Histoire de l'Académie royale des inscriptions et belles-lettres depuis son établissement, avec les eloges des académiciens morts depuis son renouvellement, Volumen2H.-L. Guerin, 1740 - 468 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 15
Página 2
... gens du même âge : il fe fit en- tr'eux une fociété où l'on travailloit à l'envi ; on s'y diftribuoit tour à tour des fujets ; tous contribuoient dans une certaine proportion à la récom- pense de la meilleure Piéce , & un célébre Avocat ...
... gens du même âge : il fe fit en- tr'eux une fociété où l'on travailloit à l'envi ; on s'y diftribuoit tour à tour des fujets ; tous contribuoient dans une certaine proportion à la récom- pense de la meilleure Piéce , & un célébre Avocat ...
Página 37
... gens qui ne leur par- leroient jamais d'autre Langue . M. Galland affocié à ce travail n'eut pas le tems de voir quel en feroit le fuccès ; M. de Nointel , nommé à l'Ambaffade de Conftantinople l'emmena avec lui , pour tirer des Eglifes ...
... gens qui ne leur par- leroient jamais d'autre Langue . M. Galland affocié à ce travail n'eut pas le tems de voir quel en feroit le fuccès ; M. de Nointel , nommé à l'Ambaffade de Conftantinople l'emmena avec lui , pour tirer des Eglifes ...
Página 71
... gens de Lettres , comme on en- tretenoit à Athènes dans le Pryta- née ceux qui avoient rendu des fer- vices confidérables à la Républi- que . La traduction du Traité de Sa- vot fut inférée dans le onziéme To- me des Antiquités Romaines ...
... gens de Lettres , comme on en- tretenoit à Athènes dans le Pryta- née ceux qui avoient rendu des fer- vices confidérables à la Républi- que . La traduction du Traité de Sa- vot fut inférée dans le onziéme To- me des Antiquités Romaines ...
Página 136
... gens de fon âge , d'un naturel heureux , & d'un efprit que l'honneur de cette afsociation élevoit encore . D'un au- tre côté les Profeffeurs du Collége du Pleffis , qu'on avoit engagez à lui envoyer les 136 ELOGE DE MR .
... gens de fon âge , d'un naturel heureux , & d'un efprit que l'honneur de cette afsociation élevoit encore . D'un au- tre côté les Profeffeurs du Collége du Pleffis , qu'on avoit engagez à lui envoyer les 136 ELOGE DE MR .
Página 140
... gens de goût & des Maîtres de l'Art ; & qui furent chantées dans plusieurs Pié- ces de Poëfies Grecques , Latines & Françoifes . Les mêmes acclama- tions le fuivirent enfin dans l'étude de la Théologie , où on lui déféra le premier lieu ...
... gens de goût & des Maîtres de l'Art ; & qui furent chantées dans plusieurs Pié- ces de Poëfies Grecques , Latines & Françoifes . Les mêmes acclama- tions le fuivirent enfin dans l'étude de la Théologie , où on lui déféra le premier lieu ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
Académie Affemblée affez antiques auffi auroit avoient avoit Baudelot Bibliothéque Bignon Boivin c'eft C'eſt Caën Cardinal Catalogue de fes CATALOGUE DES OUVRAGES chofe choifis Clément XI Collége Confeil confidérable connoiffance Cuper d'après Pâ Démosthène derniére Difcours Differtation fur efpéce efprit ELOGE enfuite eſt étoient étoit faifoit fans fçavant fçavoir fe trouve fecond fervir fes Ouvrages feul fiécle fimple fingulier foins foit fon pere Foucault fous fouvent François Françoiſe fuccès fuivant fujet Galland grace Grec Grecque Gualtério Hiftoire Ibidem imprimées Infcriptions Journal des Sçavans jufqu'à Kufter l'Abbé Renaudot l'Académie l'efprit l'Eglife l'Hiftoire laiffé Latin Lettres longtems Louis Boivin Louvois maiſon maniére Manufcrits Médailles ment Miniftre Mme Dacier n'avoit n'étoit Nointel paffa paffages particuliére Peletier perfonne Philofophie plufieurs pluſieurs Poëfie pouvoit prefque premiére reçû refte Remi de Reims Sçavans ſes ſon Souzy Suidas teffe tems tion Tourreil Traduction Utrecht volumes
Pasajes populares
Página 183 - ... mefure des efpaces de longueur qui fe trouvent fous leurs pieds : ainfi , M. Henrion joignit une nouvelle Table des dimenfions géographiques des premiers Arpenteurs de l'univers , à celle des tailles humaines dont nous venons de...
Página 40 - Galland fit un troisième voyage, mais sur un autre pied ; ce fut aux dépens de la Compagnie des Indes Orientales, qui pour faire sa cour à M.
Página 181 - Pour en donner à l'Académie un avant-goût précieux, il y apporta, en 1718, une espèce de faille ou d'échelle chronologique de la différence des tailles humaines depuis la création du monde jusqu'à...
Página 37 - Meilleraye, et il se proposoit de leur faire apprendre le latin fort aisément et fort vite, en mettant auprès d'eux des gens qui ne leur parleroient jamais d'autre langue. M. Galland associé à ce travail n'eut pas le tems de voir quel en seroit le succès.
Página 252 - d'autres voyages que celui de Paris » à Dijon , y borne toute l'utilité dont » il parle à l'avantage qu'un homme » de lettres , qui voyage , peut tirer de » l'inspection , de l'étude et de la re
Página 318 - Quand au bout de trois ans elles furent parvenues au point de maturité néceffaire pour l'opération , il fe contenta d'avoir par ce moyen recouvré un œil qui fumfoit à fes travaux.
Página 3 - Charmé d'entrer dans un parallele fi flatteur, il fe contenta de fe faire appeller M. le Chevalier de Tourreil , & demanda à venir à Paris pour fe perfectionner dans l'étude du Droit & des Belles-Lettres.
Página 42 - ... qui arriva quelques années après. M. d'Herbelot l'engagea ensuite à lui prêter son secours pour l'impression de sa Bibliothèque orientale; mais celui-ci mourut encore au bout de quelque temps, laissant son ouvrage à moitié imprimé; M. Galland le continua tel que nous l'avons, et en fit la préface. Il n'eut pas moins de part à l'édition du Ménagiana qui parut alors; on croit même que c'est lui qui a fourni tous les matériaux du premier volume. Il avait encore donné immédiatement...
Página 272 - De l'utilité des voyages, & de l'avantage que la recherche des antiquités procure aux fcavans ; par M. Baudelot de Dairval. Paris , Aubouin , 1686".
Página 182 - Noc avoit déjà vingt pieds de moins qu'Adam ; Abraham n'en avoit plus que vingt-fept a vingt-huit) Moyfe fut réduit à treize ; Hercule, à dix-, Alexandre- le -Grand n'en avoit guère que fix-, Jules Céfar n'en avoit pas cinq. Et quoiqu'il y ait long-tems que les grands hommes ne fe mefurent...