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point à la population, ss0, 625. Une excessive population entraîne de grands maux, POSSESSIONS (les) étoientelles des maladies naturelles, 370. Les poffeffions n'ont pas ceffé aux premiers fiécles de l'Eglife, 371. Il y en a d'incontestables, 372. Pourquoi elles font aujourd'hui plus ra

ils paffent rapidement d'un fujet à l'autre, 394 РHOPHÉTIES, fe réduifent à trois articles principaux, 386. L'existence des prophéties eft aufli avérée que l'accompliffement en eft inconteftable, ib. Les Juifs font des témoins non fufpecs de l'authenticité des prophéties, 387. Le malheur des Juifs, annoncé par les prophéties, n'a pu être prévu naturellement, 388. L'événement principal des prophéties eft indépendant de toute explication, 392. Deux excès à éviter dans l'explication des prophéties, 393. Prophéties qui regardent inconteftablement le Meffie, ib. Pourquoi les grandes prophé ties, qui regardoient les fiécles futurs étoient mêlées de quelques-unes qui s'accompliffoient aux yeux des Juifs, 394. Prophéties touchant la deftruction de Ninive, l'arrivée de J. C. fur les nuées, la fin du monde, expliquées & vérifiées, 395 & fuiv. PROSPERITE des pécheurs,

eft-elle contraire à la juftice de Dieu ? 127 PSE AUMES, imprécation des

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pag. RELIGIEUX, il ne faut pas méprifer ceux d'Europe, pour exalter ceux de la Thébaïde, 588. Succès de leurs études, ibid. RELIGION, les vérités de la Religion font mêlées de ténèbres, & pourquoi, 15. La Religion eft antérieure à l'établiflement des Sociétés civiles, 108. De combien de douceurs eft privé celui à qui la Religion manque, 136. La Religion eft-elle inutile,

parce qu'elle ne corrige pas tous les hommes ? 163, 428. Ni les fentiments d'honneur, ni la force de l'éducation, ni les Loix civiles ne peuvent remplacer la Religion, 165. Néceffité d'une Religion en général, 235. Elle est le fondement de la Société, 150, 238 Tous les Peuples ont une Religion, 239. Toutes les vérités de la Religion tiennent enfemble, 258. La tolérance de toutes les Religions les détruit toutes, 2 57.(Voyez Tolérance.) La Religion n'eft pas un fyftême, 262. La diverfité des Religions ne conclut rien contre la véritable, 255. Obligation de rechercher quelle eft la véritable, 268. Il n'y a qu'une Religion véritable, c'eft le Chriftianifme, 279. (V. Chriftianifme.) Les enfants peuvent & doivent être inftruits dans la Religion, 114, 454. La Religion est préférable aux Sciences, 448, 451. Il n'eft pas néceflaire d'étudier toutes les Religions pour connoître la véritable, 480. Indifférence des hommes pour la Religion, 489, 492. Cette indifférence ne prouve rien contre la Religion, 490. Les bonnes qualités qui retent aux Philofophes font

l'effet de la Religion, 158, 471. L'unité de Religion eft incompatible avec l'orgueil & la légéreté de l'ef prit humain, 500. L'idée de la vraie Religion emporte l'idée de l'unité du dogme, 584. La Religion naturelle eft infuffifante, 239 & fuiv. Elle n'eft pas la Religion des Lettrés Chinois, & n'a pas été celle des Patriarches, 247; elle ne peut devenir celle des Peuples, 254. Les ar guments des Philofophes contre la Religion révélée attaquent auffi la Religion naturelle, 495. Le plus grand ennemi de la Religion, c'est la fuperftition, 629. Avantage que la Religion retire de l'incrédulité, 642, 644. La Religion ne doit point gémir de ce que les talents des Philofophes n'aient point été consacrés à sa gloire, 643. Pourquoi Dieu permet que quelques hommes d'efprit s'élevent contre la Religion,642 & suiv. Voyez Dieu, Révélation, Chriftianifme. REPROBATION, Dieu ne réprouve les hommes qu'à regret, 484. Les Païens ne font pas réprouvés pour n'avoir pas reçu la Foi, 483, 488. Les Héros du Paganisme font-ils réprou

vés? 487 & fuiv.

RESURRECTION, la ré furrection d'un mort ne peut être que l'ouvrage de Dieu, 317. Certitude de la réfurrection de J. C. 376. Rapport de la réfur*rection des morts avec les autres articles de la Foi Chrétienne, 553. Contradiction des Philofophes au fujet de la réfurrection des morts, $54. Objection des Incrédules, 554 & fuiv. Réponse générale de faint Paul, 557. Différens fymboles de la réfurrection, 564. Effet de l'espérance de la réfurrection fur le cœur du Chrétien, 566 RÉVÉLATION, elle est né

ceflaire, 239 & fuiv. Elle fait la base de la Religion chez tous les Peuples, 246, 255. Son existence eft démontrée, 214. La néceffité de la révélation démontre l'existence des Livres qui la contiennent, 286 & fuiv. Les révélations particulieres n'ont ni authenticité, ni autoritć, 633. Il y a eu de l'imprudence dans la publicité qu'on a donnée à ces fortes de révélations, 634

ROME, pourquoi elle eft devenue la Jérufalem du Christianisme, 100.Rome eft le centre de l'Eglife univerfelle, 53x, 533 permanance di Son Jiege

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SANCHONI

S.

NCHONIATON,

les fragmens qui nous en leftent, font fufpe&s, 296 SAINTS, toutes les actions des Saints ne doivent point être absolument approuvées, 496. Ce qu'il faut penfer de quelques fingularités où ils fe font portés, 457. Les prieres des Saints attirent la bénédiction de Dieu fur l'Etat, 458, 615. L'Eglife univerfelle n'a jamais honoré des Saints imaginaires, 632. Elle n'attribue pas aux Saints ce qui ne convient qu'à Dieu, 633 SATELLITES de Jupiter, fervice qu'ils rendent à l'Aftronomie, SATYRE, c'eft l'orang-outang, 61. Autre opinion fur le Satyre, SAUVAGES, les hommes barbares & fauvages connoiffent-ils Dieu ? 112 & fuiv. Peuvent-ils faire une exception dans les perfuafions genérales des hommes, 116, 239 ? Ne prouvent rien contre la fpiritualité de l'ame, 178. Les hommes n'ont pas été d'abord fauvages, 186. Origine de quelques hommes. fauvages, 186. L'état de nature n'eft pas celui des Sauvages Américains,

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61

187. Sauvages devenus. d'excellens Chrétiens > 453. Comment Dieu en agit avec les Sauvages, s'ils font incapables de le connoître, SEL (le ne perd jamais fa force,

SENS

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d'accommodation dans l'Ecriture, à quoi il fert, 337. Sens figuré de l'Ecriture, fur quoi fondé, ibid.

SERES, Peuples convertis à la Foi dès les premiers fiécles de l'Eglife, 402. Les Seres font les Chinois, ib. SERPENT, pourquoi maudit après la chûte d'Adam, 397, 301, Les ferpens fe laiffent enchanter, 351 SCIENCES (les) font utiles à la Religion, & la Religion eft néceffaire aux sciences, 447. Les fcienles ne font nulle part mieux cultivées que chez les Chrétiens, ibid & fuiv. La Religion les a confervées dans les tems de barbarie, 447, 47I SINGE, fa marche eft naturellement celle des autres quadrupedes. 62. Sur quoi eft fondé le proverbe fimia femper fimie, 182. Ses plus fublimes opérations font les fingeries, ibid. Dampiere a pris des finges pour des hommes, 185. Les organes du finge femblables à