tenoient lieu de coupes. xxxv. 101. Cornes fur la tête de la fem- me d'un Faune. LXXII. 2. 186. Corne d'Abondance. Les Egyp- tiens n'étoient point accoûtumés à traiter ce fymbole. LXXIII, 3. 188
Côtes. Vafe Etrufque à côtes. XLIV.
Couleur.Comment les Peintres Egyp- tiens l'appliquoient. 7. On n'en voit que trois ou quatre fur la po- terie de terre des Etrufques. 80. Ils n'employoient guère que le noir, le rouge & le blanc. xxix. 1. 88. Tous les vafes Egyptiens font d'une feule couleur. XXIX. I. 85. La couleur blanche des Etruf- ques n'a aucune tenue. L'ufage qu'ils en faifoient. xxix. 1. 88. Les Anciens aimoient les couleurs fortes, & ne faifoient point ufage des couleurs claires pour la déco- ration de leurs maifons LV. I. 150. L'or, le bleu & le rouge fe font toujours confervés en Egyp- te.. LXXIX.. 1. 193. Les Romains aimoient la dureté des couleurs. 292
Couronne & corbeilles de fruits fe: rencontrent fouvent fur les mo- numens Etrufques. XXXIV. 3. 99. Couronnes expofées fur des tre- pieds d'airain dans les jeux Olym- piques LXXXVIII. 217. Couronnes que décernoient les Athéniens à ceux qui s'étoient diftingués par leurs fervices ou par leurs talens. Expl. des Vign. pag. xix.
Courroie dont on attachoit fes vête- mens: maniére de l'arrêter. LXI. 169
Courfe du flambeau. Voyez Flambeau. Couteau de bronze. xcvi. 2. Couverte ou émail que les Etrufques appliquoient fur leurs ouvrages de terre, lorfqu'ils étoient cuits lé- gérement. XXIX. 1. 86. La cou verte de la porcelaine qui amollit les vives artères, ne permettra ją Ttüj
Cuiffart. Defcription de cette ar- 92 Cuivre. Voyez Airain. Aucun métail ne prend mieux le moule. xc. 6. & 7. 239. Le premier & le plus généralement employé. ibid. Moyens d'en faire tout ce que nous exécutons avec le fer. xcii. 6. & 7.242. Voyez Trempe. Cuivre des armes anciennes allié avec du fer. Elles étoient jettées en moule, & enfuite réparées à la main. cxIII. 6. & 7. 244. & 245, Le cuivre dont les Romains fai- foient leurs armes, étoit aigre & dur: c'est ce que nous appellons cuivre noir. ibid. Moyens de durcir le cuivre. ibid. 246. C'eft le plus pur des métaux, felon les An- ciens. Il chaffe les fpectres, &c. On s'en fervoit dans les cérémo-
nies Religieufes. xcv1. 2. 261. Du temps d'Augufte on préféroit fou- vent le cuivre au fer. cv. 1. 285. Dans la fuite on fit plus d'ufage du fer, dès qu'on le fçut travail- ler avec plus de facilité. ibid. Culote [efpèce de ] d'un Mime. LXX, 183 Culte. Différens objets de culte réu-
nis fur un même monument. LXVI. 2. 177. A quoi l'on reconnoît le culte d'un peuple. Avert. pag. vij. Cuprum. Voyez Es. Cycnarium. Collyre blanc. xc. 3. 226 Cygne confacré à Vénus, & avoit
place fur le Parnaffe: xcv. 5. 260 Cylindres chargés de figures & de caractères gravés en creux : amu- lettes qui ont été faits à l'ufage des Perfes. Mais comment des figures Perfannes font-elles répré- fentées avec des hieroglyphes Egyptiens? XVIII. 1. & 2. 54. & 55. Cylindres de cuivre dont on pourroit fe fervir pour fabriquer des médailles. cv. 2. Cynocéphale. Efpéce de Singe, qui faifoit connoître le temps de la conjonction du Soleil & de la Lune. IX. 2. Cypfelus, Tyran de Corinthe. LIV. 148 Cyrénaïque. On y faifoit d'excellens ouvrages de gravûre. LX. 4. 166
Agobert. Maifon de campagne d'un des Rois de ce nom. xciv, 258 Danfe. Dialogue de Lucien fur la danfe. xxxI. 1. 93. Danfe Etruf- que où l'on étoit armé de toutes piéces, & qui entroit dans les cé- rémonies de la Religion. xxxI., 1, 93
Danfeufe dans le goût Etrufque, mais qui n'eft pas antique. xxx1. 2. 94. Adreffe d'une Danseuse.
Delta. Voyez Triangle Demaratus s'établit en Etrurie avec plufieurs autres Grecs. LIV. 4. 148. Deffein cultivé par les Egyptiens. 6. Deffeins inaltérables fur la pote- rie de terre des Etrufques. 80. Le temps a mis de la différence dans la maniére de deffiner des Etruf- ques. 81. Connoiffance du deffein, nécessaire à un Antiquaire. LX. 5. 167. Pour connoître le goût na- tional. Avert. pag. vij. Détails. Les Egyptiens les négli- geoient, & ne s'attachoient qu'aux maffes. 6. Les Artistes Grecs s'attachoient par préfé- rence à la beauté des détails. XLV. 3.
124 Détrempe. Ufage de la peinture en détrempe chez les Romains. LXXXV. &c. 191 Diacherale. Collyre fait avec la cen- dre du hériffon brûlé. xc. 3. 229 Diacrocon. Collyre fait avec du faf- fran. xc. 3. 226 Diadême formant la coëffure de Vé- 172
Dialepidium. Collyre fait avec la paf- ferage. xc. 3. 228 Diament. On fe fervoit de la poudre de diamant pour retoucher au touret les camées, ou agathes de deux ou de trois couleurs. XCVII. 264 Diamify. Collyre fait avec le mify.
Diafmyrnes. Collyre fait avec de la myrrhe. xc 3.
Dieu. Douze grands Dieux adorés
par les Egyptiens. xxi. &c. 67 Dioméde enlevant le Palladium. XLV. 3. 123 Diofcoride. Son enlévement du Pal- ladium. XLV. 3. 123 Difcuffions. Utilité de certaines dif- cuffions pour la connoiffance des ufages anciens. LVII. I. 61 Divinité qui préfidoit aux travaux de la campagne parmi les Etruf- ques. XXVII. 1. 81. Divinités Étrufques représentées avec des
aîles. XXXI. 2. 94 Dominus. Ce titre ne convenoit qu'aux Romains du quatrième ou cinquiéme fiécle. xciv. 8. 257 Dorer à froid. Pratique exécutée en Egypte. LXXIX. I.
Dorure faite avec du cuivre fur une caiffe de momie. x1. 140. Dorures mêlées avec des couleurs rouges & bleues. LXXIX. 1. 192. Pourquoi les dorures ne fubfiftent pas long- temps. ibid. Drapperie. Les plus anciens Etruf- ques ne fçavoient pas en expri- mer les plis, & y mettoient des points, au lieu d'ornemens. XXVIII.
Dupérac. Peintre. Recueil de fes def- feins. LXXXIV. 209
Diane Patroa. Sa ftatue fort grofore E Claire. Plante à l'usage des Mé-
en Gréce. 118. Diane d'Ephèse. La premiére idée en vient d'E- gypte. Toute femblable parmi les Grecs qui l'ont décorée. 119 Diapfa. Le même que le Diapforicum. xc. 3.
Diapforicum. Collyre pour les oph- thalmies féches. xc. 3. 227 Diarices. Mot corrompu. xc. 3. 226. Voyez Diacrocon.
decins-Oculiftes. xc. 3. 227 Ecliptique. Le Soleil ne s'en éloigne pas. XXXII. 96 Ecriture. Les Grecs empruntérent des Orientaux la coûtume d'écrire de droite à gauche. xx. 3. 63. L'o- rigine de l'écriture ne pourra ja- mais être éclaircie par les témoi- gnages des Auteurs Grecs & La- tins. xxi. &c. 69. Avant le com-.
Egyptien. L'origine des Egyptiens inconnue. 1. L'écriture fymboli- que, caufe de l'obfcurité de leur histoire. 2. Par le moyen des hié- roglyphes on ne peut qu'entrevoir quelques-unes de leurs penfées. Les Etrufques, les Grecs & d'au- tres peuples ont puifé chez les Egyptiens le goût pour les Scien- ces & les Arts. ibid. Ils avoient deux fortes d'écriture. xxi. &c. 73
Egyptienne [tête d'] de bois de fy- comore. Voyez Africaine. Email femblable au nôtre, dont les Egyptiens couvroient des figures de terre. v. 4. 21. Voyez Couverte. Admirable fragment d'émail. LXXIX. I. 192. Email colorié, appliqué fur du verre. XCIV. 3. Embaumemens des Egyptiens n'ont point été reçus par les Etrufques; 79. ni par les Romains pendant leur commerce mutuel. LXXXV. 3 Encaustique. [peinture] On y met- toit en fufion la cire coloriée. LXXV. &C. Enfans vainqueurs dans les jeux de la Gréce. LIII. 1. 141. Pourquoi tant de têtes d'enfans fur les mo- 209 Epée faite par M. Geoffroi le fils, à l'imitation de celles des Romains. XCIII 6. & 7. 245 Epiméléte. Quelles étoient fes fonc- tions. Expl. des Vign. pag. xviij.
Etamage du cuivre connu des Ro- 269. & 270 Etoiles de Caftor & de Pollux. LXVI. 177
Etrufques. Aucun de leurs Hiftoriens n'eft venu jufqu'à nous. 77. Leurs infcriptions prefque inexplica- bles. ibid. Ils eurent pendant un temps l'empire de la mer. 78. Is s'abandonnérent au luxe. Ils étoient fuperftitieux à l'excès. Les Gaulois & les Romains ont sub- jugué les Etrufques. Un Sçavant a cru qu'ils devoient aux Egyp- tiens la connoiffance des Arts. Preuves du commerce des Etruf- ques avec les Egyptiens. ibid. Preu- ve de celui des Etrufques avec les Grecs. LIV. 4. 148. Leurs manu- factures fourniffoient autrefois prefque tout le monde connu. LV. 2. 151. Les Etrufques s'écartérent du goût & des ufages Egyptiens. 78. Ils ont donné plus de mou. vement à leur compofition. 119. Le nom d'Achille gravé en ca- ractères Etrufques fur une cor- naline. xxx. 1. 91, Coëffure de femme qui a rapport à celle des Etrufques. LXXXV. 2. Expériences de M. Majault fur la ma- niére d'imiter les verres coloriés des Anciens. cvII. 10. 29,8 Ex-voto.Bufte de l'Empereur Claude.
Felex pour felix eft du Latin du qua- triéme ou cinquième siècle. xciv. 257
Femme d'un Faune. Voyez Faune. Fer. Pour être mis en œuvre, il exige deux fois plus d'opérations que le cuivre. On ne peut le jetter en moule que pour des ouvrages groffiers. Il faut toujours le forger Il étoit rare en Gréce, en Afie & en Italie. Les Anciens en ont fou- vent parlé par métaphore. xc111. 6. & 7. 239. Homère en parle ra- rement. 240. Glaucus de Chio trouva le fecret de fouder le fer. ibid. Statue d'Hercule en fer. ibid. Rareté de ce métal, prouvée par une foucoupe de fer foudée & envoyée au temple de Delphes. ibid. 241. L'Auteur n'a jamais vù
que deux lames d'épées Romaines de fer. ibid. On n'a jamais trouvé en Egypte le plus petit morceau de fer. ibid. 242. Alliage du fer & du cuivre, que l'on a cru impoffi- ble.ibid.244.246. Maniére d'aug- menter la dureté du fer. xcIII. 6. & 7. 248. Voyez Trempe en paquet. Fers. Sorte d'inftrument dont les Etrufques fe fervoient pour faire certains ornemens au fond inté- rieur des vafes de terre. xxxvI. 4. 105 Fertilité de l'Etrurie. XL. 3. 96 Feuillage d'un goût exquis fur un vase Etrufque. XLI. I,
108 Fiches où chevilles à la circonfé- rence d'un trochus. LXXXI. 2. 203 Ficoroni. Son Traité des mafques de théâtre. LIV. 1. & 2. 145. & 146 Filet. Pourquoi fymbole d'Ifis. vi. 1.
Flambeau. [Courfe du] Defcription de ce fpectacle. Expl. des Vign. p. xvij. Plufieurs difficultés à éclair- cir fur ces jeux. Meurfius dit qu'aux Panathénées cette Course fe faifoit dans le Pirée. pag. xix. Pfellus dit le contraire de ce qu'on lit dans Paufanias au fujet de cette Course. Ceux qui s'y exerçoient, étoient appellés Lampadiftes. ibid. Fléches [pointes de] de bronze.xcii. 6. & 7. 238 Flute. L'ufage des doubles flutes n'a pas commencé en Egypte. 111. 3. 16. Flûte à plufieurs tuyaux. LI. 137 Fluxion fur les yeux. Quel étoit l'an- cien nom Latin de cette maladie. xc. 3. 226 Fonte du fer. M. de Réaumur a fait un excellent Ouvrage fur cette matiére. Extrait de ce Livre par rapport à la trempe. xc111. 6. & 7. -247. & 248
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