Imágenes de páginas
PDF
EPUB

LIV. III. culier. Car le Confeffeur ne peut pas abfoudre, s'il ne fait ceux qui méritent CH. III. l'absolution & la pénitence qu'il leur faut imposer. De plus la Confession eft expressément marquée dans l'Ecriture. Dans les Actes, Chap. XIX. v. 18. plufieurs de ceux qui avoient cru venoient & confeffoient ce qu'ils avoient fait : & ailleurs (Jacob. v. 16. ) Confeffez vos péchés les uns aux autres. La derniere partie de la Pénitence doit être le Canon ou les peines canoniques que preferit le Confefeur, comme les prieres, les aumones, les jeunes, la vifite des faints lieux & autres que le Confeffeur juge être convenables (c). Telle est la doctrine de tous les autres Grecs, dont il n'eft pas nécessaire de rapporter les paroles.

Examen

gnage de

Francker.

1668.

CHAPITRE III.

Que les Auteurs Grecs cités & publiés par les Proteftants parlent de même.

IL n'y a pas de différence fur ce fujet entre ceux qui ont écrit dans

du témoi- l'Eglife. Grecque, & ceux dont les Proteftants ont publié les ouvrages Chriftoph. dans la penfée d'y trouver quelque conformité avec leurs opinions. Un Angelus. des principaux eft Chriftophle Angelus, qui étant en Angleterre au com1655. mencement du dernier fiecle, fit un Traité de l'état où étoient alors les A Leipfic. Eglifes Grecques, que Fehlavius Miniftre de Dantzic avoit fait imprimer d'abord avec une fimple traduction & enfuite avec un ample commentaire. On voit que ce Grec reconnoit la Confeffion des péchés, l'impofition des pénitences ou peines canoniques & l'abfolution donnée par le Prêtre, comme étant les parties effentielles de la Pénitence: en un mot, il donne comme la créance & la pratique de fon Eglife, tout ce que Syrigus & la Confeffion Orthodoxe difent fur ce fujet. Il ne pouvoit pas déguifer un fait auffi public que celui-là; & quoiqu'il paroiffe en

Angel.

C. 22.

(C) Τὸ πεμπτὸν μυςήριον εἶναι ἡ Μετάνοια, ἡ ὁποῖα εἶναι ἕνας πόνος τῆς καρδίας διὰ τὰ ἁμαρτήματα ὑπὸ ἔσφαλεν ὁ ἄνθρωπος, τὰ ὁποῖα κατηγορᾶ ἔμπροσθεν τοῦ ἱερέως μὲ γνώμην βεβαίαν νὰ διορθώση τὴν ζωήν τι εἰς τὸ μέλλον, καὶ μὲ ἐπιθυμίαν νὰ τελείωση, ὅ τι τὸν ἐπιτιμήσει ὁ ἱερεὺς ὁ πνευματικός τὅ. Τῦτο τὸ μυ σήριον ἰχύει καὶ πέρνει τὴν δύναμίν τε, ὁπόταν ἡ λύσις τῶν ἁμαρτιῶν γίνεται διὰ τοῦ ἱερέος, κατὰ τὴν τάξιν καὶ συνηθείαν τῆς ἐκκλησίας. Οπ8 παρευθὺς ὡς ἄν παρῇ τὴν συγχώρησίν τε, αφέωνται τὰ ἀμαρτήματα τὴν ὥραν ἐκείνην ὅλα ἀπὸ τὸν θεὸν διὰ τοῦ ἱερέως, κατὰ τὸν λόγον τοῦ χρισᾶ, ὁπῦ εἶπε λάβετε πνεῦμα Ἅγιον. κλ. Conf. Orthod. p. 178. Edit. Lipf.

Τρίτον εἶναι ἀναγκαῖον νὰ ἔχη σύντριβην καρδίας ὁ μετανοῶν καὶ λύπην διὰ τὰ ἁμαρτήματά τα, μετά ὁποῖα ἐπαρόξυνε τὸν θεὸν, ἤ ἔβλαβε τὸν πλήσιόν τε διὰ τὴν ὁποῖαν συντριβὴν λέγει ὁ Δαξιδ καρδίαν συντετριμ μένην καὶ τεταπεινωμένην ὁ Θεὸς ἐκ ἐξαδενώσει. Εἰς τὴν συντριβὴν τάτην τῆς καρδίας πρέπει να ακολυθᾷ, καὶ ἡ διὰ ςόματος ἐξομολόγησις πάντων τῶν ἁμαρτημάτων. Διατὶ δὲν ἠμπορεῖ ὁ πνευματικὸς νὰ λύσῃ τίποτες, ἂν δὲν ἠξευρῇ ποῖα πρέπει να λυθῶσι, καὶ τὶ ἐπιτίμιον νὰ δόση,

Τρίτον μέρος τῆς μετανοίας πρέπει νὰ εἶναι ὁ κανόνας καὶ τὸ ἐπιτίμιον ὑπὸ δίδει καὶ διορίξει ὁ πνευματικός. p. 181.

plufieurs endroits de cet ouvrage qu'il n'a pas tout dit, & qu'il a ménagé Liv. III. les Proteftants parmi lefquels il écrivoit, on ne peut néanmoins l'accufer Cн. III. d'avoir trahi la vérité comme Cyrille, & d'avoir pouffé la hardieffe jufqu'à faire entendre que les Grecs ne connoiffoient pas le Sacrement de Pénitence. Il en eft de même d'une Confeffion de foi imprimée à Helmftad, Fehlav. · fous le nom de Métrophane Critopule, qui femble approcher davantage du P. 300. Luthéranifme & qui cependant marque la même foi & la même difcipline.

Fehlavius

obfcurcir

ces témoi

Fehlavius, & plufieurs Miniftres de la Confeffion d'Augsbourg qu'il Remarcite dans fon Commentaire, tâchent inutilement d'obscurcir cette matiere; ques de & ne pouvant contester des témoignages auffi formels, que ceux de ces & des auAuteurs qu'ils ont publiés eux-mêmes, joints à d'autres dont l'autorité tres pour eft plus certaine, rapportés par le P. Goar & par divers Ecrivains Catholiques, ils veulent les commettre les uns avec les autres. Il y en a qui difent gnages. que les Grecs ne fe confeffent que rarement: Angelus dit que evyevésego, Fehlav. les plus nobles, les plus confidérables ne le font que quatre fois l'an; d'au- P. 310. tres, parmi lesquels eft Arcudius, que les Prêtres ne se confeffent presque Arcud. 1. 4. c. 2. jamais que fuivant divers témoignages, les Grecs communément ne confeffent pas tous leurs péchés, parce qu'on leur donne l'abfolution de ceux qu'ils ont oubliés ou de ceux que la honte les a empêchés de confeffer, en quoi même ils trouvent matiere de les louer & d'accufer les Catholiques de ce que les Confeffeurs, & ceux qui ont traité la Théologie Morale apprennent beaucoup d'obfcénités égales à celles qu'on trouve dans les Livres les plus abominables des Payens.

de la foi

forte de

On a déja remarqué ailleurs qu'on ne devoit pas juger de la créance & On ne doit de la difcipline des Grecs, par les témoignages de certains Auteurs décriés pas juger avec raison parmi les Savants, à caufe de leur ignorance & de leur mau- des Grecs vaise foi, comme Caucus, Guy le Carme & ceux qui les ont copiés. C'eft fur toute par les Théologiens approuvés dans l'Eglife Grecque qu'on peut juger témoins. de ce qu'elle enfeigne, & par les Offices & les formules de Confeffion & d'absolution on reconnoît leur discipline. Or nous avons établi par des preuves inconteftables que les Grecs enfeignent, qu'on ne peut obtenir la rémiffion des péchés commis après le Baptême que par la Pénitence, & qu'une de fes principales parties eft la Confession (a). Si donc il y a parmi eux des hommes qui la négligent, il s'enfuit qu'il y a dans l'Eglife Grec Goar. in que, comme par-tout ailleurs, de mauvais Chrétiens, & qui manquent à ce qui eft prefcrit par fa difcipline. Mais l'Euchologe ordonne que tout Prêtre qui veut célébrer la Meffe fe confeffera s'il a quelque péché fur fa confcien- Horolog. ce, comme l'Office de la Communion ordonne la même chofe à tous ceux qui en veulent approcher, & cela fuffit.

(α) Ο φείλει είναι προηγεμένως ἐξωμολογημένος. Eucholog. G. L. p. 58.

notis.

p. 109.

Venet. Ed.
1636. &

Ed. 1644.
P. 593.

ques fur

LIV. III. L'autorité d'Angelus eft très-peu confidérable, & il eft ridicule de vouCH. III. loir appuyer fur fon témoignage une auffi grande abfurdité, que de dire Remar que la Confeffion eft pour les gens de qualité; & encore plus de lui faire dire ce qu'il ne dit point. Voici fes paroles. Les Nobles parmi les Grecs ce que dit Angelus. ont coutume de participer au corps & au fang de Jefus Chrift, une, deux, trois ou quatre fois l'année. Cependant ils confessent auparavant leurs péchés au πvevμiaτinos, c'est ainsi qu'on appelle un Prêtre qui a reçu de l'Evêque le pouvoir de confeffer. Il eft difficile de comprendre que Voet y ait pu voir Herb. de le fens qu'il leur attribue. Angelus, dit-il, décrit dans le Chap. XXII. la Reb. Mol- maniere dont fe fait la Confeffion parmi les Grecs, mais il en reftreint l'ufage aux Nobles. Si le Baron de Herbestein a trouvé qu'en Moscovie le peuple croit que la Confeffion n'eft que pour eux, cela n'a aucun rapport aux Grecs, & il y a beaucoup de raifon de douter de la vérité d'une pareille obfervation. S'il pouvoit y avoir fur cela quelque doute dans le temps qu'il écrivoit, il n'y en a plus préfentement; puifque la Confeffion Orthodoxe qui détruit une erreur fi groffiere, n'eft pas moins reçue par les Mofcovites que par les Grecs.

COY.

rémie.

Sur unpac Il y a encore plus de mauvaise foi à citer Jérémie Patriarche de Conf fage de Jé- tantinople, comme s'il avoit enfeigné que l'énumération de tous les péchés n'étoit pas néceffaire, puifqu'il enfeigne précisément le contraire. Il faut enfuite, dit-il, que celui qui se confesse, autant qu'il le peut & qu'il s'en fouvient, déclare & confeffe en détail (xar' eidos) fes péchés, avec un cœur contrit & humilié (b). Il est vrai qu'il dit enfuite, fi le pénitent omet à confeffer quelques péchés par oubli ou par honte, nous prions Dieu plein de bonté & de miféricorde de les lui remettre pareillement, & nous avons une ferme confiance qu'il en obtiendra le pardon (c). En cela il a avancé une opinion particuliere, dont il feroit fort difficile de trouver des preuves dans les autres Théologiens & Canoniftes Grecs. Ils disent à la vérité que Dieu pardonne les péchés qui peuvent avoir été oubliés fans qu'il y ait de faute de la part du pénitent; c'eft ce que tous les Théologiens croient pareillement, & ce qui entre en quelque maniere dans les péchés d'ignorance. Mais à l'égard de ceux que le pénitent omettroit de déclarer par une mauvaise honte, l'Eglife Grecque n'enseigne rien de femblable.

Maniere

dont les

Pour éclaircir cette matiere, il eft à propos de remarquer que la ConGrecs fe feffion se fait parmi les Grecs & parmi les autres Chrétiens Orientaux, autrement que dans l'Eglife Latine, felon la difcipline préfente. Car notre

confef fent.

(b) Εἶτα ὁ ἐξομολογέμενος εἰς ὅσα δυνηθῇ καὶ ἐνθυμηθῇ κατ ̓ εἶδος εἰπεῖν καὶ ἐξομολογήσασθαι μετὰ συνε τετριμμένης καρδίας καὶ τεταπεινωμένης. Hierem. Refp. 1. p. 87.

(c) Όσα δὲ διὰ λήθην ἤ αἰδῶ ἀνεξομολόγητα ἐάσειεν, εἰχόμεθα τῷ ἐλεήμονι καὶ πανοικτίρμονι θεῷ, καὶ ταῦτα συγχωρηθῆναι αὐτῷ καὶ πεπείσμεθα τὴν συγχώρησιν τάτων ἐκ θεῖ λήψεσθαι. 10.

ufage eft, que celui qui fe confeffe déclare fes péchés, & le Prêtre les Liv. III. écoute. Les (d) Confeffeurs Grecs & Orientaux, après les premieres prieres CH. III. & bénédictions, s'affeyent & font affeoir le pénitent auprès d'eux, puis ils l'interrogent fur tous les péchés qu'il peut avoir commis, ce qui fe fait felon plufieurs formules que nous trouvons tant imprimées que manuf crites. Le P. Morin a donné au public celles de Jean le Jeûneur, où on voit toutes ces interrogations. Il fe peut donc faire que le Confeffeur oublie à interroger le pénitent fur quelques articles, & que celui-ci dans le trouble que caufe la confufion de s'accufer lui-même oublie, ou ne dife pas certains péchés dont on ne lui parle point. En cela le Prêtre manque à fon devoir, auffi-bien que le pénitent. Mais on ne voit dans les livres Pénitentiaux aucune abfolution, dans laquelle il foit fait mention des péchés celés au Confeffeur par mauvaise honte.

tirée de

mathonte.

On n'en peut citer de femblable que celle que le Pere Morin a donnée Objection de Germain Evêque d'Amathonte ; & même elle ne peut paffer pour une Germain abfolution facramentelle, puifque c'eft plutôt une formule d'Indulgence Evêq. d'Atelle qu'il s'en eft introduit dans les derniers temps: outre qu'elle ne marque pas une véritable abfolution de ces péchés celés par mauvaise honte, puifque les propres paroles font: Si par oubli ou par honte il n'a pas confeffé quelques péchés, pardonnez-le lui, ô Seigneur miféricordieux (e). Or elles n'ont rien qui ait rapport à l'abfolution & à ce qui paffe ordinairement pour forme de ce Sacrement parmi les Grecs. C'est une maniere d'Indulgence & de bénédiction, qui n'a rien de commun avec les prieres facramentelles, & par cette raison les conféquences qu'on prétendroit en tirer font entiérement fauffes.

Grecs con

Luthéra

nisme.

On a des preuves inconteftables que les Grecs confeffent tous leurs La difcipéchés de la maniere qui a été dite, en répondant aux interrogations du pline des Confeffeur. Il n'y a qu'à jetter les yeux fur celles qui font marquées dans traire au le Pénitentiel de Jean le Jeûncur, pour voir qu'ils n'omettent rien de ce qui varie les circonftances des péchés, ce qui fait voir combien ils font Mor. ut éloignés de ce que les Luthériens enfeignent fur la Confeffion. Ceux-ci fup. p. 79. la croient utile, & les Grecs la croient néceffaire. Les Luthériens difent qu'il n'eft pas besoin d'énoncer en détail tous les péchés : & les Grecs recommandent d'abord à celui qui s'approche de la Confeffion qu'il n'omette rien ; & il le faut bien, puifque les pénitences varient felon les circonftances des péchés, ainfi qu'on voit par les Pénitentiaux. Si Jérémie avoit dit autre chofe, il fe feroit certainement trompé.

(d) Poenit. Nefteutæ & al. apud Morin. Barfalibi Opufc. de recip. pœnit. MS. Syr. Pœni tentiale Tripolit. Syr. MS.

(ε) Όσα δὲ διὰ λήθην ἤ αἰδῶ ἀνεξομολόγητα ἔασε. Καὶ ταῦτα συγχωρήσαι αὐτῇ ἐλεημουν θεός German. App. Mor. de Pan. 139.

dans un

grand dé

tail des

LIV. III. Quand auffi les Proteftants prétendent tirer une preuve de ce que Tes CH. III. Grecs n'entrent pas dans un fi grand détail des péchés, d'où on conclut Ils entrent qu'ils ne demandent pas qu'on les confeffe tous, on voit que ceux qui raisonnent ainfi n'ont pas examiné les livres les plus communs. Le feul Pénitentiel de Jean le Jeûneur fait le dénombrement d'une grande quanpéchés. tité de péchés de la chair, qu'on ne lit qu'avec peine. Il en eft de même de divers Nomocanons & de Pénitentiaux grecs & latins, où des ames innocentes trouvent des chofes qui les font rougir: de même qu'il s'en trouve dans Yves de Chartres, dans Réginon, dans Burchard & dans tous les livres femblables, faits pour interroger les pénitents & pour marquer les peines canoniques, qui ne font plus obfervées. On ne peut faire ufage de pareils Pénitentiaux où il n'y a aucun Sacrement de Pénitence, & il ne s'en trouve pas un feul que les Proteftants aient fait pour leurs Eglifes: mais puifqu'ils ne peuvent nier que les Grecs obligent ceux qui confeffent leurs péchés à des prieres, à des jeûnes, des profternements, des pélerinages & à des aumônes, il faut avouer en même temps que leur difcipline eft auffi conforme à celle de l'ancienne Eglife, qu'éloignée de tout ce que la Réforme a introduit de nouveautés.

LesProtef tants ne

s'accor

dans ce

jectent

De Statu

Politica

On n'examinera pas en détail ce que Vejelius, Voet & quelques autres ont écrit fur cette matiere, quoique fans aucun fyftême réglé. Car tantôt dent pas ils prétendent trouver de la conformité entre les Grecs & eux, par des qu'ils ob arguments auffi foibles que ceux qui ont été rapportés: tantôt ils leur reprochent des erreurs, mettant en ce nombre des objections d'Arcudius, aux Grecs. & de quelques autres Ecrivains, fur des points de difcipline qui peuvent Ecc. Græc. être agités entre les Grecs & les Latins ; difpute dans laquelle on n'écoutera hodiern. jamais les Auteurs que ces Proteftants nous citent. Il y en a, difent-ils, Ecclefiaft, qui doutent que les Grecs donnent validement Pabfolution, parce qu'ils different P. 796. peu de ceux qui croient que ce Sacrement eft inftitué par la rémission de la peine & non de la coulpe. Quels Théologiens peuvent être ceux à qui il eft venu une pensée auffi étonnante & auffi éloignée des fentiments de l'Eglife Grecque, qui enfeigne que par le miniftere des Prêtres les péchés font véritablement pardonnés? La coulpe eft donc effacée, & en même temps le pénitent est délivré de la juste crainte des peines de l'enfer, qu'il avoit méritées par fes péchés. On ne trouvera jamais dans les Ecrits de leurs Théologiens une pareille diftinction. Si on entend par peine les pénitences canoniques, ils n'en abfolvent pas; puifqu'à l'exception des moribonds, le Confeffeur Grec les impose, & n'abfout pas fon pénitent qu'elles ne foient accomplies ou changées en d'autres oeuvres, fi le pénitent ne peut pas les foutenir par la foibleffe de fon tempérament, ou par quelqu'autre empêchement raisonnable. Si c'eft les peines du Purgatoire, les

Grecs

« AnteriorContinuar »