Bibliothèque Latine-Française, Volumen113C. L. F. Pancoucke, 1834 |
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... tomber de mes mains le gouvernail , et je me laisse aller où la jalousie , le dépit , l'espérance me conduiront . J'abandonne mon navire au caprice des flots . Le cœur une fois égaré , le meilleur guide à suivre , c'es le hasard ...
... tomber de mes mains le gouvernail , et je me laisse aller où la jalousie , le dépit , l'espérance me conduiront . J'abandonne mon navire au caprice des flots . Le cœur une fois égaré , le meilleur guide à suivre , c'es le hasard ...
Página 41
... tomber cette génisse blanche qui n'a jamais traîné la charrue , et dont le cou pur n'est point sillonné par le joug . Et toi , fille du maître de la foudre , glorieuse Pallas , qui plus d'une fois as frappé de ta lance les murs troyens ...
... tomber cette génisse blanche qui n'a jamais traîné la charrue , et dont le cou pur n'est point sillonné par le joug . Et toi , fille du maître de la foudre , glorieuse Pallas , qui plus d'une fois as frappé de ta lance les murs troyens ...
Página 43
... tomber des larmes toujours nouvelles de ses pau- pières de marbre vieillies dans son éternelle douleur . Hommes et femmes , dans Argos , honorent d'un culte empressé les deux enfans de Latone . Mais toi surtout , reçois favorablement ...
... tomber des larmes toujours nouvelles de ses pau- pières de marbre vieillies dans son éternelle douleur . Hommes et femmes , dans Argos , honorent d'un culte empressé les deux enfans de Latone . Mais toi surtout , reçois favorablement ...
Página 53
... tomber du ciel brisé en éclats , et que le noir chaos va saisir toute la nature : le flux résiste au vent , le vent surmonte le reflux ; la mer ne peut plus se contenir dans ses rivages , et l'eau de la pluie se mêle aux vagues sa- lées ...
... tomber du ciel brisé en éclats , et que le noir chaos va saisir toute la nature : le flux résiste au vent , le vent surmonte le reflux ; la mer ne peut plus se contenir dans ses rivages , et l'eau de la pluie se mêle aux vagues sa- lées ...
Página 63
Oh ! quel malheur de ne savoir pas mourir ! Nous avons vu tomber notre patrie dans une nuit cruelle , nous avons vu les remparts de Troie périr sous les feux des Grecs . Ce ne sont point les armes ni la force qui ont triomphé de nous ...
Oh ! quel malheur de ne savoir pas mourir ! Nous avons vu tomber notre patrie dans une nuit cruelle , nous avons vu les remparts de Troie périr sous les feux des Grecs . Ce ne sont point les armes ni la force qui ont triomphé de nous ...
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Términos y frases comunes
acte æther AGAMEMNON Alcide ALCMENA amor Argos astra atque cælo cælum caput CASSANDRE CHOEUR CHORUS ciel CLYTEMNESTRE conjugem conjux crime cruel cruore d'Hercule DEJANIRA DÉJANIRE diem dieux dolor domus douleur ecce ÉGISTHE ÉLECTRE enfans épouse époux fata femme feræ fides fille fils flammes flots foudre furieux furor genus hæc Hercule furieux Herculem hinc HYLLUS ignes illa ille inter Iole ipsa ipse j'ai Junon Jupiter lacrimas licet Lichas main malheur malum manu manus meis meos mère mihi miseranda monstres mori mort Mycènes nate NERO NÉRON Nessus nocte NOURRICE noverca nunc NUTRIX OCTAVIE omne palais parens pater pectore père perfidie PHILOCTÈTE pleurer Poppée PRÆFECTUS Priam quæ quam Quid quidquid quis quod quoque quum ROTROU sæpe sæva sang scelere scelus SCENA semper SENECA SÉNÈQUE soleil Styx tamen tellus temple terre Thessalie Thrace Thyeste tibi Titan trépas triste Troie tulit umbras urbes vultus
Pasajes populares
Página 391 - Mes parents, mes amis, l'avenir, ma jeunesse, Mes écrits imparfaits ; car, à ses propres yeux, L'homme sait se cacher d'un voile spécieux... A quelque noir destin qu'elle soit asservie. D'une étreinte invincible il embrasse la vie, Et va chercher bien loin, plutôt que de mourir, Quelque prétexte ami de vivre et de souffrir.
Página 389 - On voit à l'horizon, de deux points opposés, Des nuages monter dans les airs embrasés; On les voit s'épaissir, s'élever et s'étendre. D'un tonnerre éloigné le bruit s'est fait entendre Les flots en ont frémi, l'air en est ébranlé, Et le long du vallon le feuillage a tremblé. Les monts ont prolongé le lugubre murmure Dont le bruit lent et sourd attriste la nature.
Página 387 - L'honneur est comme une île escarpée et sans bords : On n'y peut plus rentrer dès qu'on en est dehors.
Página 421 - Je fléchis mon orgueil; j'allai prier Pallas. Son maître, chaque jour caressé dans mes bras, Prit insensiblement dans les yeux de sa nièce L'amour où je voulais amener sa tendresse. Mais ce lien du sang qui nous joignait tous deux Ecartait Claudius d'un lit incestueux; II n'osait épouser la fille de son frère.
Página 230 - Si me catenis horridus vinctum suis praeberet avidae Caucasus volucri dapem, Scythia gemente flebilis gemitus mihi non...
Página 419 - Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère. Dans le fond de ton cœur je sais que tu me hais; Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits.
Página 388 - Des courtisans sur nous les inquiets regards Avec avidité tombent de toutes parts; A travers les respects leurs trompeuses souplesses Pénètrent dans nos cœurs , et cherchent nos faiblesses; A leur malignité rien n'échappe et ne fuit; Un seul mot, un soupir, un coup d'œil nous trahit; Tout parle contre nous , jusqu'à notre silence...
Página 411 - Cent replis tortueux, je ne te priois pas; Quand j'ai , dans les enfers , affronté la mort même , Je n'ai point réclamé ta puissance suprême; J'ai de monstres divers purgé chaque élément , Sans jeter vers le ciel un regard seulement; Mon bras fut mon...
Página 399 - Que le foudre en tes mains n'est plus qu'un vain fardeau. Des objets de ton bras le mien est l'homicide, Et tu n'as rien à faire après les faits d'Alcide; Tu n'as plus à tonner; et le ciel toutefois M'est encore interdit après tous ces exploits.
Página 50 - Nox prima caelum sparserat stellis, iacent deserta vento vela, turn murmur grave, maiora minitans, collibus summis cadit tractuque longo litus ac petrae gemunt; agitata ventis unda Venturis tumet— cum subito luna conditur, stellae latent, in astra pontus tollitur, caelum perit. nee una nox est; densa tenebras obruit caligo et omni luce subducta fretum caelumque miscet. The darkness of the night is systematically "covered," as com-pared with Aeschylus' brief '