Oeuvres diverses de m. de Fontenelle, Volumen5Chez Antoine van Dole, 1736 |
Términos y frases comunes
abfolument affés affez ainfi auffi auroit avoient avoit befoin Bernoulli c'eft caufe chés chofes choifi compofer Confeiller confiderable connoiffances croyoit Cycloïde Czar Dangeau Defcartes deffein déja Delifle devoit differentes donnoit efpece efprit eft vrai Elemens ELOGE DE MONSIEUR enfuite étoient étoit eût faifoit falloit fans favant favoir feconde fecours felon femble fent feroit fervir feulement fienne fimple fion foin foit font fous fouvent fuccès fuivant fujet general gens Géometrie gloire Hartfoeker Hire homme Huygens infinité Jean Bernoulli jufqu'à l'Academie l'efprit l'Hiftoire laiffé laiffoit Leibniz Louvois Malezieu Mathematicien Mathematiques matiere Medecin ment merite Methode Mofcovie Mofcovites Monfieur Montmort mourut n'avoit n'eft n'étoient n'étoit nâquit neceffaire Newton obfervations paffer Païs particuliere penfées perfonne Philofophie Phyfique plaifir plufieurs plûtôt poffible pouvoit prefentement prefque premiere Prince Raifon reçû refte Renau Savans Sciences Syftême Theorie tion toûjours Vaiffeaux Vauban veritable vouloit vûës
Pasajes populares
Página 181 - F & vui& utilement ; pénétrer par des conduits fouterrains dans l'intérieur des familles , & leur garder les fecrets qu'elles n'ont pas. confiés, tant qu'il n'eft pas...
Página 117 - Petit, anglais, a fait voir dans son arithmétique politique, combien de connaissances nécessaires au gouvernement se réduisent à des calculs du nombre des hommes , de la quantité de nourriture qu'ils doivent consommer, du travail qu'ils peuvent faire , du temps qu'ils ont à vivre , de la fertilité des terres , de la quantité des naufrages dans les navigations, etc. Ces connaissances, et beaucoup d'autres pareilles étant acquises par l'expérience , et posées pour fondement , combien de...
Página 302 - Il n'emploie à chaque moment que ce mot pour exprimer la force active des corps ; force , à la vérité, inconnue, et qu'il ne prétend pas définir; mais si elle pouvait agir aussi par impulsion , pourquoi ce terme plus clair n'aurait-il pas été préféré?
Página 307 - L'art de faire des expériences porté à un certain degré, n'est nullement commun. Le moindre fait qui s'offre à nos yeux est compliqué de tant d'autres faits qui le composent ou le modifient, qu'on ne peut sans une extrême adresse démêler tout ce qui y entre, ni même sans une sagacité extrême soupçonner tout ce qui peut y entrer.
Página 180 - Mais qui voudroit le connoître & l'approfondir , en feroit effrayé. Entretenir perpétuellement dans une ville telle que Paris , une confommation immenfe , dont une infinité d'accidens peuvent toujours tarir quelques fources ; réprimer la tyrannie des marchands , à l'égard du public , & en même...
Página 209 - Normandie , n'avoit que 1 800 livres de rente ; il en détacha 300 qu'il donna par contrat à M. Varignon. Ce peu...
Página 306 - L'autre, plus timide, ou plus modeste, a commencé sa marche par s'appuyer sur les phénomènes, pour remonter aux principes inconnus, résolu de les admettre, quels que les pût donner l'enchaînement des conséquences.
Página 98 - Dès qu'il fut élevé à ce pofte , il donna à la cour un fpectacle rare & fingulier ; il diminua beaucoup les revenus de fa charge. Il fe retrancha ce que les autres médecins fubalternes de la cour payoient pour leur ferment ; il abolit des tribus qu'il trouva établis fur les nominations aux chai- ' res royales de profetfeur en médecine dans les diverfes univeriites.
Página 313 - Parlement de 1701, ilfutchoifï de nouveau Membre de cette Affemblée pour l'Univerfité de Cambridge. Après tout, c'eft peut-être une erreur de regarder les Sciences & les affaires comme fi incompatibles , principalement pour les hommes d'une certaine trempe. Les affaires politiques bien entendues fe réduifent elles-mêmes à des calculs très-fins , & à des combinaifons délicates , que les. Efprits accoutumés aux hautes fpéculations faifîflentplus facilement & plus fûrement...
Página 306 - L'un part de ce qu'il entend nettement pour trouver la caufe de ce qu'il voit. L'autre part de ce qu'il voit pour en trouver la caufe, foit claire, foit obfcure.