Œuvres de M. Boileau Despréaux.. |
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OEUVRES DE M. BOILEAU DESPRÉAUX.: TOME SECOND, Volumen2 Nicolas Boileau Despréaux Vista completa - 1793 |
Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 113 - Sa muse en arrivant ne met pas tout en feu, Et, pour donner beaucoup, ne nous promet que peu...
Página 110 - Que le début soit simple et n'ait rien d'affecté. N'allez pas dès l'abord, sur Pégase monté, Crier à vos lecteurs, d'une voix de tonnerre: " Je chante le vainqueur des vainqueurs de la terre.
Página 356 - S'en va tomber sous la foudre , Qui dompta Lille , Courtrai , Gand la superbe Espagnole , Saint-Omer, Besançon , Dole , Ypres, Mastricht, et Cambrai. Mes présages s'accomplissent : II commence à chanceler ; Sous les coups qui retentissent Ses murs s'en vont s'écrouler.
Página 65 - Il n'est point de serpent ni de monstre odieux Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux : D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
Página 214 - En vain deux fois la paix a voulu l'endormir : Loin de moi son courage entraîné par la gloire Ne se plaît qu'à courir de victoire en victoire. Je me fatiguerais à te tracer le cours Des outrages cruels qu'il me fait tous les jours.
Página 109 - N'imitez pas ce fou qui, décrivant les mers, Et peignant, au milieu de leurs flots entr'ouverts, L'Hébreu sauvé du joug de ses injustes maîtres, Met, pour le voir passer, les poissons aux fenêtres ; Peint le petit enfant qui va, saute, revient, Et joyeux à sa mère offre un caillou qu'il tient.
Página 45 - Tantôt, comme une abeille ardente à son ouvrage, Elle s'en va de fleurs dépouiller le rivage ; Elle peint les festins, les danses, et les ris ; Vante un baiser cueilli sur les lèvres d'Iris, " Qui mollement résiste, et par un doux caprice, Quelquefois le refuse, afin qu'on le ravisse.
Página 422 - II met bas son fagot, il songe à son malheur. Quel plaisir at-il eu depuis qu'il est au monde ? En est-il un plus pauvre en la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos. Sa femme, ses enfants, les soldats, les impôts, Le créancier, et la corvée Lui font d'un malheureux la peinture achevée. Il appelle la mort, elle vient sans tarder, Lui demande ce qu'il faut faire C'est, dit-il, afin de m'aider A recharger ce bois ; tu ne tarderas guère.
Página 265 - Inutile ramas de gothique écriture, Dont quatre ais mal unis formoient la couverture, Entourée à demi d'un vieux parchemin noir, Où pendoit à trois clous un reste de fermoir. Sur l'ais qui le...
Página 29 - Un ftile fi rapide , & qui court en rimant , Marque moins trop d'efprit , que peu de jugement.