Principes pour la lecture des poëtes, Volumen1Durand, 1745 |
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... commun par mi les jeunes gens de nos jours , que c'eft un bon office à leur rendre que de leur en faire fen- tir le ridicule . Quelle diffé- rence en effet entre ce triom- phe momentané , entre la fauffe gloire qu'ils viennent d'acque ...
... commun par mi les jeunes gens de nos jours , que c'eft un bon office à leur rendre que de leur en faire fen- tir le ridicule . Quelle diffé- rence en effet entre ce triom- phe momentané , entre la fauffe gloire qu'ils viennent d'acque ...
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... commun des Lecteurs ne découvre pas dans toute leur étenduë , les regles que l'Auteur prefcrit , où quelqu'unes même de ces regles font encore problémati- ques , où les préceptes ne font pas toujours appuyez , ni les défauts démontrez ...
... commun des Lecteurs ne découvre pas dans toute leur étenduë , les regles que l'Auteur prefcrit , où quelqu'unes même de ces regles font encore problémati- ques , où les préceptes ne font pas toujours appuyez , ni les défauts démontrez ...
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... communs . Si un homme de cette derniere claffe ne peut resister à la démangeaifon de faire des Vers , ce mépris dont fes Ouvrages font payez , doit bien le guerir de fa folie : que fi ce rémede n'opere pas , & qu'il veuille à la faveur ...
... communs . Si un homme de cette derniere claffe ne peut resister à la démangeaifon de faire des Vers , ce mépris dont fes Ouvrages font payez , doit bien le guerir de fa folie : que fi ce rémede n'opere pas , & qu'il veuille à la faveur ...
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... précisément , c'est un juge- ment exquis , foutenu d'une ima gination vive & brillante commun à tout ce qu'on appelle beaux arts : Il fe diverfific fuivant les objets qu'il embrasse , & retient par- tout le nom de Génie 2 DE LA LECTURE.
... précisément , c'est un juge- ment exquis , foutenu d'une ima gination vive & brillante commun à tout ce qu'on appelle beaux arts : Il fe diverfific fuivant les objets qu'il embrasse , & retient par- tout le nom de Génie 2 DE LA LECTURE.
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... qu'elle ne les mérite fe rallentiffent bientôt pour faire place au mépris . L'efprit eft plus commun qu'on ne fe l'imagi tems . fité du bon fens , 1 ne ; ilfait à proprement parler la ref fource des A iiij DES POETES . "
... qu'elle ne les mérite fe rallentiffent bientôt pour faire place au mépris . L'efprit eft plus commun qu'on ne fe l'imagi tems . fité du bon fens , 1 ne ; ilfait à proprement parler la ref fource des A iiij DES POETES . "
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affez aifé ainfi amufer Anacréon Art Poët auffi Auteur avoient avoit beautés befoin Bergers bon fens c'eft c'eſt Cantate caufe Chant chofes compofé confifte connoiffance crire défauts Defpréaux deftins délicateffe Dieux difcours doit efpeces efprit Epique eſt étoient étoit exem expreffions fage fageffe fans fçait fçauroit fecond femble fenfé fens fent fentimens feroit fervir feul fiécle fillabes fimple fimplicité fions fociété foient foit folides font fous fouvent ftances ftyle fublime fuccès fuffit fuiv fujet génie goût graces idées Incipe jufte jufteffe l'amour l'art l'efprit l'Ode laiffe Lecteurs Lirique lumieres Malherbe Marot matiere mefure ment meſure moeurs monieux Mothe Mufique n'eft n'eſt néceffaire nobleffe ouvrages paffé paffions penfées penſées perfonnes Philofophie Pindare plaifir Poë Poëfie Poëme Poëtique pofe Préfentes prefque propofe puiffe qu'un raifon refte Rien n'eft rimes Rondeau Rouffeau s'eft Sappho Satire ſtyle tems tion ufage Voltaire vrage