Bibliothèque Latine-Française, Volumen113C. L. F. Pancoucke, 1834 |
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... puissance retient encore au ciel les étoiles mourantes ? C'est moi qui arrête le soleil . Fuyons , et rendons le jour au monde . SCÈNE II . CHOEUR DE FEMMES D'ARGOS . O Fortune ! divinité funeste aux rois soumis à tes ca- prices , tu ...
... puissance retient encore au ciel les étoiles mourantes ? C'est moi qui arrête le soleil . Fuyons , et rendons le jour au monde . SCÈNE II . CHOEUR DE FEMMES D'ARGOS . O Fortune ! divinité funeste aux rois soumis à tes ca- prices , tu ...
Página 49
... puissance du vent ; leurs bras vi- goureux s'élèvent et s'abaissent en cadence . La mer gé- mit sous les rames , ses vagues viennent battre les flancs des navires , et une blanche écume divise l'azur des flots . Quand le vent plus fort ...
... puissance du vent ; leurs bras vi- goureux s'élèvent et s'abaissent en cadence . La mer gé- mit sous les rames , ses vagues viennent battre les flancs des navires , et une blanche écume divise l'azur des flots . Quand le vent plus fort ...
Página 55
... , Pallas dé- ploie pour nous perdre toute la puissance que lui don- nent sa lance redoutable , son égide où pend la tête hor- Spirant procellæ solus invictus malis Luctatur Ajax vela cogentem hunc AGAMEMNON . ACTE III . 55.
... , Pallas dé- ploie pour nous perdre toute la puissance que lui don- nent sa lance redoutable , son égide où pend la tête hor- Spirant procellæ solus invictus malis Luctatur Ajax vela cogentem hunc AGAMEMNON . ACTE III . 55.
Página 69
... puissance . Ai - je encore une patrie , un père , une sœur ? Les tombeaux et les autels sont abreuvés de mon sang . Où sont mes frères si nombreux et si brillans ? ils ont péri . Le palais du vieux Priam est désert , et de tant d'époux ...
... puissance . Ai - je encore une patrie , un père , une sœur ? Les tombeaux et les autels sont abreuvés de mon sang . Où sont mes frères si nombreux et si brillans ? ils ont péri . Le palais du vieux Priam est désert , et de tant d'époux ...
Página 83
... puissance qui se fortifiait par la mort . Il a tué comme en se jouant , d'un coup de massue , le terrible Géryon , monstre gigantesque aux trois corps , et il a emmené ses troupeaux des bords de l'Hespérie jusque vers les lieux où le ...
... puissance qui se fortifiait par la mort . Il a tué comme en se jouant , d'un coup de massue , le terrible Géryon , monstre gigantesque aux trois corps , et il a emmené ses troupeaux des bords de l'Hespérie jusque vers les lieux où le ...
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Términos y frases comunes
acte æther AGAMEMNON Alcide ALCMENA amor Argos astra atque cælo cælum caput CASSANDRE CHOEUR CHORUS ciel CLYTEMNESTRE conjugem conjux crime cruel cruore d'Hercule DEJANIRA DÉJANIRE diem dieux dolor domus douleur ecce ÉGISTHE ÉLECTRE enfans épouse époux fata femme feræ fides fille fils flammes flots foudre furieux furor genus hæc Hercule furieux Herculem hinc HYLLUS ignes illa ille inter Iole ipsa ipse j'ai Junon Jupiter lacrimas licet Lichas main malheur malum manu manus meis meos mère mihi miseranda monstres mori mort Mycènes nate NERO NÉRON Nessus nocte NOURRICE noverca nunc NUTRIX OCTAVIE omne palais parens pater pectore père perfidie PHILOCTÈTE pleurer Poppée PRÆFECTUS Priam quæ quam Quid quidquid quis quod quoque quum ROTROU sæpe sæva sang scelere scelus SCENA semper SENECA SÉNÈQUE soleil Styx tamen tellus temple terre Thessalie Thrace Thyeste tibi Titan trépas triste Troie tulit umbras urbes vultus
Pasajes populares
Página 391 - Mes parents, mes amis, l'avenir, ma jeunesse, Mes écrits imparfaits ; car, à ses propres yeux, L'homme sait se cacher d'un voile spécieux... A quelque noir destin qu'elle soit asservie. D'une étreinte invincible il embrasse la vie, Et va chercher bien loin, plutôt que de mourir, Quelque prétexte ami de vivre et de souffrir.
Página 389 - On voit à l'horizon, de deux points opposés, Des nuages monter dans les airs embrasés; On les voit s'épaissir, s'élever et s'étendre. D'un tonnerre éloigné le bruit s'est fait entendre Les flots en ont frémi, l'air en est ébranlé, Et le long du vallon le feuillage a tremblé. Les monts ont prolongé le lugubre murmure Dont le bruit lent et sourd attriste la nature.
Página 387 - L'honneur est comme une île escarpée et sans bords : On n'y peut plus rentrer dès qu'on en est dehors.
Página 421 - Je fléchis mon orgueil; j'allai prier Pallas. Son maître, chaque jour caressé dans mes bras, Prit insensiblement dans les yeux de sa nièce L'amour où je voulais amener sa tendresse. Mais ce lien du sang qui nous joignait tous deux Ecartait Claudius d'un lit incestueux; II n'osait épouser la fille de son frère.
Página 230 - Si me catenis horridus vinctum suis praeberet avidae Caucasus volucri dapem, Scythia gemente flebilis gemitus mihi non...
Página 419 - Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère. Dans le fond de ton cœur je sais que tu me hais; Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits.
Página 388 - Des courtisans sur nous les inquiets regards Avec avidité tombent de toutes parts; A travers les respects leurs trompeuses souplesses Pénètrent dans nos cœurs , et cherchent nos faiblesses; A leur malignité rien n'échappe et ne fuit; Un seul mot, un soupir, un coup d'œil nous trahit; Tout parle contre nous , jusqu'à notre silence...
Página 411 - Cent replis tortueux, je ne te priois pas; Quand j'ai , dans les enfers , affronté la mort même , Je n'ai point réclamé ta puissance suprême; J'ai de monstres divers purgé chaque élément , Sans jeter vers le ciel un regard seulement; Mon bras fut mon...
Página 399 - Que le foudre en tes mains n'est plus qu'un vain fardeau. Des objets de ton bras le mien est l'homicide, Et tu n'as rien à faire après les faits d'Alcide; Tu n'as plus à tonner; et le ciel toutefois M'est encore interdit après tous ces exploits.
Página 50 - Nox prima caelum sparserat stellis, iacent deserta vento vela, turn murmur grave, maiora minitans, collibus summis cadit tractuque longo litus ac petrae gemunt; agitata ventis unda Venturis tumet— cum subito luna conditur, stellae latent, in astra pontus tollitur, caelum perit. nee una nox est; densa tenebras obruit caligo et omni luce subducta fretum caelumque miscet. The darkness of the night is systematically "covered," as com-pared with Aeschylus' brief '