barbare, 435. Ravage de l'infanticide, 435, 436. Etat des Arts & des Sciences chez les Chinois, 447. Ce que c'eft qu'un Lettré Chinois, 448 CHRÉTIENS, vertus des premiers Chrétiens reconnues par les Philofophes, 403. Parmi les premiers Chrétiens, il y a eu des hommes illuftres & éclairés, 404, 405. Combien ils ont fouffert pour la défenfe de leur foi, 408. Ils n'ont point fouffert pour d'autre caufe que pour celle de la Religion, 412. La conduite d'un vrai Chrétien eft une excellente réfutation de l'incrédulité, 426. Les mauvais Chrétiens ne prouvent rien contre la fainteté de leur Loi, 428. Parallele abfurde des Chrétiens avec les Infidèles & les Payens, 429, 433,436. Un Etat compofé de vrais Chrétiens fub. fifteroit heureusement 439. Différence des Nations Chrétiennes & Infidelles, 446. Tous les Chrétiens font-ils en état de connoître les preuves de leur Religion? 477, 479. Le Chrétien ne damne perfonne, 482. Les Chrétiens Catholiques font en très-grand nom bre,

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CHRISTIANISME, homma

ge que lui rend l'Alcoran, 272. Le Judaifme dépofe en fa faveur, 277. C'eft la feule Religion vé ritable, 279. Preuves de la Divinité du Chriftianifme, 355 & fuiv, Rapidité avec laquelle il s'eft établi dans le monde, 399. Obftacle qu'il a rencon tré, 400 & fuiv. Les premiers Secateurs du Chrif tianisme ont été des hommes fages & éclairés, 404. LeChriftianifme eft beaucoup plus étendu que la fuperftition de Mahomet, 40s, 498, 500. Courage & fouffrance de fes défenfeurs, 40%. Les Empereurs Romains ont voulu, & n'ont pu l'anéantir. 410. Il ne doit pas fon établis fement aux Empereurs Chrétiens, 417. Ses bons effets fur l'efprit, le cœur, les mœurs, le bonheur des Peuples, 426 & fuuv. I n'autorife pas les pénitences deftructives, 438. Son alliance avec la vraie politique, 440. La douceur & la patience qu'il inspire ne détruifent, ni la valeur militaire, ni les autres qualités d'un bon Citoyen. 441. En quel fens il condamne les pallions. 443. Il n'a excité ni guerres ni difputes, 444. Il n'arrête pas le progrès des fcien

ces, 446. Il est simple & fublime, 452; à portée de tous les efprits, ibid. Les enfants & les fauvages font aulli capables de fes leçons que les Philofophes, 453 & fuiv. Il n'a point autorisé des actions condamnées par la prudence, 456; fon influence fur le bonheur de l'homme, 459. Sur le bonheur de la Société, 464. Réforme qu'il a opérée dans le monde, 469. Il eft aifé de connoître la vérité du Christianisme, 479. CHYMISTES, fystêmes abfurdes de Paracelfe, & de quelques autres, 71. Les Chymiftes réduifent l'or en poudre, par l'efficace

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du feu, CIBL il y a affurément un Ciel, ou féjour des Bienheureux, quoiqu'on ne puiffe en déterminer l'emplacement, CIRCONCISION (la) n'eft pas un ufage pris chez les Egyptiens, 322. Pourquoi les Prêtres Egyptiens ont imité cet ufage des Juifs, ibid. Pourquoi Dieu a fou mis les Juifs à la circoncifion, CRAINTE: a-t-elle perfuadé aux hommes l'exilence de Dieu 107; elle ne combat la félicité de pas l'homme,138. La crainte de la mort ne conclut rien

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contre la croyance de l'im mortalité, CREATION, elle n'eft point impoffible, 27. Elle eft une fuite de la puissance effentielle à Dieu, 28, 29. Pourquoi quelques an ciens Philofophes l'ont niée, 28. D'autres l'ont regardée comme incontestable, 28. Argument d'Hiéroclès, 29. La création continuelle doit-elle être rejettée? 199, 216 CREDIBILITÉ. Les motifs de crédibilité ne font que l'inftrument & l'occafion du don de la foi, 475, 477. Peuvent-ils produire une certitude métaphyfique, 478 CREDULITÉ ftupide de l'Athée, 25. La crédulité eft une fuite de l'ignorance, auffi-bien que l'incrédulité, 321. Le Chrétien ne doit point se reprocher fa crédulité, 637 COMETES, plaifante idée des Philofophes fur les co321, 347

metes,

CONFESSION, combien fon inftitutioneft avantageufe aux Peuples, 601. Hommage rendu par les Philofophes anti-Chrétiens à l'utilité de la Confeffion, 602 & fuiv. Quelques abus ne concluent pas contre les bons effets de la Confeflion, 604 CONTRADICTIONS des In

crédules, 26, 27, 250, 251,321, 413, 147, 198. Il n'y a pas de contradiction dans les quatre Evangiles, 335; ni dans les mysteres de la Foi, sos & fuiv. Il y a dans la Géométrie & la Phyfique, des apparences plus fpécieufes de contradiction que dans les dogmes de la Foi, sos & fuiv. CONTROVERSES avec les Hérétiques, pourquoi elles ne font pas de durée,

pag. 194 CONVERSION des Philofophes à la mort, 8. Converfion de S. Paul, 340. Voyez S.Paul. Converfion de l'univers à la Foi, 399 & fuiv. COQUILLAGES font des ref

tes du déluge,. 311 CORPS. Voyez Matiere. Un corps peut être en plufieurs lieux, 528. Une subftance quine feroit nicorps ni efprit, ne renferme point de contradiction, 215. Etat des corps après la réfurrection, 555 & fuiv. Le corps de l'homme eft le même à tout âge, 556. Il est difficile de dire ce qui conftitue le corps d'un être vivant, ib. Les corps de tous les hommes reffufcités n'occuperont pas un fort grand espace, 559 COULEUR bleue, la plus convenable au ciel, 89. Cou

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il en reconnoître dans les especes ? 64 DEISTE, fon inconféquence, 251, 260. Doit devenir Athée, ou difciple de la vraie Foi, DELUGE, les coquillages font des manuments du déluge, 311, 312. Changements opérés par le déluge fur la furface du globe, 309, 542. Toutes les hiftoires prouvent la réalité du déluge, 319. Vaines objections des Philofophes, DEMONS, leur existence est

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certaine, 299. Ont ils la puiflance de faire des prodiges? 317. Peuvent caufer des maladies naturelles dans leur cause immédiate, 370. Le pouvoir du démon eft affoibli, & pourquoi, 374. Le démon aime l'ignorance & les ténebres, 375. S'il fe montroit, il détruiroit l'incrédulité, 374. Son empire peut-il être comparé à celui

telui de J. C. 495. Voyez

Anges. DIEU, peut-on nier son exif

tence 2. Moyen de n'en douter jamais, 24. Il fe complaît dans fes ouvrages, 90. Confentement de tous les hommes dans la profeffion d'un Dieu, 105.Ce n'eft ni l'ignorance ni la crainte, qui ont fondé la foi d'un Dieu, 107; ni la politique des Légiflateurs, 108. L'idée de Dieu eft par-tout la même, 109. Les Chinois reconnoiffent un Dieu, 20, III. Les Sauvages peuvent le connoître, 113; ainfi que les fourds-nés, 115. L'idée de Dieu ettelle innée? 116. Les Juifs connoifoient l'immensité & l'invifibilité de Dieu, 117. La prefcience de Dieu ne nuit pas à la liberté de l'homme, 118. Comment Dieu prévoit il les actions libres des créatures? 119. L'existence du mal ne contredit pas les attributs de Dieu, 121 & fuiv. Dieu doit-il punir ou récompenfer fur le champ 127. L'idée de Dieu produit les plus grands fentiments, 135, 136. Elle est la base de la justice & de la vertu, 151 & fuiv. Elle est le lien de la Société, & l'espérance de la vertu oppreflée, 170.

Elle prouve l'immortalité de l'ame humaine, 219, & la néceffité d'une Religion, 234. La vue des ouvrages de Dieu lui attache l'ame de l'homme 27. Dieu veut être adoré des enfants, 452, 454. Tout cœur qui n'est pas gâté, attefte qu'il connoît Dieu autrement que par des fyllogifmes,45 5. Dieu ne manque à perfonne, 483. On le connoît à me◄ fure qu'on le cherche 500; on le connoît mieux par l'obfcurité des myfte res de la Foi, 511. Belle expreflion de Ciceron fur la fpiritualité de Dieu, 198. La fimplicité de Dieu n'eft pas contraire à la Doctrine de la Trinité, 520. On ne peut nier l'enfer fans nier l'existence de Dicu, 568. Il ne faut pas approfondir les myfteres de Dieu, 104 510. Il ne faut jamais par ler aux Saints dans les mê mes termes qu'à Dieu, pag.

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