| Jean-Jacques Rousseau - 1798 - 424 páginas
...raison que je n'avais pas encore; mais elles m'en formèrent une d'une autre trempe, et me donnèrent de la vie humaine des notions bizarres et romanesques, dont l'expérience et la réflexion n'ont jamais bien pu me guérir. Les romans finirent avec l'été de 1719. L'hiver suivant ce fut autre... | |
| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1813 - 532 páginas
...n'avais point encore; » mais elles m'en formèrent une d'une autre » trempe, et me donnèrent de la vie humaine » des notions bizarres et romanesques, dont » l'expérience et la réflexion n'ont jamais bien » pu me guérir. » A vingt-cinq ans i il n'avait fait encore aucune étude suivie;... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 454 páginas
...que je n'avois pas encore ; mais elles m'en formèrent une d'une autre trempe , et me donnèrent de la vie humaine des notions bizarres et romanesques , dont l'expérience et la réflexion n'ont jamais bien pu me guérir. Les romansfinirent avec l'été de 1719. L'hiver suivant, ce fut autre... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 494 páginas
...que je n'avais pas encore ; mais eUes m'en formèrent une d'une autre trempe , et me donnèrent de la vie humaine des notions bizarres et romanesques , dont l'expérience et la réflexion n'ont jamais bien pu me guérir. (1719-1723.) Les romans finirent avec l'été de 1719. L'hiver suivant,... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 508 páginas
...fois plus de larmes dans mon enfance que les miens « ni . ;,•-, ne m'en ont jamais fait verser. » vie humaine des notions bizarres et romanesques, dont l'expérience et la réflexion n'ont jamais bien pu me guérir. (1719-1723.) Les romans finirent avec l'été de 1719- L'hiver suivant,... | |
| Eustache Marie Pierre Courtin - 1831 - 492 páginas
...épargner le contrariétés de son âge : Jean-Jacques ne ne rappelait pas comment il avait appris h lire , mais il se souvenait que ses premières lectures...Aux romans succédèrent néanmoins quelques bons livre» , parmi lesquels se trouvaient les vies de Plutarque, dont il fit alors sa lecture favorite.... | |
| L. Meynier - 1830 - 176 páginas
...que je n'avais point encore ; mais elles m'en formèrent une d'une autre trempe , et me donnèrent de la vie humaine des notions bizarres et romanesques dont l'expérience et la réflexion n'ont jamais bien pu me guérir. Les romans finirent avec l'été de i7i9. La bibliothèque de ma mère... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1832 - 412 páginas
...que je n'avois pas encore ; mais elles m'en formèrent une d'une autre trempe , et me donnèrent de la vie humaine des notions bizarres et romanesques , dont l'expérience et la réflexion n'ont jamais bien pu me guérir. (17 19-1723.) Les romans finirent avec l'été de 1719. L'hiver suivant,... | |
| Franc̨ois Marie Pérennès - 1851 - 890 páginas
...les émotions que son enfance y puisa lui «don« nèrent sur la vie humaine des notions bi« zarres et romanesques, dont l'expérience « et la réflexion ne purent jamais bien le « guérir. » II lut néanmoins quelques bons livres, tels que les Fies de Plutarque. Son père, obligé de quitter... | |
| 1852 - 1204 páginas
...raison que je n'avais pas encore; mais elles m'en formèrent une d'une autre trempe, et me donnèrent de la vie humaine des notions bizarres et romanesques dont l'expérience et la réflexion n'ont jamais bien pu me guérir (1). » Pour un homme sensible, ce qu'il ya de pis au monde, c'est... | |
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