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La nourriture & l'éducation font les preuves
132
de la filiation.
Heureufe application de l'Ecriture Sainte à
M. Guillaume de Sens, premier Préfident. 138
Cas où il eft permis au Procureur du Roi de
pourfuivre le crime, quoiqu'il n'y ait point
de Dénonciateur.
139
Plaidoyer de Me. Billain pour le Juge de Ver-
non.
141
152
154
Le plagiat, ou le vol que l'on fait d'un hom-
me eft un crime public.
Plaidoyer de Me Robert pour le jeune Men-
diant.
Plaidoyer de M. Bignon,Avocat Général. 160
Le Plagiat eft un crime publique.
La fuppofition de part eft un crime public. 166
Conclufions de M. Bignon. Arrêt conforme, rendu le Jeudi jour de la Paffion de l'année
-
165
181
1659.
Plaidoyer de Me de Fourcroy pour un Medecin
qui prétendoit être exempt d'être Collecteur
des Tailles. 184
Quel rang doivent avoir le Théologien, le
Canonifte, le Jurifconfulte, le Medecin. 184
Belle pensée fur la profeffion d'Avocat. 186
Eloge de la profeffion de Medecin. ibid.
Qualité qu'il faut avoir pour jouir d'un pri-
vilege d'un Art.
Arrêt de la Cour des Aydes de 1657. qui dé-
clara le Medecin exempt de la Collecte des
Tailles.
192
194
196
Jugement fur les grands Avocats du milieu du
dernier fiecle, & fur ceux du préfent. 195
Vers attribués à M. de Fourcroy.
Un Avocat doit pofféder les Belles-Lettres. 197
Enfant réclamé par deux Meres, ou la célebre
Caufe de Saint-Geran.
199
Hiftoire qui fait le fujet du Procès.
Hiftoire du Procès.
ibid
225
Plaidoyer de Me. Pouffet de Montauban pour
la Pigoreau, fauffe mere.
239
Il prouve que la filiation ne doit point s'éta-
blir par témoins.
Belle pensée.
243
248
Curieux trait d'Hiftoire d'un Sculpteur. 257
Plaidoyer de l'Avocat des Dames de Ventadour
261
264
266
& du Lude, qui difputoient au jeune Comte
de S. Geran fon état.
plaidoyer de Me. Petitpied, Avocat du Comte
& de la Comteffe de S. Geran.
La fuppofition de part ne peut être poursuivie
que par les parens ; & par ce mot de parens
on entend peres, meres & ayeuls.
Exemples de femmes qui ont accouché fans
douleur. 267
Plaidoyer de M. l'Avocat Général Bignon. 269
Hiftoire de S. Cyprien fur la Magie, 273
Conclufions de M. Bignon. 276
Arrêt rendu en Audience qui déboute les Da-
mes de Ventadour & du Lude & les Accufés
de leurs oppofitions & appellations, & qui
fait défense à la Pigoreau de défemparer la
Ville & les Fauxbourgs, à peine de convic-
tion.
277
Arrêt du Confeil d'Etat rendu dans ce Pro-
cès.
285
Moyens que Me. Billain, Ayocat de la Comtef
fe de S. Geran, employa dans le Procès par
288
écrit.
Les indices, la voix publique, & la renom-
mée fervent de preuve pour la filiation. 293
La déclaration du pere en faveur de l'enfant
eft une présomption invincible, fi elle eft fa-
vorable; mais non fi elle eft défavorable. 298
301
Beau Jugement de l'Empereur Claude.
On ne peut pas renouveller une question d'état
décidée dans une affaire criminelle où des
Accufés ont été condamnées.
309
Les queftions d'état, étant jugées, ne peuvent
pas être jugées de nouveau
Contradicteur.
avec un autre
311
Les preuves du Procès criminel fervent contre
toute forte de perfonnes pour l'intérêt ci-
vil.
315
Dans les cas extraordinaires la filiation fe
prouve par témoins. 317
Moyens que les Dames de Ventadour & du Lude employerent dans le Procès par écrit
320
'Arrêt définitif qui déclare l'enfant fils du
Comte & de la Comteffe de S. Geran. 359
Marie Marguerite d'Aubray, Marquise de Brinvillier, convaincue d'avoir empoisonné
Jon pere & fes deux freres & d'avoir, attenté
à la vie de fa fœur. L'on traite la question.
fi la Confeffion, écrite pour être révélée
à un Prêtre, peut fervir de preuve contre
un Accufé.
363
Hiftoire de la Marquife de Brinvillier.
Lettre de Madame de Sevigné à la Comteffe
de Grignan fa fille.
367
Le Lieutenant Civil, pere de la Marquife,
375
Defcription des drogues de la Caffette de
Sainte-Croix..
376
Lettre paffionnée de la Marquise à Ste-Croix.
381
384
'Arrêt qui condamne la Chauffée, empoison-
neur, à être rompu vif.
Defenfe de la Marquife de Brinvillier, 392
Si la Confeffion, écrite pour être révélée à un
Prêtre, peut fervir de preuve contre un Ac-
cufé. 398
Elle ne s'accufe pas d'avoir empoisonné fon enfant, comme le rapporte Madame de Se- vigné.
ibid. Beau trait d'histoire de Saint Thomas de Ville-
neuve.
413
Réponse au Factum de Me Nivelle. 418
Arrêt rendu contre la Marquise de Brinvillier
du 16 Juillet 1676. 436
'Arrêt qui prononce incapacité & indignité de
fuccéder dans les enfans du coupable de par
ricide.
Relation de la mort de la Marquife.
439
441
Mémoire de la Dame de Saint-Laurent contre
Penautier.
Portrait de Sainte-Croix.
448
449
Bon mot de Madame de Sevigné sur Penau-
tier.
463
Dames Romaines, empoisonneufes, punies.466
Trufania, célebre empoisonneufe, punie. 468
Edit du Roi, du mois de Juillet 1682. pour la
punition des maléfices, empoifonnemens &
autres crimes.
470
479
La Voifin, empoifonneufe, punie.
Un Mari & fa femme accufes injuftement d'un vol énorme, dont l'innocence n'éclata qu'a- près leur condamnation à des peines infa- mantes, & après la mort du mari.
Hiftoire du malheur du fieur d'Anglade & de ́
fa femme,
48r
482
Arrêt du 16. Fevrier 1688. qui condamne le
fieur d'Anglade & fa femme.
Raifon contre la condamnation pro
bationis
492
modo pro-
494
503
Les véritables auteurs du crime fe découvrent.
Accufation de la Demoiselle d'Anglade contre
540
Belestre & Gagnard font exécutés.
Moyens du Comte de Mongommery contre la
demande en dommages & intérêts, formée
contre lui par la Dame d'Anglade.
541
Indices qui donnerent lieu à la condamnation
du fieur d'Anglade & fa femme.
544
Les contradictions des Accusés donnent lieu à
leur condamnation.
Indices du vol.
550
554
Les présomptions tiennent lieu de preuves pour
un crime commis la nuit.
564
561
Les témoins font des témoins nécessaires dans
tous les cas où la vérité ne peut se connoître
que par leurs dépofitions. 563
La connoiffance des mœurs d'un Accufé & fa
conduite paffée font très-importantes pour
l'éclairciflement d'un crime.
Lorfque l'erreur d'un Accufateur paroît jufte,
il eft exempt des dommages & intérets. 565
On pouvoit appliquer parmi les Romains les Elclaves à la Queftion fans aucun indice,
fur la feule plainte de l'Accufateur. 568
L'accufation d'Adultere étoit publique chez les
Romains; mais un étranger Accufateur, qui
n'étoit ni pere ni mari, qui fuccomboit, étoit
condamné aux dommages & intérêts, quoi-
que fon erreur fût juste,
569