Jamais Paurore aux doigts incarnadins Q preux. ΕΝΤΟΥ. Ue puiffiez-vous, Chevalier valeureux, En tout combat, en butin amoureux, Ne vous douloir jamais de tromperie, Et qu'à l'envi chez nos derniers neveux, Lifant vos faits hautement on s'écrie, Onqués ne fut plus veritable preux. REPONSE. DE M. LE DUC DE SAINT AIGNAN. BALA D E. L'heureux tems où les fiers Paladins Ces Damoifels s'ébatoient és jardins Tant avoient l'air de gens victorieux. S'il avenoit que felons affaffins Moy qui toûjours surpassant maints blondins ΕΝΤΟΥ. Que puiffiez-vous, Dame au cœur genereux, Ue Voir en honneur toûjours vôtre mesgnie, Et qu'un germain moult digne de nos vœux De bon rapport, commode, & bien nombreux En tel déduit quelquefois il s'écrie, CHANSON. LE cœur tout déchiré par un fecret Martyre, Je ne demande point Amour Que fous ton tyrannique empire L'infenfible Tircis s'engage quelque jour. De l'immortel affront qu'il fait à mes attraits, Que tous les maux que tu me fais. REPONSE A M. LE DUC DE SAINT AIGNAN. BALADE. Los immortel que par fait héroïque Chevalerie en tous lieux aqueroit, L'un rit de tout, l'autre mélancolique. |