Le nouveau théâtre italien ou receuil général des comédies représentées par les comédiens italiens ordinaires du roi, Volumen9

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Página 40 - Et ce même public, facile à s'égarer, * Après avoir donné des larmes « A ces endroits qu'il devrait révérer, « A rire à leurs dépens trouve les mômes charmes « Qu'il trouvait à les admirer.
Página 15 - Galant fans flatterie, & railleur fans médire , Du fond de l'âme il vous fait rire , Son entretien eft fait pour tous ; II parle avec clarté , l'ignorant peut l'en-? . tendre , > II eft léger, il eft vif, il eft tendre, Au fein de la Nature il puife fa fplendeur,' Toujours brillant quoiqu'un peu variable , Et fur tout ne Ce croit aimable Qu'autant qu'il fçait toucher le cœur.
Página 16 - Arlequin lui deamande avec empreflement quand arrivera le » jour tant fouhaité de leur mariage, & l'aflure » qu'elle fera fort heureufe avec lui, qu'il fera » un mari fort commode, cVe. Et pourvu qu'au logis je fade bonne chère...
Página 12 - HORTENSE. Je. ne puis trop payer tes foins officieux, Tu m'as fort bien inftruite , & je m'en trouve mieux. Avant qu'à tes leçons je me fufle prêtée , D'une extrême langueur fans celle tourmentée Je ne connoiflbis point ce trouble intérieur , , Qui fouvent , malgré moi , s'élevoit dans mon cœur.
Página 27 - Et lorfque de rrion fils je ferai délivré , Je ne tarderai pas à choifir à mon gré Une jeune perfonne , & digne de me plaire. Hortenfe , par ma foi, feroit bien mon affaire ; Elle m'infpireroit un feu toujours nouveau ; Elle n'a que vingt ans ! ah ! le friand morceau ! uito. SCENE VIII. II. LELIO , II. ARLEQUIN. AAtyùn portant une yaltft far- fes <fa, Lelio qui fe froment pendant lequia le fuit chargeât l
Página 93 - Et pourquoi donc ? II. ARLEQUIN. Ici , c'eft fans doute l'ufage ? On vous donne d'abord force coups de bâton » Et quelque tems après on vous met en prifon.
Página 90 - Afon père nre l'a (lit , je n'y dois plus prétendre. Pourtant il me regarde avec un air bien tendre , Je ne sais plus qu'en croire... il m'aime assurément.
Página 111 - Je fuis las à la fin d'éprouver ton caprice. Pour un homme de bien , on reconnoit Fabrice, Et lorfque je me vois par toi deslioooré , D'une jufte dpuleur .je :me fens pénétré.
Página 6 - De la probité la plus pure : Qu'en lui , je découvre des mœurs Qui le mettent en droit de plaire , Et qu'en un mot fes vertus fallait taire Mesfcnipules & mes terreurs.
Página 12 - Et je ne connois rien de fi pefant que vous. LE BON SENS. La , ne difputons plus , on rira de nos prifes ; .Vous me chaflez en vain , je n'en démordrai pas. .Vous avez du brillant , vous avez des appas , Mais vous tombés fouvent dans de fâcheufcs chrifts ; Le Deftin m'établit pour marcher fur vos pas, Et pour regler vos entreprifes.

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