Théatre des auteurs du second ordre ou recueil des tragédies et comédies restées au théatee Français: avec des notices sur chaque auteur, Volumen151810 |
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... étoit diablesse , parce qu'alle avoit trop de vertu . Vous avez fait le diable avec l'autre , parce qu'alle n'en avoit pas assez . Queulle espèce de femme voulez - vous encore prendre ? M. THOMASSEAU . La plus jolie personne du monde ...
... étoit diablesse , parce qu'alle avoit trop de vertu . Vous avez fait le diable avec l'autre , parce qu'alle n'en avoit pas assez . Queulle espèce de femme voulez - vous encore prendre ? M. THOMASSEAU . La plus jolie personne du monde ...
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... étoit d'humeur un peu traitable ; mais c'est un maroufle . Il parle de moi . THIBAUT . CLITANDRE . Le voilà lui - même . Il m'aperçoit . L'aborderai - je ? THIBAUT . CLITANDRE . THIBAUT . ' Oh's'il s'en tient aux révérences , il n'y a ...
... étoit d'humeur un peu traitable ; mais c'est un maroufle . Il parle de moi . THIBAUT . CLITANDRE . Le voilà lui - même . Il m'aperçoit . L'aborderai - je ? THIBAUT . CLITANDRE . THIBAUT . ' Oh's'il s'en tient aux révérences , il n'y a ...
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... étoit toujours malade ; quand il n'y étoit plus , tatigué , qu'alle se portoit bian ! Oh ! je ne m'étonne plus que vous soyais si fort amoureux , vous êtes de bonne race . MADAME DUBUISSON . C'est un extravagant ; ne prenez pas garde à ...
... étoit toujours malade ; quand il n'y étoit plus , tatigué , qu'alle se portoit bian ! Oh ! je ne m'étonne plus que vous soyais si fort amoureux , vous êtes de bonne race . MADAME DUBUISSON . C'est un extravagant ; ne prenez pas garde à ...
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... de fort loin . C'est le petit - fils de la fille d'un bâtard , qui étoit le fils d'une bâtarde de notre famille . MADAME DUBUISSON . Voilà une belle généalogie ! VIVIEN . Vous voyez bien qu'il n'est mon cousin que 3 . SCÈNE VILI . 29.
... de fort loin . C'est le petit - fils de la fille d'un bâtard , qui étoit le fils d'une bâtarde de notre famille . MADAME DUBUISSON . Voilà une belle généalogie ! VIVIEN . Vous voyez bien qu'il n'est mon cousin que 3 . SCÈNE VILI . 29.
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... étoit chez vous , madame Dubuisson . Pourquoi ne me vient - il donc pas voir , cet animal - là ? voilà un plaisant sot ! Oh ! que je m'en vais lui apprendre à vivre . MADAME DUBUISSON . Allons , monsieur , voilà votre maîtresse SCÈNE IX ...
... étoit chez vous , madame Dubuisson . Pourquoi ne me vient - il donc pas voir , cet animal - là ? voilà un plaisant sot ! Oh ! que je m'en vais lui apprendre à vivre . MADAME DUBUISSON . Allons , monsieur , voilà votre maîtresse SCÈNE IX ...
Términos y frases comunes
acoutez Adieu affaire allez Allons amoureux ANGÉLIQUE ARAMINTE avez raison avont BAVARDIN BLAISE CHARLOT chère chose CIDALISE CLITANDRE cœur COLETTE Comédies COMTE connoissance cousin dame déja diable dire Eh bian épouser ÉRASTE ERGASTE êtes étoit femme fille FRONTIN GREFFIÈRE GRIMAUDIN GUILLAUME homme itou j'ai j'en joli l'interrompant laquais LÉANDRE LÉONOR LISETTE LOLIVE LORANGE LOUISON LUCAS LUCILE LUCINDE MADAME AGATHE MADAME BLANDINEAU MADAME CARMIN MADAME DUBUISSON madame Julienne MADAME LA ROCHE MADAME PERRINELLE MADAME PINUIN MADAME ROBIN MADAME VALENTIN mademoiselle MAGISTER mariage MAROTTE MARTHON MATHURINE MAUGREBLEU MEUNIÈRE MONCADE monsieur Caton monsieur de Lépine monsieur de Lorme monsieur Giflot monsieur le bailli monsieur Naquart MONTAGNE morgué nièce ORGON palsangué palsanguenne pargué parguenne parler PASQUIN pélerinage pélerines PETIT CHEVALIER plaisir prendre procureur qu'alle qu'est-ce queuque rian rien sais SCÈNE VII sera seroit sœur tatigué Théâtre THIBAUT THOMASSEAU TOUVENEL velà vendanges veux village VIVIEN voilà vois voudrois voyez-vous vrai
Pasajes populares
Página 200 - ... son moulin. Ce sera quelque jeune meunier du voisinage qui lui aura donné dans la vue. A la peinture qu'elle a faite pourtant , je me suis reconnu trait pour trait : beau , bien fait. Il est vrai qu'elle n'a point parlé de l'esprit...
Página 109 - C'est la défense qui est cause de cela, et je vois bien que tu aimes monsieur Giflot, toi; et toi , que tu ne hais pas monsieur de Lépine. MAROTTE. Eh! qui te fait croire cela, dis, cousine? LOUISON. Sur quoi penses-tu des choses comme cela? COLETTE. Voyez , que cela est difficile à comprendre ! Nous sommes toutes trois l'une comme l'autre , nous pensons toutes trois la même chose : je sens bien , de mon côté, que c'est que j'aime Blaise, et je vois bien que du vôtre, vous aimez monsieur deLépin
Página 202 - Oh ! il a bien recommandé le secret au cousin. Aussi, le cousin ne l'a dit qu'à moi ; je ne l'ai dit qu'à vous , je ne le dirai plus qu'à la commère Julienne. LÉPINE. Et je n'en ferai confidence qu'à trois ou quatre de mes amis , moi. MADAME AGATHE. Priez-les bien de n'en point parler, monsieur deLépine.
Página 43 - NAQUART. On ne prétend pas vous faire violence , ayez seulement la complaisance de passer chez le tabellion.
Página 140 - Eh, non ! les filles vont par un côté et les garçons par un autre. COLETTE. Mais tout revient au même, on se retrouve ? MAROTTE. Eh! vraiment oui, il faut bien qu'on arrive ! COLETTE. Tenez, mes cousines, voilà un sot voyage, vous avez beau dire. MAROTTE. Un sot voyage? presque tout le village le fait : est-ce que tout le village voudrait faire une sottise?
Página 116 - Hé! ne savez- vous point sur quoi votre tante leur a défendu... COLETTE. Il faut qu'elle se doute de quelque chose ; mais , pour empêcher qu'elle continue de s'en douter, faites semblant tous deux de l'aimer encore plus que de coutume : ne parlez point à mes cousines, ou que ce soit bien...
Página 5 - J'ai la complaisance de venir avec vous dans une chaumière bourgeoise, avec votre ennuyeuse famille : il se trouve par hasard dans le village des femmes d'esprit, des personnes du monde , de jeunes gens polis; il se forme une agréable société de plaisir et de bonne chère ; c'est le jeu qui est l'âme de toutes ces parties ; et je ne jouerai pas?
Página 44 - NAQUART. Et cet asile est la maison de madame la greffière, que vous venez épouser, à ce que l'on m'a dit ? LE COMTE. On vous a dit vrai, c'est mon dessein. Elle a des rentes, des maisons, vingt mille écus d'argent comptant, dont je deviendrai le maître ; je me mettrai dans les affaires. M.
Página 41 - Et si vous ne vous hâtez de m'épouser, moi , j'épouserai monsieur Naquart , je vous le promets. LE COMTE. Je l'empêcherai bien. Le voici, nous allons voir. . . . ANGÉLIQUE. Ah ! qu'il est vilain , ma pauvre Lisette ! SCÈNE III. M. NAQUART, LE COMTE, ANGÉLIQUE, LISETTE. M. NXQUART. A'B! c'est vous que je cherche, monsieur le comte : on vient de me dire que vous étiez arrivé.