Abrégé de l'histoire ecclésiastique, contenant les événements considérables de chaque siècle, avec des réflexions, Volumen13Aux dépens de la Compagnie, 1767 |
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... . XXXIX . Eglife d'Allemagne . Empire des Turcs : ART . XL ; 408 Réflexions fur l'état de l'Eglife dans le dix - feptieme fiecle . Fin de la table des articles du treizieme volume , 441 * ABRÉGÉ DE LA VIE DE M. L'ABBÉ RACINE ,
... . XXXIX . Eglife d'Allemagne . Empire des Turcs : ART . XL ; 408 Réflexions fur l'état de l'Eglife dans le dix - feptieme fiecle . Fin de la table des articles du treizieme volume , 441 * ABRÉGÉ DE LA VIE DE M. L'ABBÉ RACINE ,
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Bonaventure Racine. * ABRÉGÉ DE LA VIE DE M. L'ABBÉ RACINE , BONAVEN Auteur de cet Ouvrage . * ON AVENTURE RACINE , prêtre , chanoine de Notre - Dame de la Cité d'Auxerre , étoit né ... abbé Goujet . nos difputes ; & Dieu lui fit dès - lors.
Bonaventure Racine. * ABRÉGÉ DE LA VIE DE M. L'ABBÉ RACINE , BONAVEN Auteur de cet Ouvrage . * ON AVENTURE RACINE , prêtre , chanoine de Notre - Dame de la Cité d'Auxerre , étoit né ... abbé Goujet . nos difputes ; & Dieu lui fit dès - lors.
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... Abbé Ra- cine , page 9. où par méprife l'on a mis douze . Tome XIII . b Į > du dix - huitieme fiecle , ou du de M. l'Abbé Racine : ix.
... Abbé Ra- cine , page 9. où par méprife l'on a mis douze . Tome XIII . b Į > du dix - huitieme fiecle , ou du de M. l'Abbé Racine : ix.
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... Marguerite Perrier ; s'entretint avec elle ; s'y pénétra de l'efprit de Port - Royal ; & admira les dons de Dieu dans cette digne nièce de M. Pascal , laquelle étoit bien près de la fin de fa carriere . bij de M. l'Abbé Racine . xj.
... Marguerite Perrier ; s'entretint avec elle ; s'y pénétra de l'efprit de Port - Royal ; & admira les dons de Dieu dans cette digne nièce de M. Pascal , laquelle étoit bien près de la fin de fa carriere . bij de M. l'Abbé Racine . xj.
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... patience , toutes les incommodités de cette affreuse prison . M. Racine se trouva alors obligé de fe cacher de nouveau , ayant tout à craindre pour fa liberté . Dieu permettoit ces violences pour préferver de M. l'Abbé Racine . xiij.
... patience , toutes les incommodités de cette affreuse prison . M. Racine se trouva alors obligé de fe cacher de nouveau , ayant tout à craindre pour fa liberté . Dieu permettoit ces violences pour préferver de M. l'Abbé Racine . xiij.
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Términos y frases comunes
abbaye abbé affez ainfi Alexandre VII Arnauld auffi avoient avoit bénédictins Benoît Boffuet C'eft C'eſt cardinal Catholiques caufe Chantal charité chofes Clément VIII compofée confeil confidérable congrégation congrégation de l'Oratoire connoiffance connoître Cyran deffein déja derniere Dictionnaire de Moréri Dieu diocèfe doctrine donna dreffé eccléfiaftiques efprit églifes enfuite eſt étoient étoit évêque facrement faifoit faint falut fans favant fcience fecond felon fentimens fervir feul fiecle fieur foin foit font fouffrir fous fouvent fuite fuivant fujet fupérieurs grace imprimé Innocent XII jéfuites Jefus-Chrift jufqu'à l'abbaye l'abbé l'efprit l'Eglife l'égliſe l'hiftoire laiffa lettres livre long-tems Louis XIII Mabillon Madame maifon maniere Meaux miffion monaftere Moréri mort mourut n'avoit n'eft obfervance ouvrage paffer pape penfer pénitence peres perfonnes piété plufieurs Port-Royal pouvoit prefque prélat premiere priere prince princeffe profeffion réforme refte religieufes religieux Rome s'eft s'étoit ſes tems théologie théologiens Trappe Urbain VIII Vincent volumes zele
Pasajes populares
Página 163 - Ni la crainte des châtiments , ni le désir des récompenses , n'ont plus de part à cet amour. On n'aime plus Dieu, ni pour le mérite, ni pour la perfection , ni pour le bonheur qu'on doit trouver en l'aimant.
Página 488 - On avait philosophé trois mille ans durant sur divers principes, et il s'élève dans un coin de la terre un homme qui change toute la face de la philosophie, et qui prétend faire voir que tous ceux qui sont venus avant lui n'ont rien entendu dans les principes de la nature. Et ce ne sont pas seulement de vaines promesses ; car il faut avouer que...
Página 240 - REVOLUTIONS leur remontra avec beaucoup de force, que le choix du Gouvernement n'étoit point arbitraire ; qu'ils ne pouvoient en confcience rompre le ferment de fidélité qu'ils avoient fait au Roi d'Efpagne , fi ce n'étoit pour rendre juftice à l'Héritier légitime de la Couronne ; que tout le monde favoit qu'elle appartenoit au Duc de Bragance...
Página 242 - Espagnol: sentimens que les guerres fréquentes que ces peuples , comme voisins , ont toujours eues entr'eux, firent naître, dès le commencement de cette monarchie; que la concurrence...
Página 126 - ... deux petits Traités , l'un de l'état du monde après le jugement dernier ; le fécond fur le fcandale qui peut arriver même dans les monafteres les mieux réglés.
Página 172 - Divinité, mais il ne laide pas de l"mlinuer et de la découvrir; au lieu que dans fes dif« cours il dit hautement, que Dieu n'eft pas un Etre doué d'intelligence , infiniment parfait et heureux, comme nous nous l'imaginons; mais que ce n'eft autre chofe, que cette vertu de la nature, qui eft répandue dans toutes les créatures.
Página 159 - rendent gloire à Dieu ; qu'ils n'aient aucune honte « d'avoir erré, ce qui est le partage naturel de « l'homme, et qu'ils confessent humblement leurs « erreurs, puisqu'elles ne seront plus leurs erreurs, « dès qu'elles seront humblement confessées.
Página 368 - Rome même alloit trembler sous lui; mais ce petit gravier, qui n'étoit rien ailleurs , mis en cet endroit , le voilà mort , sa famille abaissée , et le roi rétabli.
Página 147 - S'il faut admettre un état de contemplation, .d'où les attributs abfolus & relatifs, d'où les perfonnes divines , d'où Jefus-Chrift même préfent par la foi fe trouvent exclus. Voilà les quatre erreurs principales que M. de Meaux relevé dans le livre des Maximes , & qu'il réfute avec force. Après cet avertiuement , fuivent les Divers Ecrits qui forment cinq lettres ou mémoires.
Página 171 - Latine fous un médecin, il employa quelques années à l'étude de la théologie; puis il fe confacra tout entier à celle de la philofophie. Plus il acquéroit de connoiffances , & plus il fe formoit de doutes fur le Judaïfme , que fes Rabbins ne pouvoient réfoudre. Sa conduite trop libre à leur égard, le brouilla bientôt avec eux, malgré l'eftime qu'ils faifoient de fôn érudition.