Coresus et Calirrhoé, tragediepar la Compagnie des libraires associés., 1747 |
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... fens enchantés devenoit inutile . Mais depuis quelque temps je la vois ne fonger Qu'à fuir mes entretiens , ou qu'à les abréger . Je vois de mon espoir avorter tous les charmes Dans fes yeux tantôt fiers , tantôt trempés de larmes . En ...
... fens enchantés devenoit inutile . Mais depuis quelque temps je la vois ne fonger Qu'à fuir mes entretiens , ou qu'à les abréger . Je vois de mon espoir avorter tous les charmes Dans fes yeux tantôt fiers , tantôt trempés de larmes . En ...
Página 28
... fens ? Mais il n'a pas eu lieu de s'en vanter long - temps . Et j'en vais avec foin poursuivre la vengeance . Qui ? Moi ? De fon amour me voir la récom- penfe > Comment d'un tel Hymen vaincre la juste hor- reur , A l'afpect de ces murs ...
... fens ? Mais il n'a pas eu lieu de s'en vanter long - temps . Et j'en vais avec foin poursuivre la vengeance . Qui ? Moi ? De fon amour me voir la récom- penfe > Comment d'un tel Hymen vaincre la juste hor- reur , A l'afpect de ces murs ...
Página 49
... fens pour l'un & l'autre une égale tendreffe . Mon cœur , pour l'un des deux , contre tous , ofe tout , Et pour l'un , contre l'autre , à rien ne fe réfout . Tome 1 . E LYCAS . Je comprends pour vos feux quel eft ce TRAGEDIE . 49.
... fens pour l'un & l'autre une égale tendreffe . Mon cœur , pour l'un des deux , contre tous , ofe tout , Et pour l'un , contre l'autre , à rien ne fe réfout . Tome 1 . E LYCAS . Je comprends pour vos feux quel eft ce TRAGEDIE . 49.
Página 52
... fens me feroit reconnoître . Et comment devant - elle en ferois - tu le maître , Infortuné Telephe ? En quel état , ô Dieux ! La rigueur de fon fort va l'offrir à tes yeux ! Des hommes , des Enfers , & des Dieux con- damnée ! Ne viens ...
... fens me feroit reconnoître . Et comment devant - elle en ferois - tu le maître , Infortuné Telephe ? En quel état , ô Dieux ! La rigueur de fon fort va l'offrir à tes yeux ! Des hommes , des Enfers , & des Dieux con- damnée ! Ne viens ...
Página 58
... tous mes efforts , je fens que je vous aime , PYRRHU S. Vous m'aimez , jufte Dieux ! ce bonheur im- prévû ...... POLIXEN E. Pour vous le déguifer j'ai fait ce que j'ai pû : Mais l'état où je fuis rend ce foin inutile ; 58 POLIXENE ,
... tous mes efforts , je fens que je vous aime , PYRRHU S. Vous m'aimez , jufte Dieux ! ce bonheur im- prévû ...... POLIXEN E. Pour vous le déguifer j'ai fait ce que j'ai pû : Mais l'état où je fuis rend ce foin inutile ; 58 POLIXENE ,
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Términos y frases comunes
affez affurer Agamemnon AGENOR Ainfi ALBIN AMINTA amour ANAXILE ANTINOUS ARBAS Arcas auffi avoit bleffe bonheur bras bruit C'eft C'eſt CALIRRHOE Calydon ceffe charmes Ciel coeur colere Coréfus courroux crime cruel deffein deftin déja Dieux difcours doux effort efprit Eft-ce EGE'E enfin ERIXEN eſpoir eſt fang fans fauver fçai fecond fecours fecret fein femble fens fent fervir fes yeux feul feux fincere foins foit fonge font foudain fouffrir fouhaits foupçons fous frapé fuis fuite fuivre fujet funefte fureur gloire grace Grecs haine Hymen ISMENE j'ai j'en jour jufte l'amour laiffe lieux loix LYCAS m'en Madame main malheur MANLIUS mort n'eft Pallantide Pere périls pleurs POLIXEN preffe PREMIERE Princeffe puiffe PYRRHUS raifons refte RUTILE SCENE Seigneur Sénat SERVILIUS ſes ſon STHENELUS TELEPHE tendreffe THAMIRE THRASILE tranſport trépas trifte trouble ULYSSE VALERIE vengeance venger veux vœux vois zéle
Pasajes populares
Página 117 - C'est moi , c'est mon appui qui les conserve à Rome. Vous demandez d'où vient qu'un Romain, un seul homme, Des misères d' autrui soigneux de se charger, Offre à tous une main prompte à les soulager. D'une pitié si juste est-ce à vous de vous plaindre? Si c'est une vertu qu'en moi l'on doive craindre , Si du peuple par elle on se fait un appui, Pourquoi suis-je le seul qui l'exerce aujourd'hui? Que ne m'enviez-vous un si noble avantage ? Pourquoi chacun de vous, pour être exempt d'ombrage,...
Página 156 - Et lorsqu'à nos regards les feux elle carnage De nos fureurs partout étaleront l'ouvrage ; Du fruit de nos travaux tous ces palais formés, Par les feux dévorants pour jamais consumés; Ces fameux tribunaux où...