Poco lento. II Le ciel et nos pa-rents, approuvoient mes fer ments, lorsque je te ju- - rois une tendres se pu-re. Le ciel dans les combats, m'accordat-il fon fe-cours, auroit-il veil-lé veil-lé fur mes jours, pour te rame-ner un par-jure? un par-jure. Da capo. au fi je rends quelquehom-mage, n'en prends a cun om bra - ge· Oui, Li-fe, toi feule as ma foi, ce n'eft, ce n'eft qu'un badi na - ge, toi feule as ma foi. Mon cœur t'en trouvehe-las! plus bel-le. Oui j'en reviens plus fi- - de -- le, plus tendre au près de toi; plus ten-dreau-près de toi; oui, oui j'en re-viens plus fi-de-le et plus tendre auprès de toi. Chez RUAULT, Libraire, rue de la Harpe, Et au BUREAU DU JOURNAL, rue Montmartre, vis-à-vis celle des Vieux Augustins. AVEC PRIVILEGE DU ROI On donnera chaque année 12 cahiers de ce journal. Le prix de l'abonnement eft de 12 liv. pour Paris, & de 15 liv. 12 fous pour la province, franc de port.Chaque volume fe vend fèparément 1 liv. 4 fous. Il faut s'adresser pour foufcrire, à Paris chez RUAULT, Libraire, rue de la Harpe, & au Bureau du journal, rue Montmartre, vis-à-vis celle des Vieux Auguftins. Les perfonnes de province pourront envoyer le prix de leur abonnement par la pofte, en ayant foin d'affranchir leur lettre d'avis & le port de l'ar gent. C'eft aux mêmes adresses qu'il faut remettre les ouvrages à annoncer dans le journal, les avis qu'on voudroit y faire inférer, & tout ce qu'on voudra faire parvenir aux amateurs qui le compofent. Les perfonnes de Province pourroni auffi foufcrire aux adreffes fuivantes. A ij |