, D'ALEXANDRE DE MEDICIS Dve DE FLORENCE. Il ne difoit jamais fon fecret à perfonne. Note 1 de la Max. 98. D'ALFONSE ROI D'ARAGON. Il difoit, que la parole d'un Roi devoit être auffi loiale › que le ferment d'un particulier. Note 24 de la Maxime 165. D'AUGUSTE. Hâte-toi lentement. Max. $3. Commentaire de la Max. 55. Affez tôt, fi affez bien. Max. 57. Il fe glorifioit davantage d'être grand-homme, que d'être grand Prince. Max. 292. DE BASSOMPIERRE, MA RICH A'E Ne veut point abandonner un de fes amis. Note I de la Max. 144. L'adreffe, dont il ufa pour faire paffer fon avis dans le Confeil du Roi. Ibid. Note 2. CAZIMIR, PRINCE POLONOIS. Sa modération. Note 2, de la Max. 155. DE CESA R. Quand il avoit achevé une entreprise, il en com mençoit une autre. Note 3. de la Max. 955 Il difoit, que les grans exploits fe doivent éxécu ter fans délibérer. Note de la Max. 204. Il ne trouvoit point de milieu entre tout & rien. Commentaire de la Max. 128. Sa fagefle. Note 2. de la Max. 50. Son inpromptu fur une chute. Note 2. de la Maj xime 56. D'un mot il étoufe une fédition. Ibidem. Son intrépidité dans un danger de périr en mer Note de la Max. 128. DE CHARLES VII. ROI DE FRANCE. Il en apella d'un Arreft injufte du Parlement à for épée. Commentaire de la Max. 128. DE CHARLES EMANUEL I. DUC DE SAVOIE Il difoit, que dans les dangers il n'y avoit rien, qui valût la compagnie d'un grand cœur. Mag xime 128. Le bon mot, qu'il dit à Filipe II. Roi d'Espagne Note de la Max. 172. DU CARDINAL CICALA. Celui, qui veut être refpecté, doit refpecter les autres. Note 3. de la Max. 113. DE FERDINAND LE CATOLIQUE. Il faut être maître de foi, pour être maître des autres. Commentaire de la Max. ss. La précipitation engendre toujours des avortons, Ibidem. Il faut penfer à loifir, & éxécuter prontement; Ibidem Le fecret ne fauroit tenir dans un petit efprit Ibidem. Il tenoit toujours les efprits dans l'atente de quelque grand événement. Note 2. de la Ma xime 95. Toute fa politique étoit d'aler felon le tems, Note de la Max. 288. DE FILIPE II. ROI D'ESPAGNI. Le tems & moi, difoit-il, nous tenons tête à deux autres. Max. ss. Les honneurs exceffifs corompent plutôt un esprit mal-fait, que la mauvaise nouriture ne gâte corps. Note de la Max. 102. Pourquoi il aimoit le Cardinal de Granvelle. Note zë de la Max. 7. Pourquoi il fe fervoit du Duc d'Alvc. Note de la Max. 149. Son mot au Cardinal Efpinofa. Neto 8. de la Max. 37. Son averfion pour le menfonge. Ibidem, & pour la médifance. Note r. de la Max. 125. Son air majeftueux & févére, qui démontoit lee gens. Notes de la Max. 42. Son goût fia. Commentaire de la Max. 65. DE FRANÇOIS I. ROI DE FRANCE Si la fidélité fe perdoit, elle devroit fe retrouver dans le cœur d'un Roi. Note 2. de la Max. 165. DE L'EMPEREUR GAL BA Il tenoit, qu'il faloit toujours parler en peu de mots aux foldats. Note de la Max. 122. Il difoit, que les Sujets ne parloient pas à la per Ronne du Prince, mais à fa fortune. Note 4. de la Max. 106. & Note de la Max. 166. DE L'EMPEREUR HADRIEN. Le beau mot qu'il dit à fon plus grand enneta Note de la Max. 131. Sa conftance dans les tranchées de l'enfantement Commentaire de la Max. 98. I L'IMPERATRICE ISABELLE Elle aimoit mieux mourir, que de fe plaindre Note de la même Maxime. DE LOUIS XI. ROI DE FRANCE. Diffimuler eft la grammére des Princes. Comment de la Max. 5. Il cft plus für pour un homme de Cour d'être tres obligé à fon Prince, que de l'obliger trop Note 4. de la Max. 237. Son indocilité. Note 2, de la Max. 147, DE LOUIS XII. ROI DE FRANCE. Il ne fied pas à un Roi de vanger les queréles d'up particulier. Note de la Max. 131. Sa devife. Ibidem. Son dicton. Note de la Ma xime 79, DU CARDINAL MADRUCE. Celui-là n'eft pas un fót, à qui il échape une fotife, mais bien celui, qui en aïant fait une, ne la fait pas cacher. Max. 126. & Note 2. de la Max. 214. DU MARQUIS DE MARIGNAN. La Fortune n'a pas feulement l'inconftance de la femme, mais encore la folie de la Jeunesse. Note 2. de la Max. 139, DE MATIAS, ROI DE HONGRIE. Les Rois doivent fe concilier la faveur des bons Ecrivains. Note 4. de la Max. 40. DE PIERRE, COMTE DE SAVOIE. Sa généreuse réponse à l'Empereur Oton. Note 24 de la Max. 54. DE TIBER E. Il continuoit quelquefois les Gouverneurs toute leur vie pour frustrer ceux, qui prétendoient à leurs Gouvernemens. Note de la Max. 32. Il faifoit par la rufe ce qu'Augufte faifoit par les armes. Note 1. de la Max. 63. Il difoit, que plus on étoit élevé, plus on étoit en danger de tomber. Note 2. de la Max. 38. Que les ftatuies & les temples ne fervoient de rien à la mémoire des Princes, fi elle étoit odieuse. Note 2. de la Max. 106. Que les Romains, ne le vangeoient, qu'à force Ouverte |