chériv il lui témoigna son estime en le nommant son secré- taire , et en lui conférant le prieuré de Joyenval . Cette distinction causa d ...
... chef - lieu de l'ordre pour y enseigner la phi- losophie . L'abbé de Colbert ne tarda pas à la chériv il lui témoigna son estime en le nommant son secré- taire , et en lui conférant le prieuré de Joyenval . Cette distinction causa d ...
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... .. 1 7 Cet ouvrage est regardé comme le chef - d'œuvre de l'auteur . La chaleur de son style n'est point factice comme celle de quelques historiens modernes . A l'exemple des bons écrivains de l'antiquité , il peint ses NOTICE.
... .. 1 7 Cet ouvrage est regardé comme le chef - d'œuvre de l'auteur . La chaleur de son style n'est point factice comme celle de quelques historiens modernes . A l'exemple des bons écrivains de l'antiquité , il peint ses NOTICE.
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... chef les armées de la république , on le voyoit souvent servir dans les mêmes armées sous son successeur . Il ne pouvoit rentrer dans le consulat qu'après un înterstice de dix ans ; et on évitoit de laisser cette grande dignité trop ...
... chef les armées de la république , on le voyoit souvent servir dans les mêmes armées sous son successeur . Il ne pouvoit rentrer dans le consulat qu'après un înterstice de dix ans ; et on évitoit de laisser cette grande dignité trop ...
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... chefs de parti : et pour attacher le soldat à leur fortune , ils dissimuloient ses brigandages , et négli- geoient la discipline militaire , à laquelle leurs an- eêtres devoient leurs conquêtes , et la gloire de la république . Le luxe ...
... chefs de parti : et pour attacher le soldat à leur fortune , ils dissimuloient ses brigandages , et négli- geoient la discipline militaire , à laquelle leurs an- eêtres devoient leurs conquêtes , et la gloire de la république . Le luxe ...
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... chef de la religion , et établit différentes lois avec le consentement de ses sujets . Il fait faire le dénombrement de tous les citoyens qu'il partage en trois tribus . Chaque tribu est ensuite divisée en dix cu- ries ou compagnies ...
... chef de la religion , et établit différentes lois avec le consentement de ses sujets . Il fait faire le dénombrement de tous les citoyens qu'il partage en trois tribus . Chaque tribu est ensuite divisée en dix cu- ries ou compagnies ...
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Términos y frases comunes
affaire Antium Appius armées assemblée auroit autorité Aventin avis avoient avoit Brutus buns camp campagne Cassius centuries Céson citoyens collègue conjuration consulaire consulat consuls convoquer Coriolan courage crime déclara dessein dettes devoient devoit dictateur dieux différents dignité Dionys discours dit-il ennemis ensuite Èques étoient étoit eût Fabius faisoient faisoit falloit faveur femmes romaines fût général gouvernement guerre Halicarn Herniques homme Icilius jeunes sénateurs justice l'assemblée du peuple l'autorité l'état liberté licteurs lois magistrats Ménénius ment multitude n'avoient n'avoit n'étoit n'y avoit ordres paix paroître parole partage des terres patriciens patrie père peuple romain plébéiens pouvoient pouvoir premiers prétexte publique puissance Quintius rent république Rome Romulus s'étoient Sabins sédition sénat sénateurs sénatus-consulte sentiment seroient seroit Servilius seul Siccius Sicinius soldats sorte suffrages Tarquin tion toyens tribunat tribuns triciens Tullus Tullus Hostilius tyrannie Valérius venoit Vertot Virginius Volsques vouloient vouloit voyoit
Pasajes populares
Página 242 - A peine est-il sorti de charge, qu'il se trouve accablé d'accusations. C'est ainsi que, par votre injuste plébiscite, vous avez ôté la vie à Ménénius, aussi grand capitaine que bon citoyen. Ne devriez-vous pas mourir de honte d'avoir persécuté si cruellement le fils de ce Ménénius Agrippa, à qui vous devez vos tribuns et ce pouvoir qui vous rend à présent si furieux?
Página 13 - Le magistrat comme le simple citoyen , l'officier et le soldat , porterent leur servitude où ils crurent trouver leur intérêt. Les légions de la république devinrent les légions des grands et des chefs de parti : et pour attacher le soldat à leur fortune , ils dissimuloient ses brigandages , et négligeoient la discipline militaire , à laquelle leurs ancêtres devoient leurs conquêtes , et la gloire de la république.
Página 3 - Ils élevoient leurs enfants dans cette vie dure, afin de les rendre plus robustes et plus capables de soutenir les fatigues de la guerre. Mais, sous des habits rustiques, on trouvoit une valeur incomparable, de l'élévation, et de la grandeur dans les sentiments. La gloire étoit leur unique passion , et ils la faisoient consister à défendre leur liberté, et à se rendre maîtres de celle de leurs voisins.
Página 2 - ... supérieurs et capables de les assujettir. Ceux qui étoient convaincus d'avoir employé d'indignes voies pour parvenir au commandement en étoient exclus pour toujours. Les charges et les emplois, si on en excepte la censure, n'étoient qu'annuels. Un consul, en sortant du consulat, ne conservoit d'autorité que celle que lui donnoit son mérite...
Página 50 - Ainsi le petit peuple se trouvoit sans pouvoir, quand on recueilloit les voix par centuries ; au lieu que quand on les prenoit par curies , comme les riches étoient confondus avec les pauvres , le moindre plébéien avoit autant de crédit que le plus considérable des sénateurs.
Página 7 - II, cap. 1. peuple ; et les consuls, après avoir acquis cette grande dignité par leurs brigues, ou à prix d'argent, n'alloient plus à la guerre que pour s'enrichir des dépouilles des nations, et souvent pour ravager euxmêmes les provinces qu'ils eussent dû conserver et défendre. De là vinrent les richesses immenses de quelques généraux.
Página 11 - ... par le prix des mets qu'on y servoit. Il falloit au travers des périls de la mer leur aller chercher les oiseaux du Phase ; et , pour comble de corruption , on commença , après la conquête de l'Asie, à introduire dans ces festins des chanteuses et des baladines. \ Les jeunes gens en faisoient l'objet de leurs ridicules affections ; ils se frisoient comme elles , ils affectoient même d'imiter le son de leur voix , et leur démarche lascive ; ils ne surpassoient ces femmes perdues que par...
Página 206 - avec les assurances de votre réconciliation , « avec quels transports de joie ne serai-je pas « reçue par nos concitoyens? Le peu de jours « que les dieux me destinent encore à passer « sur la terre , seront environnés de gloire et « d'honneurs. Mon bonheur ne finira pas même « avec cette vie mortelle ; et s'il est vrai qu'il « y ait différens lieux, pour nos âmes, après la « mort, je n'ai rien à craindre de ces endroits « obscurs et ténébreux où sont relégués les nsé« chans...
Página 45 - Il institua ensuite le cens, qui n'étoit autre chose qu'un rôle et un dénombrement de tous les citoyens romains, dans lequel on comprit leur âge, leurs facultés, leur profession, le nom de leur tribu et de leur curie, et le nombre de leurs enfants et de leurs esclaves.
Página 56 - Mais cette république naissante pensa être détruite dès son origine. Il se forma dans Rome un parti en faveur de Tarquin : quelques jeunes gens des premiers de la ville, élevés à la cour et nourris dans la licence et les plaisirs, entreprirent de rétablir ce prince. La forme...