| Gabriel-Henri Gaillard - 1819 - 580 páginas
...sorties et dans les différentes attaques; les fatigues et les maladies, suites d'un si long sifje , en avoient emporté un pareil nombre. La place avoit été battue de plus de ct'nt vingt mille coups [ul Sleiilunus, commeutar. , liv. 3. de canon , elle n'étoit plus qu'un monceau... | |
| Félix Ragon - 1829 - 536 páginas
...et les maladies , suites d'un si long siége, en avaient emporté un pareil nombre. La place avait été battue de plus de cent vingt mille coups de canon ; elle n'était plus qu'un monceau de cendres ou qu'un amas de ruines. Les assiégés n'avaient plus ni poudre... | |
| C. Mullié - 1859 - 350 páginas
...chevaliers; les fatigues et les maladies en avaient emporté un nombre à peu près égal. La place avait été battue de plus de cent vingt mille coups de canon ; elle n'était plus qu'un monceau de ruines; presque tous les chevaliers étaient morts ou mourants ou hors... | |
| Louis de Sivry - 1859 - 732 páginas
...chevaliers ; les fatigues el les maladies en avaient emporté un nombre à peu près égal. La place avait été battue de plus de cent vingt mille coups de canon ; elle n'était plus qu'un monceau de ruine.s ; presque tous les chevaliers étaient morts ou mourants, ou... | |
| 1838 - 458 páginas
...chevaliers; les fatigues et les maladies en avaient emporté un nombre à peu près égal. La place avait été battue de plus de cent vingt mille coups de canon; elle n'élail plus qu'un monceau de ruines; presque tous les chevaliers étaient morts ou mourants, ou hors... | |
| |