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ceux de l'homme, ne le SPINOSISTES, pitoyable

tirent pas de la claffe des brutes, 210. Le finge n'imite pas l'homme, , parce qu'il veut mais parce qu'il peut : il eft inférieur au chien & à l'éléphant,

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210

SOCIÉTÉ, les Sociétés civiles font poftérieures à l'établiffement de la Reli gion, 108. Le fyftême de la Religion, 108. Le fyftême de l'Athée anéantit toute fociété, 150. Celui qui n'eft pas fidèle à Dieu, ne l'eft pas à la Société, 623 SOCINIENS, leur maniere dé combattre contre la Foi de Nicée, 619. Ils triomphent des Calvinif tes, qui refusent de reconnoître la préfence réelle 134 SODOME, fa tuine atteftée

par les débris qui en reftent, 321. Reconnue par les Payens, ibid. SOLEIL, formé après la lumiere, 347. Le fystême qui le fuppofe en repos, n'eft point contraire à l'Écriture, 349. ni aux décifions de l'Eglife, 450 SONGES, argument de faint Auguftin & de M. de Buffon, tiré des fonges,

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SORCIERS, leur existence eftelle réelle ? 373. V. poffeflions, démons, &c.370

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fcepticisme où ils font tombés, STOICIENS, combien leur philofophic eft inférieure à l'Evangile, 461. Elle › ne concourt point au bonheur de la Société générale, 464 SUBSTANCES mêlangées, peuvent-elles fe multiplier? 66; fe propager, ib. SUCCESSION infinie de géné

rations, renferme contradiction, 81. Autre preuve contre la fucceffion éternelle des générations, 82 SUICIDES, victimes de l'irreligion, 139. Foibles & furieux, 142 SUPERSTITIONS, l'Eglife les condamne, & ne peut en être refponfable, 628. Les fuperftitions ne doivent point alarmer la foi du Fidèle, ibid. Elles font plus de tort à la Religion que l'incrédulité, 629. La fuperftition ne pervertit que ceux qui refufent d'écouter la Religion, 621 SYMBOLE des Athées 125 SYRENES (les) font des poiffons de mer, SYSTÉMATEURS ce qu'en dit M. de Voltaire, 78. M. Rouffeau,

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EMPLE de Jérufalem vains efforts de Julien pour

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le rétablir 382. L'évé nement prodigieux qui fit avorter cette entreprise, réunit toutes les preuves dont un fait hiftorique eft fufceptible, THEOLOGIENS, ne disputent pas fur des points fondamentaux comme les Philofophes, 254. Ils fe font quelquefois occupés de difcuffions inutiles, 525, 543, 620. Les Philofophes, en méprifant les Théologiens, s'appuient fur une équivoque, 617. Défauts de la Théologie fcholaftique, 618, 620. Reproches injuftes qu'on lui a faits, 618 & fuiv. La Théologie ne doit point fe dépouiller du fecours de la Logique ni négliger les régles du raifonnement, 619. La fcience théologique fe perfectionne depuis le P. Petau, 619. Principes des défauts de la Théologie, 620. Les difputes théologiques ne font pas fans utilité, 621. régles qu'il y faut gar

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der, TERRE, fa fituation à l'égard

du foleil, 80. Pourquoi elle n'eft point par-tout belle & féconde, 103. Sa fertilité variée & inégale, eft devenue le lien des Nations, 104. Le mouvement de la terre ne con tredit pas la Genèfe, ni le

Livre de Jofué, 349. L'opinion du mouvement de la terre n'a pas été condamnée par l'Eglife, 450. Population de la terre, 499, 560. La terre à fouffert des altérations fucceffives, 142. La malédiction de Dieu & les ravages du déluge en ont changé la furface, 309,

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TOLERANCE > jugement qu'il en faut porter, 256 & fuiv. Elle détruit tous les cultes, 258. Elle relâche les liens de la fociété, 263. Pourquoi la plupart des hérétiques profeffent-ils la tolérance, 263. L'intolérance civile est-elle nécessairement une fuite de l'intolérance théologique? 265. Argument invincible contre la tolérance, tiré des Ecrits mêmes de fes défenfeurs, 266

TOUR de Babel, plaifanterie de V. fur fa hauteur, 347

TRINITÉ, ce myftere ne

renferme aucune contradiction, 513. Il n'eft pas contraire à la fimplicité de Dieu, [1, 520, ni aux régles des fyllogifmes, 15. N'eft point un affemblage de mots fans fignification & fans liai fon, 517. Il est clairement énoncé dans les

faintes Ecritures; 18, a toujours été cru dans l'Eglife, ibid. Pourquoi quelques anciens Peres ont paru n'en pas parler avec affez d'exactitude, 119. Pourquoi ce mystere a dût être révélé aux Chrétiens, 521. Erreurs philosophiques éclofes de l'ignorance de la Trinité, 122. Platon a-t-il connu ce myftere,

523 TURCS, abfurdités de leur culte, 271. (Voyez Alcoran.) Pourquoi ils va lent mieux que les Chinois, 436. Ce qu'il faut penfer des actions vertucufes qu'on nous rap porte des Turcs, 437. Leurs vertus 437. Leurs mœurs & leur gouvernement, ibid. Ils reconnoiffent le péché originel, J45, & le Purgatoire,

V.

581

VAMPIRB, maladie

de cerveau, aujourd'hui oubliée dans les Provin ces où elle a fait le plus de bruit, 362 VERCEIL, miracle opéré dans cette ville du tems de S. Jérôme, & rapporté par ce Pere, 384 VÉRITÉ, une vérité bien établie ne peut être renverfée par aucune forte d'objection, 119. Unusa,

ge que les Philofophes font du mot vérité 253. La vérité eft indivifible 258. Elle ne fauroit être nuifible à l'homme, 254. Elle mérite feule les regards du Sage, 218. Les vérités géométriques font d'une autre nature que les vérités de la Foi, 476. L'effet naturel de la vérité eft le repos de l'ef prit, 481. Il y a peu d'hommes qui cherchent fincérement la vérité 489, 492. Les erreurs s'évanouiffent, la vérité de600

meure,

VERTU (la) de l'Athée eft une chimere, 151. La vértu des adorateurs d'un Dieu n'est point intéresfée, 13. En quoi confifte la vertu épicurienne, 154. Dans le systême de l'anéantiffement, il n'y a plus de vertu › ISI,

222,

Vertus des Philo fophes, 161, 169, 472. Les vertus des Chrétiens n'ont pu fuffire pour perfuader les dogmes de leur Foi, 403. Vertu des Héros Payens exagéres par leurs Panégyristes, 488 ; combien elles étoient vaines, ibid. Vices qui les balançoient ; moyens d'en juger faine. ment, ibid.

VIE (la) eft un bienfait de Dicua

141

fer de leur antiquité,

UNITÉ, l'unité de Religion ne s'accorde pas avec l'orgueil de l'efprit humain, foo. Unité de l'Eglife Catholique, 583. Pourquoi l'unité de la Foi ne fe trouve pas chez les Hérétiques, 584. L'unité de

314, 317

VOLUPTE (la) qui conftitue la vertu d'Epicure, eft la volupté des fens, 154

Z.

trafte avec les divifions ZOROASTRE, perfonnage

l'Eglife Catholique con

des Philofophes,

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VOLCANS, ce qu'il faut pen

fabuleux; Livres qu'on lui attribue,

296

SUPPLÉMENT.

Une feuille où il y avoit quelques Additions, ayant été perdue durant l'impreffion, & retrouvée enfuite, nous en plaçons ici le

contenu.

PAGE 100, ligne 22. après fiétendu, placez un renvoi (a),

& mettez en note ce palage de Job.

(a) Qui facit Ardurum & Oriona, & Hyadas, & interiora auftri, & mirabilia quorum non eft numerus. Job. 9.

P. 116, lig. 22. après recouvré l'ouïe, ajoutez — 3.o La maniere de répondre des Sauvages tient à la maniere de les queftionner. On a vu des Voyageurs leur demander fimplement s'ils croyoient un Dieu, & fe contenter de la négative. Peut-être n'étoit - ce que le nom qu'on manquoit, ou peut-être n'exprimoit-on pas la notion de la chofe d'une maniere proportionnée à la capacité de ces Sauvages. On pourroit, par exemple, leur demander fi c'eft bien faire de tuer fon pere, de noyer ses bienfaiteurs, de ravir le bien d'autrui, &c. On demanderoit enfuite fi ces actions, quand elles font faites en secret, restent fans châtimens; & les actions contraires fans récompenfe. On démêleroit à la fin quelque idée d'une Providence, d'un Dieu rémunérateur & vengeur, Ces mêmes réflexions, &c.

P. 216.lig.12. après des extrémités, placez un renvoi (a), & mettez en note:

(a) Le même homme (M. de V.) qui juge qu'il y a contradiction à dire que les ames des brutes ne font ni efprit, ni corps, adopte le sentiment de Boerhave, qui enfeigne que le feu n'eft ni efprit, ni matiere, & que c'eft une substance mitoyenne entre ces choses-là. Voyez l'Hift. des progrès de l'efprit dans les Sciences nat, par M. S. P. 163. Il a paru en 1775, à Manheim, un Difcours fur la force vitale, par M. Mufieus, où cette matiere est trèsbien difcutée.

P. 242, lig. 20. après Législateur des Chrétiens, ajoutez. On trouve des paffages bien plus remarquables encore, plus décififs & plus frappans, dans un Livre Chi nois intitulé; Tchong-Yong, ou le jufte milieu, qu'on lit à la Chine depuis près de deux mille ans. Voyez les Mémoires concernant les Sciences, les Arts, &c. des Chinois. A Paris, chez Nyon, 1776.

P. 319, lig. 5. après élevés eux-mêmes. placez ce qui Suit:

D. Les Auteurs que vous venez de réfuter, font-ils les feuls qui fe foient déclarés en faveur d'une opinion fi invraisemblable?

R. Tandis que M. de Buffon travaille à prouver l'antiquité indéfinie du monde, par l'inspection des coquillages & des montagnes; M. Brydone, par la lave du Véfuve; MM. Ferber & Dietrich, par une multitude de volcans, vrais ou imaginaires, éteints Hiftoire de depuis plufieurs fiécles; M. Paw, par les chroniAftronomie ques du Tibet & de l'Indouftan, &c. il a pris enanc. depuis vie à M. Bailly d'aller au même but par l'Hiftoire fon origine, &c. à Paris, de l'Aftronomie. C'eft chez les Perfes, les Chinois, les Tartares, dans le Livre de Zoroastre, &c. que M. B. forme le recueil de fes preuves. On appré ciera fans peine la lumiere qui peut réfulter de pareilles recherches, & le cas qu'on doit faire d'un Auteur qui travaille d'après de tels guides, qui établit, fur de telles preuves, un fyftême contra

3776,

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