L'Année littéraire et dramatique, ou, Revue annuelle des principales productions de la littérature française et des traductions des œuvres les plus importantes des littératures étrangères, avec l'indication des événements les plus remarquables appartenant à l'histoire littéraire, dramatique et bibliographique de l'annéeLibraire Hachette, 1858 |
Contenido
78 | |
80 | |
93 | |
97 | |
100 | |
106 | |
113 | |
114 | |
290 | |
303 | |
311 | |
317 | |
319 | |
327 | |
349 | |
361 | |
369 | |
377 | |
383 | |
394 | |
409 | |
419 | |
426 | |
437 | |
445 | |
456 | |
466 | |
491 | |
23 | |
30 | |
37 | |
38 | |
46 | |
51 | |
58 | |
60 | |
66 | |
70 | |
120 | |
121 | |
126 | |
135 | |
138 | |
144 | |
166 | |
190 | |
191 | |
198 | |
211 | |
217 | |
224 | |
233 | |
245 | |
257 | |
266 | |
294 | |
323 | |
387 | |
413 | |
414 | |
443 | |
450 | |
465 | |
473 | |
478 | |
501 | |
503 | |
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
actes amour anciens année appelle assez aujourd'hui auteurs beau belle caractère choses cœur complet compte coup cours critique d'autres dernier détails devant Dieu dire doit donne dramatique drame écrit enfants enfin études famille femme fille fils force forme française général génie genre Grèce heureux histoire homme idées jeune jour journal juge l'amour l'année l'art l'auteur l'esprit l'histoire l'homme l'un laisse langue lettres littéraire littérature livre Louis lui-même main malheur mari ment mère mieux monde montre morale mort mots nature naturel nouveau nouvelle œuvres ouvrages parler passé passion pays pensée père petite peut-être philosophie pièce place poésie poëte porte premier présent principaux propre public publication qu'un question raison recueil reste revue rien roman s'est scène science seconde sentiment sera seul siècle simple sorte souvent style succès suite suivant sujet tableau théâtre tions titre tour traits travaux trouve vérité veut vive Voici voilà volume vrai
Pasajes populares
Página 10 - Les astres émaillaient le ciel profond et sombre, Le croissant fin et clair parmi ces fleurs de l'ombre Brillait à l'Occident...
Página 25 - II va, ce glorieux navire, Au droit, à la raison, à la fraternité, A la religieuse et sainte vérité Sans impostures et sans voiles, A l'amour, sur les cœurs serrant son doux lien, Au juste, au grand, au bon, au beau... - Vous voyez bien Qu'en effet il monte aux étoiles!
Página 346 - POUJADE (EUG.) Chrétiens et Turcs, scènes et souvenirs de la vie politique, militaire et religieuse en Orient.
Página 443 - L'esprit d'autrui par supplément servait. Il entassait adage sur adage ; II compilait, compilait, compilait; On le voyait sans cesse écrire, écrire Ce qu'il avait jadis entendu dire, Et nous lassait sans jamais se lasser : Il me choisit pour l'aider à penser.
Página 263 - Et peut-être ta plume aux censeurs de Pyrrhus Doit les plus nobles traits dont tu peignis Burrhus.
Página 202 - En quatre points mortels a rimé les Saisons ; Et ce vain Beaumarchais, qui trois fois avec gloire Mit le mémoire en drame et le drame en mémoire...
Página 18 - ... à l'atome saint qui brûle ou qui ruisselle ! » Place au rayonnement de l'âme universelle ! » Un roi c'est de la guerre, un dieu c'est de la nuit. » Liberté, vie et foi, sur le dogme détruit! » Partout une lumière et partout un génie ! » Amour! tout s'entendra, tout étant l'harmonie ! » L'azur du ciel sera l'apaisement des loups. » Place à Tout! Je suis Pan; Jupiter! à genoux.
Página 7 - Alors il dit: — Je veux habiter sous la terre Comme dans son sépulcre un homme solitaire; Rien ne me verra plus, je ne verrai plus rien. — On fit donc une fosse, et Caïn dit: C'est bien! Puis il descendit seul sous cette voûte sombre. Quand il se fut assis sur sa chaise dans l'ombre Et qu'on eut sur son front fermé le souterrain, L'œil était dans la tombe et regardait Caïn.
Página 239 - Oubliez donc, comme tout à l'heure, l'immense entassement des détails innombrables. Possédant la formule, vous avez le reste. Ils tiennent au large dans une demi-ligne ; vous enfermez douze cents ans et la moitié du monde antique dans le creux de votre main.
Página 6 - Caïn, ne dormant pas, songeait au pied des monts. Ayant levé la tête, au fond des cieux funèbres, II vit un œil, tout grand ouvert dans les ténèbres, Et qui le regardait dans l'ombre fixement. «Je suis trop près,