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§. VIII. Connoiffances que doit avoir le Général. Le fecret,

IX. Précautions à prendre,

§. X. Obfervations & précautions dans la marche & dans le combat,

§. XI. Ordre de bataille,

127.

128.

130.

131.

CHAP. VII. Xantippe arrive à Carthage, fon fentiment fur la défaite des Carthaginois.

Bataille de Tunis. Ordonnance des Carthaginois. Ordonnance des Romains. La ba-

taille fe donne, & les Romains la perdent. Réfléxions fur cet événement. Xantippe

retourne dans fa patrie. Nouveaux préparatifs de guerre,

OBSERVATIONS fur la guerre du Conful Régulus contre Xantippe,

134.

148.

§. I. Fortune inégale de Régulus. Caractére des Carthaginois. Confiance qu'ils prennent

en Xantippe. Exemple unique,

6. II. Ordre de bataille des Romains & des Carthaginois,

6. III. Bataille,

§. IV. Reflexions fur les fautes des Romains,

CHAP. VIII. Victoire navale des Romains, & la tempête dont elle fut fuivie.

précipite leur génie entreprenant. Prife de Palerme,

ibid.

150.

159.

162.

CHAP. IX. Autre tempête funefte aux Romains. Bataille de Palerme,

CHAP. X. Les Romains lévent une nouvelle armée navale, & concertent le fiége de

Lilybée. Situation de la Sicile. Siége de Lilybée. Trahison en faveur des Romains dé-

couverte. Secours conduit par Annibal. Combat fanglant aux machines,

CHAP. XI. Audace étonnante d'un Rhodien, qui eft enfin pris par les Romains. In-

cendie des Ouvrages. Bataille de Drépane,

166.

173.

OBSERVATIONS fur la bataille navale de Drépane,

CHAP. XII. Junius paffe en Sicile. Nouvelle difgrace des Romains à Lilybée. Ils évi-

tent heureusement deux batailles. Perte entiére de leurs vaisseaux. Junius entre dans

Eryce, defcription de cette ville,

183.

OBSERVATIONS fur la défaite de la flotte des Romains fur la route d'Héraclée 188.

CHAP. XIII. Prife d'Erete par Amilcar. Différentes tentatives des deux Généraux l'un con-

tre l'autre. Amilcar affiége Eryce. Nouvelle flotte des Romains commandée par C. Lutațjus.

Bataille d'Egufe,

OBSERVATIONS fur le rétablissement de la Marine des Romains,

192.

200.

§. I. De quelle importance il est pour un Etat d'avoir une forte Marine. Moien dont les
Atheniens fe fervirent pour en former une,
ibid.

§. II. Loi des Athéniens pour la construction d'une flotte, & correction de cette loi, 201.

§. III. Les Athéniens, malgré leurs forces de mer, tombent en la puissance de Lacédé-

mone. Caufe de cette révolution,

203.

§. IV. Les Romains rétablissent leur Marine. Avantages qu'ils en tirérent, & dont

nous nous sommes privez en ne les imitant pas,

OBSERVATIONS fur la bataille navale d'Egufe,

204.

206.

208.

§. I. Victoire des Romains. Pourquoi Amilcar n'alla point au-devant de Hannon, ibid.

§. II. Réfléxions fur les fautes des Carthaginois,

CHAPITRE XIV. Traité de paix entre Rome & Carthage. Réfléxions fur cette

guerre. Sort des deux Etats après la conclufion de la paix,

OBSERVATIONS fur la guerre d'Eryce,

211.

214.

§. I. Que la plupart des hommes ne jugent du mérite des guerres qu'autant qu'elles font groffes,

& les armées de part & d'autre puiffantes en appareil & en nombre d'hommes, ibid.

§. II. Que le coup d'œil militaire produit le grand & le beau d'une guerre. Qu'il peut

s'acquérir par l'étude & l'application. Erreur de ceux qui prétendent que c'est un pré-

fent de la nature,

TABLE DES CHAPITRES ET OBSERVATIONS.

§. III. Qu'il ne faut pas attendre l'occafion de la guerre pour se former le coup d'œil,
qu'on peut l'apprendre & l'acquérir par l'éxercice de la chaffe. Eloge de Machia-

vel,

§. IV. Le coup d'œil réduit en principes & en méthode

§.

221.

223.

V. Qu'une guerre de défenfive ne peut être eftimée, fi l'offenfive ne s'y trouve fouvent

mêlée,

228.

§. VI. Quels étoient les deffeins de Barcas dans cette guerre d'Eryce. Que les païs de

montagnes && de défilez, où l'on ne peut donner que par une tête, font les plus favora-

bles pour tirer la guerre en longueur

231.

§. VII. Que rien ne marque davantage l'infuffifance & le peu de hardieffe d'un Général

d'armée, que de ne pas profiter des avantages & des chicanes qui s'offrent fans ceffe

dans les pais de montagnes difficiles & fcabrenfes,

APPROBATIO N.

234

Ar lû par Ordre de Monfeigneur le Garde des Sceaux, la Traduction de Polybe par
Dom Vincent Thuillier, Bénédictin de la Congrégation de Saint Maur, avec les Com-
mentaires & Differtations de M. le Chevalier de Folard; & je crois que le Public équi-
table verra avec plaifir les recherches & les découvertes qui y font répandues fur la
tactique des Anciens & fur la Science militaire, fans qu'il faffe un crime à l'Auteur de
ces Commentaires de la vivacité & de la fincérité de fon ftile. A Paris ce 17 Février
1727. Signé, LANCELOT.

Tom. I.