Histoire de la rivalité de la France et de l'Angleterre, Volumen3J. S. Blaise, 1818 |
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Términos y frases comunes
alloit Angleterre Anglois Armagnacs auroit avoient avoit bataille Blois Bourbon Brembro Bretons c'étoit cardinal Castille Chandos Charles Charles-le-Mauvais château chevalier Clisson combat connétable couronne Craon Crécy crime croyoit crut d'Édouard dauphin déja devoit duc d'Anjou duc d'Orléans duc de Berri duc de Bourgogne duc de Bretagne duc de Glocestre duc de Lancastre Édouard Édouard III ennemis États étoient étoit faisoit fils Flandre foible foiblesse force François François Ier frère Froissard fureur gleterre glois gouvernement grace guerre Guesclin Henri hommes Jean l'Angleterre l'Écosse l'université maison maison de Lancastre malheureux Marcel mille Montfort mort n'avoient n'avoit n'étoient nation Navarre paix pape parcequ'il paroît père peuple Philippe de Valois Pierre-le-Cruel Poitiers politique pouvoit prévôt prince de Galles prince Noir prisonnier provinces qu'Édouard querelle rançon règne reine reste Richard rival rois royaume secours seigneurs seroit seul sujets supplice sur-tout tion traité de Brétigny Transtamare trève trône venger venoit vouloit voulut voyoit Walsing
Pasajes populares
Página 118 - Les cleres où a sapience l'on ne peut trop honorer, et tant que sapience sera honorée en ce royaume, il continuera à prospérité ; mais quand déboutée y sera , il décherra.
Página 67 - Jean de Conflans, maréchal de Champagne, et Robert de Clermont , maréchal de Normandie, furent tués sous les yeux du dauphin.
Página 340 - touche en rien ; ni entremettre ne vous devez » de notre sire le roi, ni de nous, qui sommes » de son sang et lignage; car nous nous cour...
Página 327 - J'ai vu , disait-il , la bataille « de Poitiers, où mon père le roi Jean «fut prins. et mieux vaut perdre la « bataille que le roi et la bataille. » Après cette terrible défaite, le duc de Berry s'efforça, en 1416, de faire accepter la paix que l'empereur Sigismond proposait de négocier entre la France et l'Angleterre. Il échoua devant l'opiniâtreté du connétable.
Página 242 - Pierre, c'est bien diabolique chose : je crois que tous les diables d'enfer, à qui il est, l'ont gardé et délivré de mes mains , car il y eut sur lui lancé et jeté plus de soixante coups que d'épées et de grands couteaux ; et quand il chéy jus du cheval, en bonne...
Página 114 - Dieu vous le pardonne , je regrette bien que vous êtes venu à cette mal fin. Chandos l'arrache de ce triste lieu et lui dit : Monseigneur, vous ne pouviez avoir votre cousin en vie et le duché tout ensemble. Remerciez Dieu et vos amis.
Página 107 - Dieu, souvenez-vous que nous avons « un nouveau roi de France ; que sa «couronne soit aujourd'hui étrennée «par vous; pour moi, j'espère donner « au roi le captai de Buch pour étrennes «de sa noble royauté.
Página 316 - ... restitués et amenés au parvis de Notre-Dame, et rendus à l'évêque de Paris comme clercs, et aux députés de l'Université comme suppôts d'icelle, à très...
Página 151 - ... de Lourdes ne vous rendrai-je jà. Vous m'avez mandé, si pouvez faire de moi ce qu'il vous plaira. Je le tiens du roi d'Angleterre qui m'ya mis et établi, et à personne qui soit je ne le rendrai fors à lui. » Quand le comte de Foix ouït cette réponse si lui mua le sang en félonnie (colère) et eh courroux et dit, en tirant hors une dague: « Ho ! faux traître, astu dit ce mot de non faire ? Par cette tête tu ne l'as pas dit pour néant.
Página 303 - ... n'en doit pas être mécontent, mais doit avoir mondit seigneur de Bourgogne ainsi que son action pour agréables, et l'autoriser en tant que de besoin. De plus , il doit le récompenser et rémunérer en trois choses, savoir : en amour, honneur et richesses, à l'exemple des rémunérations qui furent faites à monseigneur saint Michel l'archange et au vaillant homme Phinée. J'entends en mon gros...