Recueil de pièces en prose et en vers, lues dans les assemblées publiques de l'Académie, Volúmenes1-2 |
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Cependant cette Societé trop libre , trop indépendante , & par - là peutêtre voifine de fa chute , malgré cette ardeur qui forme les nouveaux établissemens , fe voit tout à coup érigée en Académie & affujettie à des Loix confacrées par ...
Cependant cette Societé trop libre , trop indépendante , & par - là peutêtre voifine de fa chute , malgré cette ardeur qui forme les nouveaux établissemens , fe voit tout à coup érigée en Académie & affujettie à des Loix confacrées par ...
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On les voit , on les connoît , on leur parle , & dès - là le respect diminuë & laiffe la liberté de l'examen . On ofe , par exemple , lutter contre ce goût capricieux qui prête depuis quelques années des accens plaintifs à Thalie ...
On les voit , on les connoît , on leur parle , & dès - là le respect diminuë & laiffe la liberté de l'examen . On ofe , par exemple , lutter contre ce goût capricieux qui prête depuis quelques années des accens plaintifs à Thalie ...
Página 56
... partageant avec les Plantes la proprieté de vegeter , de vivre malgré l'amputation de fes parties , de croitre indépendamment de cette amputation , de produire autant d'Animaux qu'on voit de morceaux coupés , & qui en viennent comme ...
... partageant avec les Plantes la proprieté de vegeter , de vivre malgré l'amputation de fes parties , de croitre indépendamment de cette amputation , de produire autant d'Animaux qu'on voit de morceaux coupés , & qui en viennent comme ...
Página 68
ZELE ' partifan du filence , Il fçait à cette regle affujéttir l'efprit : Ne difant rien de ce qu'il pense , Ne penfant rien de ce qu'il dit : On a beau l'observer , l'œil quelque effort qu'il faffe , D'un cœur toujours fermé ne voit ...
ZELE ' partifan du filence , Il fçait à cette regle affujéttir l'efprit : Ne difant rien de ce qu'il pense , Ne penfant rien de ce qu'il dit : On a beau l'observer , l'œil quelque effort qu'il faffe , D'un cœur toujours fermé ne voit ...
Página 75
Sur ma bouche muette expire le murmure ; Je fens moins le poids de mes maux . Je voyois devant moi les horreurs du naufrage ; Quel foufle favorable a diffipé l'orage : Qui troubloit mes fens épérdus ? Mon efprit voit renaître 75.
Sur ma bouche muette expire le murmure ; Je fens moins le poids de mes maux . Je voyois devant moi les horreurs du naufrage ; Quel foufle favorable a diffipé l'orage : Qui troubloit mes fens épérdus ? Mon efprit voit renaître 75.
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affez ainfi Arts auffi Auteurs avoit beaux BERGERES bois brillant c'eft chargé cher CHŒUR Ciel cœur Communes connoiffances corps côté coup cours d'autres déja Dieu dire doit donner Efclaves efforts efpéce efprits Eleonor enfin étoient étoit fans faveur fecours fentiment fera feroit feul fils foins foit fond font force forme fort forte fous fouvent fuite général génie gloire goût Grecs heureux hommes j'ai jette jours l'Académie l'air l'amour l'art l'eau l'efprit l'homme l'Univers laiffe Lettres liberté lieu livre loix Louis main Maître malheureux Mars ment monde mort Mortels Moules n'eft n'en nature nouveaux nouvelle objets Ouvrages paffer paix parler peine Pere Peuple pieds place plufieurs porter premier Prince propre qu'à qu'un raifon rapport regner Reine Religion rend rendre rien Rochelle s'il Saint Seigneur tems tendre terre Tirée traits trouve vérité vive voit voix yeux
Información bibliográfica
| Título | Recueil de pièces en prose et en vers, lues dans les assemblées publiques de l'Académie, Volúmenes1-2 Recueil de pièces en prose et en vers, lues dans les assemblées publiques de l'Académie, Académie royale des belles-lettres de La Rochelle |
| Autor | Académie royale des belles-lettres de La Rochelle |
| Publicado | 1747 |
| Procedencia del original | Universidad de Oxford |
| Digitalizado | 3 Nov. 2006 |
| Exportar cita | BiBTeX EndNote RefMan |