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les Egyptiens ne paroiffent point avoir connus, ne me paroît pas fondé, & ne détruit pas ma conjecture, &c.

Page 42. lig. 23. en plufieurs, lif. dans plufieurs.

Page 43. lig. 6. Odefcachi,lif. Odescalchi. Dans la Description du Taureau Apis de la Planche XII. Il faut ajouter qu'il a les yeux d'or; j'ai oublié cette circonftance.

Page 47. avant-dernière ligne double, lif. douille.

Page 48. lig. 11. où l'on n'a pas dû être étonné, lif. où l'on ne doit pas être étonné.

Page 49. lig. 6. animal qu'on ne voir pas ordinairement fur les monumens Egyptiens, ajoutez de ce genre.

Page 51. lig. 18. n°. I. lif. n°. II.

Page 54. lig. dernière, Caunacas, lif. Caunakes.

Page 58. Lig. 9. Il y eut eu, lif. Il eut eu; lig. 10. & c'est ce qui m'a, lif. & c'eft ce qui a.

Page 60. lig. 30. je pafle à préfent, retranchez à préfent.

Page

82. lig. dernière, que l'on voit, lif. que l'on voye.

Page 89. lig. 7. les mains, lif. la main.

Page 92. Planche XXVIII. lif. XXXI.

Page 104. lig. premiere, Planche XXV. lif. XXXIII.

Page 112. lig. 13. Gryhhons, lif. Gryphons.

Page 129. première lig. du n°. II. Planche XLII. lif. XLV.
Page 136. Les numeros II & III. font tranfpofés fur la Planche
LI.

Page 139. à la fin du no. I. après ces mots, conferver ce que l'on a pû, ajoutez : la Toque ou cette Coëffure qui s'eft confervée dans la Province de Béarn étoit en ufage dans plufieurs endroits de la Grèce; on voit même que Caligula permit au peuple qui alloit toujours la tête nue, de fe fervir dans l'amphitéâtre des Chapeaux de Theffalie, qui, fans doute n'étoient pas autrement formés.

Page 167, lig. 12. connoiffance parfaite, ôtez parfaite.
Page 171.lig. 25. Planche LXXXVII. lif. LXXXV.

Page 176. lig. premiere, quoiqu'ils lui étoient auffi confacrés, lif. quoiqu'ils lui fuffent auffi confacrés.

Page 181.lig. 11. qu'on lui donne le nom, ajoutez de.

Page 183. lig. 5. c'est que,

lif. eft

que.

Page 189. lig. premiere, Planche LI. lif. LIV.

Page 193. lig. 20. varni, lif. vernis.

Page 195.lig. 27. Choifi, lif. Choifi-le-Roi.

Page 197. lig. deuxieme, après numero I. Il faut ajouter : les grains

Arcadie,pag.164. tradu&t. de Ge

doyn.

Pag. 100. Lib. IV. Cap. 14.

Liv. XIX.

de cette forme ont fervi de parure & de colier au menu peuple & aux esclaves chez les Romains.

Page 208. lig. 3. avant la fin de la page, Tympanum, lif. Cym-.
balum.

Page 209. lig. 17. jufqu'à ce Cabinet, lif. dans ce Cabinet.
Page 210. lig. 17. portoient des Simulacres pendus à leur col,
ajoutez: Paufanias dit au fujet d'une Image de Cérès, nommée
Cidaria: Le jour des grands mystères, le Prêtre prend cette
Image, il la met fur fes habits, & prenant enfuite de petites
baguettes, il en donne quelques coups aux naturels du pays,
en fuivant un certain ordre.

Page 211. lig. 22. Planche LX. lif. LXIII.

Page 224. lig. 24. à ceux dont les tombeaux renferment les cendres, ajoutez. Voyez à ce fujet la Roma Subterranea : l'Afcia y paroît bien exprimée pour être l'outil qui fervoit à préparer le terrein que le tombeau devoit occuper; & quoique le fçavant Auteur de cet Ouvrage, ne préfente pas cette réflexion, je crois pouvoir y renvoyer le Lecteur. Malgré le nombre des Infcriptions que l'on trouve dans ce même Ouvrage, il faut convenir que celles qui font mention de l'Afcia font trèsrares en Italie: il femble que les Romains n'y attachoient aucune fuperftition; l'ufage que les premiers Chrétiens en ont fait, le prouve incontestablement; mais en même tems, on ne peut douter que les Payens de nos Provinces méridionales ne fuffent attachés à cette Cérémonie ; & tout fera d'accord, fi l'on pense que cette petite partie de l'Empire Romain ne donnoit pas le ton, & ne pouvoit faire aucune impreffion fur les premiers Chrétiens d'Italie.

Page 237. à la marge, Planche LXXXVII. lif. Planche XCI.
n°. I, II & III.

Page 251. ajoutez à la fin de totale la page: & je crois que
cette Aigle a été employée dans une Enfeigne militaire.
Page 262. à la dernière ligne, après la mesure rapportée, ajoutez :
Selon Ammian Marcellin, les Anciens portoient fous leurs
Cafques un bonnet de laine.

Page 281. lig. 2. du n°. IV. dans un Village, &c, ajoutez : dans
le Village de Meruielle auprès de Montpellier.

CORRECTIONS

CORRECTIONS & ADDITIONS pour le fecond Volume.

PAGE 6. de l'Explication des Vignettes & des Culs-de-lampes de la Claffe des Etrufques, ligne 11. lifez des Egyptiens. J'ai eu tort de dire à cette occafion & dans le même article: Ce morceau paroît cependant trop petit pour cet ufage. Cette dévotion étoit regardée comme un Symbole; le volume ni le poids ne paroiffent y être entrés pour rien.

Page 22. n°. III. J'ai eu tort de mettre en doute que ce Camée ait été travaillé par les Egyptiens, on verra dans le IV. Volume, que cette nation ne peut avoir admis un genre de travail fi peu folide; il faut donc attribuer ce monument aux Grecs, ou féduits par le culte Egyptien, ou habitans de l'Egypte.

Page 33. lig. 17. fe trouve, ajoutez presque toujours.

Page 34. lig. 5. des petits bronzes, ajoutez de cette Planche.
Page 34. lig. 22. ont fait naître, lif. m'ont fait naître.

Sur la Planche IX. le numero IV. eft mal écrit, ce doit être le
Chifre VI.

Sur la Planche XVII. Le numero III. eft tranfpofé. Il doit être au
numero V.

Planche XVIII. Le Graveur a oublié deux points, marqués der-
riere la Figure du Cerf no. II.

Page 107. prouvent l'originalité de tous les autres morceaux,
lif. indiquent, & ajoutez ou du moins l'opinion qu'on en avoit.
Page 146. quatre lignes avant la dernière : des, lif. de la.
Page 155. J'ajouterois à ces mots, les deux marbres finguliers qui
terminent l'Explication de la Planche LI. Stephanus écrit que
les Phéniciens connoiffoient la Déeffe Onca, d'où les portes
de Thèbes ont été appellées Oncéennes. Stephanus cite Eu-
phorion à ce fujet. Hélychius parle de Minerve-Onca, & dit

la même chofe par rapport aux portes de Thèbes. Il eft vrai- De Diis gentium
femblable que Cadmus a apporté ce nom de Minerve, de la Gyraldi lyntag-
Phénicie dans la Béotie; ce Prince lui avoit élevé une Statue mata, pag. 342.
à Oncis, village de Béotie, où Minerve-Onca étoit adorée :
elle étoit également nommée Onca & Onga.

Page 169. ajoutez à la fin de la page & de l'alinea: Retenu par l'exceffive modeftie de M. Melot, dont je regretterai longTome IV.

b

tems l'amitié, les talens & les lumières. Il ne m'a pas été poffible d'avouer pendant l'impreffion de ce Volume, les obligations que je lui ai dans ce morceau. Il n'eft plus, & malhéureufement je puis témoigner aujourd'hui, ma reconnoiffance & mes regrets.

Page 294. lig. 10. LXXXV. lif. LXXXIX.

Page 334. ajoutez au no. III. Diodore de Sicile dit au fujet de ces fortes de braffelets, que les Gaulois trouvent abondamment de l'or dans leurs rivières; qu'ils l'épurent par le moyen du lavage pour l'employer à la parure des femmes & même à celle des hommes; car, ajoute-t-il, ils en font des anneaux ou plutôt des cercles qu'ils portent aux deux bras & aux poignets, mais encore des coliers extrêmement maffifs & méme des cuiraffes. Liv V. pagg. 231 & 232. Traduct. de l'Abbé Terraffon. Page 354.lig 26. Poncis, lif. Pontis.

Page 369. lig. 4. Depuis Chôra, village fur l'Yonne près de Vezelai jufqu'à, &c. lif. depuis Chôra, village fur la rivière de Cure qui tombe dans l'Yonne, jufqu'à, &c.

Page 378. lig. 22. est, lif. étoit.

Je crois que c'eft ici le lieu de répondre à quelques objections de M. Winkelmann fur les Volumes qui ont paru de cet Ouvrage. 10. Il me reproche à la page 21. du Catalogue des Pierres gravées de M. Stoch, de n'avoir rien dit du flocon de cheveux. d'Harpocrates en parlant de cette Divinité au n°. I. de la Planche IV. de ce second Volume. Mais s'il avoit eu la bonté de lire l'Explication de la Planche VIII. n°. I & II. du premier Volume de ce Recueil, il y auroit trouvé le paffage de Macrobe qu'il cite je crois même être le premier qui aie trouvé la véritable fignification de cet ornement bizare. Ainfi tout ce que je puis ajouter à cet article, c'est de renvoyer le Lecteur à cet endroit du premier Volume.

2°. Il dit page 453. que je me fuis figuré avoir un trochus dans mon Cabinet, & c'eft celui que j'ai rapporté dans le premier Volume, Planche LXXXI. n°. III. Je ne lui difputerai pas que les Anciens n'en ayent eu de plus grands; mais il n'avoient jamais été portés au nombre de douze par une Danseuse qui les jettoit en l'air en danfant au fon de la flûte..

3°.

Il croit voir un œil dans la gravure d'une pierre que j'ai rapportée dans ce Volume, Planche X. n°. III. Je puis l'affurer que ce n'en eft pas un; mais je un; mais je me garderai bien de prononcer quel objet ce peut être.

4°. Il penfe, page 468. que la gravure qui préfente vingt chevaux de front conduits par un homme, peut représenter un de ces hommes qui fautoient, en courant, d'un cheval fur un autre. Il fe trompe affurément; car les chevaux font non-feulement attelés à un char; mais celui qui les conduit tient un fouet d'une main & de l'autre une palme. La Pierre en question eft aujourd'hui dans le Cabinet du Roi, & fe trouve dans le Tome I. de ces Antiquités, Planche LX. n°. IV.

CORRECTIONS & ADDITIONS
pour le troifiéme Volume.

PAGEX

AGE XV. Préface, ligne 10. croyent voir, lif. voyent.

Page 39. lig. 4. retranchez, comme on le voit par le fil indiqué fur le deffein. Page 42. lig. 21. branche, lif. tranche.

Page 45. au no. IV. de la Planche X. J'aurois pû parler plus affirmativement encore, & dire que ce monument eft Perfe.

Page 58. ajoutez à la fin de l'article. J'ignorois quand ce Volume a été imprimé, que ce petit vafe étoit de Pierre obfidienne; j'ai dit qu'il étoit de cryftal noir; on peut le comparer avec les Mémoires de l'Académie des Belles-Lettres pour l'année 1760. où l'on verra la décifion de M. de Juffieu. La médiocrité du volume & la forme deftinée pour la parure, prouvent la confidération que l'on avoit pour cette matière.

Page 88. lig. 18. de le quitter, lif. de les quitter.

Planche XL. n°. IV. Le Graveur a oublié de mettre le modius fur la tête de ce Jupiter; & je ne me fuis apperçu de fa négligence qu'après l'impreffion de l'Ouvrage.

Page 142. on a oublié de donner la proportion du monument numéroté
V. je la reftitue.

Hauteur un pouce huit lignes.
Largeur un pouce cinq lignes.
Page 164. lig. 32. monument, lif. mouvement.

Page 213. Tout ce que j'ai dit dans cet article n°. V. eft jufte, à la réserve de ce qui regarde la matière; car je ne répondrois pas que ce morceau fût d'ambre. Dans les pays où les matières font rares, & cependant recherchées, la friponnerie s'introduit aifément. Un fragment de vafe & d'une matière reflemblante à celle-ci, m'a fait voir qu'elle s'enflammoit aifément, & qu'elle rendoit l'odeur de l'encens : la matière de ce numero a produit le même effet. Il eft donc à préfumer que ces vafes étoient fouvent compofés par des réfines: celle-ci eft inconnue, mais elle est, à ce que m'a dit M. de Juffieu, dans le genre de celle qu'on appelle improprement gomme copale.

Page 229. Je parle très mal des habitans de la grande Grèce; Naples & fes environs n'avoient pas besoin d'être diftingués ; mais j'ai eu tort de n'avoir point excepté la ville de Tarente, où la politeffe règne d'autant plus qu'elle raffemble beaucoup de nobleffe. Le récit de plufieurs gens dignes de foi m'oblige à corriger cet endroit. Je n'ai pu juger de cette ville par moi-même, & je me fuis laiffé emporter par le fouvenir des

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