Oeuvres de M. Boileau DespréauxDavid, 1747 |
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... déja bien avancé . De forte que ( 3 ) ces deux Ouvrages furent en REMARQUES . ( 2 ) notre jeune Poëte ] Il n'a- voit alors que 33. ans . C'êtoit en 1669 . ( 3 ) ces deux Ouvrages furent en état de paroître en 1674. ] II n'y eut alors ...
... déja bien avancé . De forte que ( 3 ) ces deux Ouvrages furent en REMARQUES . ( 2 ) notre jeune Poëte ] Il n'a- voit alors que 33. ans . C'êtoit en 1669 . ( 3 ) ces deux Ouvrages furent en état de paroître en 1674. ] II n'y eut alors ...
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... déja cité p . 252 . réfute plaifamment cet endroit , en difant que le fin Burlefque eft le dernier effort de l'imagination & la pierre de touche du bel efprit . A quoi il ajoûte : " Si l'on me de- " " 99 ,, " " " " " " " " " " , mande ...
... déja cité p . 252 . réfute plaifamment cet endroit , en difant que le fin Burlefque eft le dernier effort de l'imagination & la pierre de touche du bel efprit . A quoi il ajoûte : " Si l'on me de- " " 99 ,, " " " " " " " " " " , mande ...
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... déja , lui fit un revenu de trente mille livres de rente . Ce qui le rendit un des plus riches particuliers de ce tems là . Mal- gré l'eftime , qu'on faifoit alors des Poefies de Ronfard il crut devoir choisir d'autres modèles . Il ...
... déja , lui fit un revenu de trente mille livres de rente . Ce qui le rendit un des plus riches particuliers de ce tems là . Mal- gré l'eftime , qu'on faifoit alors des Poefies de Ronfard il crut devoir choisir d'autres modèles . Il ...
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... déja porté , foit ,, par la faute des Auteurs , foit : , par celle des Lecteurs C'est ce que l'Abbé Geneft dit à la p . 104. de la première Edition , fai- te à Paris en 1707. de fes Differ- tations fur la Poefie Paftorale ; Ou- vrage ...
... déja porté , foit ,, par la faute des Auteurs , foit : , par celle des Lecteurs C'est ce que l'Abbé Geneft dit à la p . 104. de la première Edition , fai- te à Paris en 1707. de fes Differ- tations fur la Poefie Paftorale ; Ou- vrage ...
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... déja du faite des montagnes Tombent dans les campagnes . 930 C'eft une imitation de VIRGILE , Egloque Vers dernier . · Majorefque cadunt altis de montibus umbra . M. Defpréaux citoit encore com- colique ces deux Vers de SE- me un trait ...
... déja du faite des montagnes Tombent dans les campagnes . 930 C'eft une imitation de VIRGILE , Egloque Vers dernier . · Majorefque cadunt altis de montibus umbra . M. Defpréaux citoit encore com- colique ces deux Vers de SE- me un trait ...
Contenido
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Términos y frases comunes
affés aflés aïant ainfi Apollon Art Poët Art Poëtique auffi Auteur beau Broffette Brontin BROSS C'eft C'eſt CASSAIGNE caufe Chant Chapelain chés chofe Comédie compofé confeil Corneille d'Horace Defpréaux déja Desmarêts DESP difcours dife dire Editions efprit eftoit eftre endroit Epigramme Epique Epit eſt êtant êtoit facré faint fans fe trouve fecond felon femble fens fent feroit fervir fes Ouvrages feul feur fiècle fimple foient foin foit fon Art font fous fouvent François fublime fuis fuite fuivant fujet Grec Heros Homere Horace IMIT j'ay jufte l'Abbé l'Auteur l'Edition l'efprit l'Epigramme l'Ode laiffe Lutrin marêts mefme ment Monfieur Mufe n'eft n'êtoit noftre paffer parler paroît penfer perfonne Perrault Pindare plaifir plufieurs Poë Poëfie Poëme préaux préfente prefque Prélat Quintilien raifon refte Remarque fur Rime s'eft Sainte Chapelle Satire Stile tems teur Théatre tion Topinamboux toûjours Tragédie Virgile voftre Voïés دو
Pasajes populares
Página 157 - Je sais qu'un noble esprit peut , sans honte et sans crime , Tirer de son travail un tribut légitime ; Mais je ne puis souffrir ces auteurs renommés Qui, dégoûtés de gloire et d'argent affamés, Mettent leur Apollon aux gages d'un libraire , Et font d'un art divin un métier mercenaire.
Página 23 - Ronsard, qui le suivit, par une autre méthode, Réglant tout, brouilla tout, fit un art à sa mode, Et toutefois longtemps eut un heureux destin. Mais sa muse, en français parlant grec et latin, Vit dans l'âge suivant, par un retour grotesque, Tomber de ses grands mots le faste pédantesque. Ce poète orgueilleux, trébuché de si haut, Rendit plus retenus Desportes et Bertaut.
Página 354 - S'en va tomber sous la foudre , Qui dompta Lille , Courtrai , Gand la superbe Espagnole , Saint-Omer, Besançon , Dole , Ypres, Mastricht, et Cambrai. Mes présages s'accomplissent : II commence à chanceler ; Sous les coups qui retentissent Ses murs s'en vont s'écrouler.
Página 26 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir, Et réduisit la muse aux règles du devoir. Par ce sage écrivain la langue réparée N'offrit plus rien de rude à l'oreille épurée.
Página 52 - L'ardeur de se montrer et non pas de médire , Arma la Vérité du vers de la Satire. Lucile le premier osa la faire voir ; Aux vices des Romains présenta le miroir; "Vengea l'humble vertu de la richesse altière , Et l'honnête homme à pied du faquin en litière.
Página 107 - N'imitez pas ce fou qui, décrivant les mers, Et peignant, au milieu de leurs flots entr'ouverts, L'Hébreu sauvé du joug de ses injustes maîtres, Met, pour le voir passer, les poissons aux fenêtres ; Peint le petit enfant qui va, saute, revient, Et joyeux à sa mère offre un caillou qu'il tient.
Página 42 - Tantôt, comme une abeille ardente à son ouvrage, Elle s'en va de fleurs dépouiller le rivage : Elle peint les festins, les danses et les ris...
Página 103 - C'est d'un scrupule vain s'alarmer sottement Et vouloir aux lecteurs plaire sans agrément. Bientôt ils défendront de peindre la Prudence, De donner à Thémis ni bandeau ni balance, De figurer aux yeux la Guerre au front d'airain, Ou le Temps qui s'enfuit une horloge à la main ; Et partout des discours comme une idolâtrie, Dans leur faux zèle, iront chasser l'Allégorie.
Página 65 - Si d'un beau mouvement l'agréable fureur Souvent ne nous remplit d'une douce terreur, Ou n'excite en notre âme une pitié...
Página 137 - Vient d'un fils amoureux gourmander l'imprudence; De quel air cet amant écoute ses leçons, Et court chez sa maîtresse oublier ces chansons. Ce n'est pas un portrait, une image semblable, C'est un amant, un fils, un père véritable.