Histoire de l'abbé de Rancé et de sa réforme, Volumen1Poussielgue Frères, 1869 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 82
Página xxx
... aurait plus rien à espérer . Quand les Romains de la décadence ne se ressouvinrent des légumes et des vases de terre ... a - t - il engagé les autres à se soumettre . Oh ! que l'Eglise eût été heureuse , si elle n'avait jamais eu que des ...
... aurait plus rien à espérer . Quand les Romains de la décadence ne se ressouvinrent des légumes et des vases de terre ... a - t - il engagé les autres à se soumettre . Oh ! que l'Eglise eût été heureuse , si elle n'avait jamais eu que des ...
Página xxxv
... a été un réformateur , il a crié contre toutes les mitiga- tious , contre tous les relâchements , et tous les mitigés , tous les relâchés ont crié contre lui , manus ... aurait été comme le dernier reflet et le couronne- INTRODUCTION . XXXV.
... a été un réformateur , il a crié contre toutes les mitiga- tious , contre tous les relâchements , et tous les mitigés , tous les relâchés ont crié contre lui , manus ... aurait été comme le dernier reflet et le couronne- INTRODUCTION . XXXV.
Página xxxvi
abbé Louis Dubois. qui aurait été comme le dernier reflet et le couronne- ment du Génie du Christianisme . En a - t - il été ainsi , et les intentions du pieux confesseur ont - elles été remplies ? Hélas ? non , ce fut une surprise , un ...
abbé Louis Dubois. qui aurait été comme le dernier reflet et le couronne- ment du Génie du Christianisme . En a - t - il été ainsi , et les intentions du pieux confesseur ont - elles été remplies ? Hélas ? non , ce fut une surprise , un ...
Página 4
... aurait pas élevés à la hau- teur où ils parvinrent tous , s'ils n'avaient trouvé sur leur route un de ces hommes rares à qui les honneurs ne font point oublier leurs amis , et qui les fit monter à sa suite jus- qu'au faîte des grandeurs ...
... aurait pas élevés à la hau- teur où ils parvinrent tous , s'ils n'avaient trouvé sur leur route un de ces hommes rares à qui les honneurs ne font point oublier leurs amis , et qui les fit monter à sa suite jus- qu'au faîte des grandeurs ...
Página 10
... a- dopter et le prendre publiquement sous sa protection ( 1 ) . Le jeune Armand annonça , dès ses plus tendres années ... aurait voulu sans cesse l'avoir ( 1 ) Regist . ecclés . de S. Cosme , année 1626. ( Hôtel de ville de Paris . ) 1 ...
... a- dopter et le prendre publiquement sous sa protection ( 1 ) . Le jeune Armand annonça , dès ses plus tendres années ... aurait voulu sans cesse l'avoir ( 1 ) Regist . ecclés . de S. Cosme , année 1626. ( Hôtel de ville de Paris . ) 1 ...
Términos y frases comunes
abbaye abbé de Rancé affaires âme amis Arnauld assez avaient Bellefonds Biblioth Bossuet Bouthillier Bref c'était cardinal de Retz cénobites Chapitre charité Charles Denis choses cisterciens Citeaux Clément IX cloître cœur collége des Bernardins consolation crit crut d'Aleth d'Andilly devant devoir Dieu diocèse dire ecclésiastique écrivit évêque Foucarmont frère fût Gervaise Gonod Hist homme j'ai jamais jansénistes Jésus-Christ jour Jugem l'abbaye l'abbé de Cîteaux l'abbé de Rancé l'abbé le Roy l'archevêque l'avait l'Eglise l'Etroite-Observance l'évêque Lettres de l'abbé lui-même mains maison Manuscrit de Septfons maréchal Marsoll Maupeou Mazarin ment monastère monastique monde Montbazon mort n'avait n'était Nain Pamiers Pape parler passer pénitence pensée Père abbé Perseigne personne piété Port-Royal pouvait prélat premier prêtre prières Providence Réforme règle religieux répondit reste rien Rome s'était saint Bernard Sainteté savait sentiments serait seul solitude Tamié tion Trappe Trappistes trouver Val-Richer Véretz vérité visite voulait voulut
Pasajes populares
Página 120 - ... converti, jeté dans la retraite, et de là dans l'ordre de SaintBernard et dans sa réforme. Il n'ya rien de vrai en cela, mais seulement des choses qui ont donné cours à cette fiction. Je l'ai demandé franchement à M.
Página 421 - ... je vous fais cette lettre pour vous dire que mon intention est qu'aussitôt que vous l'aurez reçue...
Página 550 - Si M. l'Abbé de la Trappe vous a imputé, comme vous le dites, un sentiment que vous n'avez pas, vous-même vous ne croyez pas qu'il l'ait fait dans le dessein de vous nuire; et tout au plus il se pourroit faire qu'il auroit mal pris votre pensée : erreur qui, après tout, est fort excusable. « Les paroles fortes et rudes dont...
Página 550 - Sans juger ce qu'il ya ici de personnel, il ya sujet de louer Dieu de ce que vous et M. l'Abbé êtes d'accord dans le fond, puisqu'il convient que les corrections fondées sur le mensonge n'ont point de lieu parmi les Chrétiens, et que vous avouez aussi qu'on ne peut avec raison rejeter celles qui se fondent sur des fautes présumées par quelque apparence. « Ainsi la vérité ne souffre point dans votre contestation, et il me semble aussi, Monsieur, jusqu'ici que la charité n'y est point blessée.
Página 575 - ... vrir mon cœur touchant les bruits qu'on ne se lasse point « de répandre sur mon sujet, et auxquels, par la grâce de « Dieu, je n'ai jamais donné aucun fondement légitime « par ma conduite. Je ne vous en parle pas pour votre
Página 121 - Bossuet connaissait-il ce que l'on racontait de Mme de Montbazon ? faisait-il allusion à la tête de cette femme, en envoyant deux autres têtes s'entretenir avec elle ? La sorte de plaisanterie formidable qu'il se permet ne semble-t-elle pas avoir des rapports avec la légèreté de la première vie de Rancé et la sévérité de sa seconde vie ? On prétend qu'on montrait à la Trappe la tête de...
Página 223 - ... courbées : les parloirs servaient d'écuries. Le réfectoire n'en avait plus que le nom. Les moines et les séculiers s'y assemblaient pour jouer à la boule lorsque la chaleur et le mauvais temps ne leur permettaient pas de jouer au dehors.
Página 118 - ... heure, au lieu des douceurs dont il croyait aller jouir, il y vit pour premier objet un cercueil qu'il jugea être celui de sa maîtresse en remarquant sa tête toute sanglante, qui était par hasard tombée de dessous le drap dont on l'avait couverte...
Página 170 - ... notre bonheur, mais l'innocence des mœurs, la simplicité et la modération des désirs, la privation des choses dont on se peut passer, la soumission à la volonté de Dieu, l'amour et l'estime de l'état dans lequel il a plu à Dieu de nous mettre.
Página 234 - 11 est vrai, je suis prêtre, mais j'ai vécu jusques ici d'une manière indigne de mon caractère ; je suis docteur, mais je ne sais pas l'alphabet du christianisme ; je fais quelque figure dans le monde, mais j'ai été semblable à ces bornes qui montrent les chemins aux voyageurs et qui ne se remuent jamais. » L'abbé de Prières fut vaincu.