...spécialement ; ils ressemblent au vent qui remplit les yeux de poussière. » Plus loin encore: « La sotte occupation que celle de nous empêcher sans...celui que nous avons pris : c'est celle du critique. » Après des déclarations si bienveillantes, on peut être certain que quand ce brave homme entrera...

...pleines de sable, et tu laisses les paillettes» ; enfin il le corrige par cette rude apostrophe : « La sotte occupation que celle de nous empêcher sans...celui que nous avons pris ; c'est celle du critique.» Quant à lui, il est bon, il ne demande qu'à louer, il tâche de ne pas apercevoir les méchantes...

...pleines de sable, et tu laisses les paillettes; » enfin il le corrige par cette rude apostrophe : « La sotte occupation que celle de nous empêcher sans...celui que nous avons pris ; c'est celle du critique. » Quant à lui, il est bon, il ne demande qu'à louer, il tâche de ne pas apercevoir les méchantes...

...toujours leurs faveurs à ceux qui les sollicitent le plus opiniâtrement. Combien elles ont fait d'amants malheureux, et combien elles en feront encore ! Et...parfaitement beau, que, dans un temps où les arts ilorissaient, il mit en défaut toutes les ressources de la peinture et de la sculpture. Mais cet homme...

...toujours leurs faveurs à ceux qui les sollicitent le plus opiniâtrement. Combien elles ont fait d'amants malheureux, et combien elles en feront encore ! Et...plaisir, ou de nous faire rougir de celui que nous avons prisl... C'est celle du critique. * Plutarque dit qu'il y eut, une fois, un homme si parfaitement beau,...

...leurs faveurs à ceux qui les sollicitent le plus opiniâtrément. Combien elles ont fait d'amants malheureux, et combien elles en feront encore ! Et...parfaitement beau, que, dans un temps où les arts Hérissaient, il mit en défaut toutes les ressources de la peinture et de la sculpture. Mais cet homme...

...leurs faveurs à, ceux qui les sollicitent !,• plus opiniâtrement. Combien elles ont fait d'amants malheureux, et combien elles en feront encore ! Et...occupation que celle de nous empêcher sans cesse ,l? prendre du plaisir, ou de nous faire rougir de celui que nous avons pris!... C'est celle du critique....

...déshonorante. C'est lui qui a écrit, le malheureux ! : « La sotte occupation que celle de nous empêcher de prendre du plaisir ou de nous faire rougir de celui que nous avons pris! C'est l'occupation du critique. » Je ne crois point qu'on puisse dire plus bête et plus bas... Etourdi...

...suite : a Beau ! sublime! divin! je verse mille pleurs! » et se complaît dans ces effusions : « La sotte occupation que celle de nous empêcher sans...de nous faire rougir de celui que nous avons pris! » Au début de ses promenades artistiques, il a porté la même violence dans le blâme et s'écriait...

...suite : « Beau ! sublime! divin! je verse mille pleurs! » et se complaît dans ces effusions : « La sotte occupation que celle de nous empêcher sans...de nous faire rougir de celui que nous avons pris! » Au début de ses promenades artistiques, il a porté la même violence dans le blâme et s'écriait...