lement par leurs fommets, & qu'elle peut paffer facilement par deffus, faute de pouvoir entrer, comme la petite, dans une infinité de petits creux ou profondeurs qui en résultent à ces chemins inégaux ou raboteux, qui le font ainfi plus pour la petite Roue que pour la grande.

Tel eft l'avantage des grandes Roues fur les petites dans les conditions de l'art. I. Pour dans d'autres conditions il pourroit arriver plufieurs varietez aux rapports des forces P, R, lefquelles varietez fe détermineront de même par le prefent Th. 32. joint au Th.. 26: & à fes CorolFIG. 235. laires. & fuivantes

jusqu'à242.

III. Au refte, il eft à remarquer, fuivant les Corol. 8. 9. du Lem. 3. & fuivant la part. 1. du Th. 26. que pour l'équilibre qu'on vient de fuppofer dans le prefent Th. 32. entre chacune des puiffances P, R, & chacune des Roues CO, DO, chargées en leurs Effieux ou centres A, B, de fardeaux ou poids K, L; les rayons AO, BO, fur lefquels ces deux Roues s'appuyent, devroient être perpendiculaires en O aux furfaces MON, fur lefquelles ces rayons, eux-mêmes, font appuyez, fi ces furfaces étoient mathématiquement polies. Mais l'âpreté & les inégalitez tant des circonferences de ces Roues, que du terrein fur lequel on les fuppofe,les y accrochent affez pour les y empêcher de gliffer, comme il leur arriveroit (Lem. 3.Cor. 8.9.) faute de cette perpendicularité, qui ne peut être à la fois pour ces deux rayons AO, BO, appuyez fur un même point O de la furface MON, tant qu'ils ne fe confondent pas en une même ligne droite, comme dans la Fig. 242. On fe peut paffer même de cet accrochement dans tous les autres cas des Fig. 2 3 5. 236. 237. 238. 2 3 9: 240. en fuppofant ces deux rayons AO, BO, perpendiculaires à une furface en deux points O( chacun en chacun) affez voifins pour pouvoir paffer fenfiblement pour le même, & pour ne pas s'éloigner fenfiblement non plus de la ri2 gueur mathématique, fuivant laquelle le tout vient d'ètre.

confideré..