Dictionnaire de pensées ingénieuses, tant en vers qu'en prose, des meilleurs écrivains françois: Ouvrage propre aux personnes de tout âge et de toute condition ...La veuve Duchesne, 1773 - 1121 páginas |
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... . Qu'avez - vous donc fait à Versailles ? Me difoit Cloris l'autre jour : Car enfin quatre mois de Cour Ne vous ont pas valu la maille . Eh ! mon Dieu , lui dis - je , A ij ABO 3 ABS L'abondance eft la fource de nos folies. ...
... . Qu'avez - vous donc fait à Versailles ? Me difoit Cloris l'autre jour : Car enfin quatre mois de Cour Ne vous ont pas valu la maille . Eh ! mon Dieu , lui dis - je , A ij ABO 3 ABS L'abondance eft la fource de nos folies. ...
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... enfin vous voilà mere : C'est un heureux préliminaire ; Cet enfant fi cher à nos vœux En annonce un plus cher encore : Ainfi le Soleil , dans ces lieux , Ne fe leve qu'après l'Aurore . ( Lattaignant . ) Plainte d'une femme qui ...
... enfin vous voilà mere : C'est un heureux préliminaire ; Cet enfant fi cher à nos vœux En annonce un plus cher encore : Ainfi le Soleil , dans ces lieux , Ne fe leve qu'après l'Aurore . ( Lattaignant . ) Plainte d'une femme qui ...
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... Enfin , que je lui dois toujours être fidele . Que fi cette beauté në veut vous recevoir , Allez où vous pourrez , je ne puis vous revoir ; Qu'ai - je affaire de vous , fi je n'ofe la fuivre ? Toutefois retournez pour foulager mon fort ...
... Enfin , que je lui dois toujours être fidele . Que fi cette beauté në veut vous recevoir , Allez où vous pourrez , je ne puis vous revoir ; Qu'ai - je affaire de vous , fi je n'ofe la fuivre ? Toutefois retournez pour foulager mon fort ...
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... Enfin tout ce qu'adore , en ma haute fortune , D'un courtifan flatteur la préfence importune , N'eft que de ces beautés dont l'éclat éblouit , Et qu'on ceffe d'aimer fitôt qu'on en jouit . L'ambition déplaît quand elle eft affouvie , D ...
... Enfin tout ce qu'adore , en ma haute fortune , D'un courtifan flatteur la préfence importune , N'eft que de ces beautés dont l'éclat éblouit , Et qu'on ceffe d'aimer fitôt qu'on en jouit . L'ambition déplaît quand elle eft affouvie , D ...
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... Enfin au Dieu nouveau qu'elle avoit introduit , Par les mains d'Athalie un temple fut conftruit . Jérufalem pleura de fe voir profanée . Des enfants de Lévi la troupe consternée En pouffa vers le ciel des hurlements affreux . Moi feul ...
... Enfin au Dieu nouveau qu'elle avoit introduit , Par les mains d'Athalie un temple fut conftruit . Jérufalem pleura de fe voir profanée . Des enfants de Lévi la troupe consternée En pouffa vers le ciel des hurlements affreux . Moi feul ...
Términos y frases comunes
affez ainfi amant amour auffi avoit beau beauté befoins belle bonheur Bourfault C'eft C'eſt Cailly charmes chofe ciel cieux connoître Corneille crime defirs deftin Deshoulieres Dieu Dieux difoit doux efprit encens eſt étoit fage fageffe faint fang fans art fans ceffe fecours fecret fein femme fens fent fert fervir feul fille foible foibleffe foins foit fombres fommes fon cœur font fortune fouffrir fous fouvent fuis fuit fujets funefte fuperbe fuprême gloire grace haîne Henriade Héros heureux homme hymen jamais jour jufqu'à jufte Juftice L'Abbé l'ame l'amour l'avare l'efprit l'homme l'Hymen l'univers laiffe loix Lorfque main malheureux mifere monde mort mortels n'eft n'eſt naiffance paffe paffions Pannard par-tout paroît pefant penfe pere perfonne plaifir plaifirs poffede préfent puiffance puiffant qu'un Racan raifon refpect Regnard richeffes rien Rois Rouffeau Rouſſeau Saint-Foix ſes ſon tems tendreffe terre tréfors trifte vertu vois voit Voltaire yeux Zaïre
Pasajes populares
Página 330 - Ni l'or ni la grandeur ne nous rendent heureux. Ces deux divinités n'accordent à nos vœux Que des biens peu certains, qu'un plaisir peu tranquille : Des soucis dévorants c'est l'éternel asile ; Véritables vautours, que le fils de Japet Représente, enchaîné sur son triste sommet.
Página 330 - II lit au front de ceux qu'un vain luxe environne Que la Fortune vend ce qu'on croit qu'elle donne. Approche-t-il du but? quitte-t-il ce séjour ? Rien ne trouble sa fin : c'est le soir d'un beau jour.
Página 332 - Qu'heureux est le mortel qui, du monde ignoré, Vit content de soi-même en un coin retiré ! Que l'amour de ce rien qu'on nomme renommée N'a jamais enivré d'une vaine fumée ; Qui de sa liberté forme tout son plaisir, Et ne rend qu'à lui seul compte de son loisir ! Il n'a point à souffrir d'affronts ni d'injustices, Et du peuple inconstant il brave les caprices.
Página 257 - II parle, et dans la poudre il les fait tous rentrer. Au seul son de sa voix, la mer fuit, le ciel tremble...
Página 139 - Sur tous mes frères morts se faisant un passage , Et , de sang tout couvert , échauffant le carnage ; Songe aux cris des vainqueurs , songe aux cris des mourans Dans la flamme étouffés , sous le fer expirans...
Página 307 - Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages : Tout Bourgeois veut bâtir comme les grands Seigneurs, Tout petit Prince a des Ambassadeurs, Tout Marquis veut avoir des Pages.
Página 40 - Beauté, gloire, vertu, je trouve tout en elle. Depuis cinq ans entiers chaque jour je la vois, Et crois toujours la voir pour la première fois.
Página 253 - Du Dieu qui nous créa la clémence infinie, Pour adoucir les maux de cette courte vie, A placé parmi nous deux êtres bienfaisants, De la terre à jamais aimables habitants, Soutiens dans les travaux, trésors dans l'indigence, L'un est le doux sommeil, et l'autre est l'espérance...
Página 399 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Página 492 - Ma cruauté se lasse, et ne peut s'arrêter; Je veux me faire craindre, et ne fais qu'irriter. Rome a pour ma ruine une hydre trop fertile : Une tête coupée en fait renaître mille; Et le sang répandu de mille conjurés Rend mes jours plus maudits, et non plus assurés.