Oeuvres de Monsieur de Fontenelle ...Valade, 1785 |
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... année 1703. Il étoit à la bataille de Ra- milli , & à celle d'Oudenarde . Dans cette derniere il commandoit un bataillon , & fe diftingua beaucoup . Il s'eft trouvé auffi au siege de Douay & du Quesnoy , dans une même campagne . La ...
... année 1703. Il étoit à la bataille de Ra- milli , & à celle d'Oudenarde . Dans cette derniere il commandoit un bataillon , & fe diftingua beaucoup . Il s'eft trouvé auffi au siege de Douay & du Quesnoy , dans une même campagne . La ...
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... année il ne fut qu'affidu ; peut - être s'étudioit - il dans le filence à prendre le ton de la com- pagnie ; la feconde , il commença à parler , & à donner des morceaux de fa compofi- tion ; mais il les donnoit avec une modef- tie A iij ...
... année il ne fut qu'affidu ; peut - être s'étudioit - il dans le filence à prendre le ton de la com- pagnie ; la feconde , il commença à parler , & à donner des morceaux de fa compofi- tion ; mais il les donnoit avec une modef- tie A iij ...
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... , auquel ils appartien- nent . Ils donnoient beaucoup d'efpérance pour les années fuivantes ; mais l'auteur n'a pas affez vécu . Il faut avouer que fa vie étoit un peu trop conforme à sa principale profeffion , 6 Éloge.
... , auquel ils appartien- nent . Ils donnoient beaucoup d'efpérance pour les années fuivantes ; mais l'auteur n'a pas affez vécu . Il faut avouer que fa vie étoit un peu trop conforme à sa principale profeffion , 6 Éloge.
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... année de phi- lofophie en 1691 , lorsqu'il perdit , avec beaucoup de douleur , M. de Louvois fon pere . Il prouva bien que fes études , juf- ques - là , n'avoient pas été forcées ; il les continua continua avec la même ardeur , & em ...
... année de phi- lofophie en 1691 , lorsqu'il perdit , avec beaucoup de douleur , M. de Louvois fon pere . Il prouva bien que fes études , juf- ques - là , n'avoient pas été forcées ; il les continua continua avec la même ardeur , & em ...
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... année , il partit pour l'Italie . Il y fut reçu par les princes & les gouverneurs , en fils de M. de Louvois , & en frere de M. de Barbezieux , fecrétaire d'état de la guerre ; & par les favans & les illuftres , en homme déja fort ...
... année , il partit pour l'Italie . Il y fut reçu par les princes & les gouverneurs , en fils de M. de Louvois , & en frere de M. de Barbezieux , fecrétaire d'état de la guerre ; & par les favans & les illuftres , en homme déja fort ...
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Oeuvres de monsieur de Fontenelle, Volumen3 M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) Vista completa - 1764 |
Términos y frases comunes
abfolument affez anatomiftes auffi auroit avoient avoit befoin Bernoulli c'eft carte chofes confeil confidérable connoiffance connoiffoit croyoit Czar de-là deffein déja Delifle devoit différens donnoit efpeces efprit ÉLOGE DE MONSIEUR enfuite eſt étoient étoit eût Fagon faifoit falloit fans fanté favans favant favoir fciences fe trouva feconde fecours feigneurs felon fentir feroit fervit feul fiége fienne fimple finguliere foin foit font fous fouvent fouverain fuccès fuiv fujet fûrement fût fyftême géométrie grace Hartfoëker homme Huiguens infiniment Jean Bernoulli jufqu'à l'académie l'algebre l'efprit l'hiftoire l'ufage laiffer liaiſon long-tems Louvois maifon Malézieu maniere mathématiques matiere médecin ment Mery Mofcovie Mofcovites Montmort mourut n'avoit n'eft n'étoit néceffaires NICOLAS DE MALÉZIEU obfervations occafions paffer paffion particulieres perfonne Pétersbourg philofophie phyfique plaifir plufieurs poffible pouvoit préfent prefque premiere preſque prince quelquefois refte Renau ſes ſon Suede teffe tems tion vaiffeaux Varignon Vauban vouloit Voyez l'Hift
Pasajes populares
Página 151 - Nous nous rassemblions avec un extrême plaisir , jeunes, pleins de la première ardeur de savoir, fort unis , et ce que nous ne comptions peut-être pas alors pour un assez grand bien , peu connus. Nous parlions à nous quatre une bonne partie des différentes langues de l'empire des lettres, et tous les sujets de cette petite société se sont dispersés de là dans toutes les académies.
Página 124 - ... dans une foule infinie tous ceux qui peuvent si aisément y cacher une industrie pernicieuse, en purger la société, ou ne les tolérer qu'autant qu'ils lui peuvent être utiles par des emplois dont d'autres qu'eux ne...
Página 104 - Il les avait faits exactement comptés , et placés dans sa mémoire; et ces trois efforts n'avaient pas été troublés par le cours rapide du jeu , ni par les différentes attentions promptes et vives qu'il demande à chaque instant. Sa poésie lui valut encore une autre aventure, précieuse pour un courtisan qui sait que dans le lieu où il vit rien n'est bagatelle.
Página 127 - M. d'Argenson, qui cependant tâchait, par toutes sortes de voies, de remédier à cette calamité. Il y eut quelques émotions * qu'il n'eût été ni prudent ni humain de punir trop sévèrement. Le magistrat les calma, et par la sage hardiesse qu'il eut de les braver, et par la confiance que la populace, quoique furieuse, avait toujours en lui.
Página 128 - Il savait quel est le pouvoir d'un magistrat sans armes ; mais on a beau le savoir, il faut un grand courage pour s'y fier. Cette action fut récompensée ou suivie de la dignité de conseiller d'État.
Página 120 - France , il fut mis à la tête de cette nouvelle province , dont l'administration demandait un mélange singulier, et presque unique, de hauteur et de douceur, de hardiesse et de circonspection. Dans un grand nombre de marches d'armées, de retraites, de combats , de sièges , il servit autant de sa personne, et beaucoup plus de son esprit qu'un homme de guerre ordinaire.
Página 159 - L'astronomie , l'anatomie sont en effet les deux sciences où sont le plus sensiblement marqués les caractères du souverain être : l'une annonce son immensité par celle des espaces célestes , l'autre son intelligence infinie par la méchanique des animaux.
Página 125 - ... qu'ils font toujours prêts à franchir, les renfermer dans l'obfcurité à laquelle ils doivent être condamnés , & ne les en tirer pas même par des châtimens trop éclatans ; ignorer ce qu'il vaut mieux ignorer que punir, & ne punir que rarement & utilement; pénétrer, par des conduits...
Página 134 - A - - * c , fois., & fouvent chaque Lettre eût mérité par fa matière d'être faite à part , & fembloit l'avoir été. Il a quelquefois accommodé à fes propres dépens des Procès, même confidérables...
Página 205 - ... enfans que jamais. Cette puérilité de la maladie règne principalement dans le grand monde , et surtout dans une moitié de ce grand monde qui occupe plus les médecins, qui sait mieux les mettre à la mode , et qui a souvent plus besoin d'être amusée que guérie.