Revue du Lyonnais, Volumen19L. Boitel., 1844 |
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
artistes assez avaient Balmain bateau beau Belle Cordière Bochard Bouillier Bourgoin c'était cardinal Chalons à Lyon chemin de fer choses chrétienne cœur Collombet députés Déserte Didier Dieu dire docteur doctrine donner drame duc de Guise Dussert esprit Etats évêque facultés femme fille Flourens François Ier Gall génie Girardin Grenoble Henri hommes idées Jean jeune Jouffroy jour l'abbé l'ame l'Antiquaille l'art l'auteur l'église l'esprit l'histoire l'homme l'in l'infini laissé Laprade lettre livre Louis XI Louise Labé malades ment métaphysique Michelet monastère monde Mondeux monument morale nature navigation œuvre panthéisme paroles passé Paul Didier pensée Perrin philosophie phrénologie place poésie poète premier présent prêtre prince public Quibly raison régiment de Bouillon religieux reste rien Rousseau saint Irénée Saint-Jean Saint-Marc Girardin Saint-Sorlin-d'Arves Saône savant science semble sentiment serait seulement sorte souvent surtout Ternay tion trouve vapeur vérité VICTOR DE LAPRADE Vionnet volume voyageurs vrai XVIIe siècle
Pasajes populares
Página 54 - Il est si beau, l'enfant, avec son doux sourire. Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire. Ses pleurs vite apaisés, Laissant errer sa vue étonnée et ravie, Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie Et sa bouche aux baisers ! Seigneur! préservez-moi, préservez ceux que j'aime, Frères, parents, amis, et mes ennemis même Dans le mal triomphants. De jamais voir, Seigneur! l'été sans fleurs vermeilles. La cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles, La maison sans enfants ! 18 mai 1830.
Página 382 - Tout prêts à s'élancer en vivante forêt. Nos fils pourront aimer et rêver sous leurs dômes; Le poète adorer la nature et chanter : Dans l'ombreux labyrinthe où tu vois des fantômes, Un idéal plus pur viendra les visiter. Croissez sur nos débris, croissez, forêts nouvelles! Sur vos jeunes bourgeons nous verserons nos pleurs; D'avance je vous vois, plus fortes et plus belles, Faire un plus doux ombrage à des hôtes meilleurs. Vous n'abriterez plus de sanglants sacrifices; L'âge emporte...
Página 201 - Si j'ai failli, les peines sont présentes. N'aigrissez point leurs pointes violentes ; Mais estimez qu'Amour, à point nommé, Sans votre ardeur d'un Vulcan excuser, Sans la beauté d'Adonis...
Página 278 - Paul qu'il n'est pas loin de chacun de nous, et que c'est en lui que nous avons la vie, le mouvement et l'être : Non longe est ab unoquoque nostrum ; in ipso enim vivimus, movemur et sumus 1.
Página 60 - Le respect que l'on porte à l'antiquité est aujourd'hui à tel point, dans les matières où il doit avoir moins de force, que l'on se fait des oracles de toutes ses pensées et des mystères...
Página 36 - JE vous avoue , monsieur, que , vous connoissant pour un gentilhomme plein d'honneur et de probité, je n'apprends pas sans surprise la tranquillité avec laquelle vous avez souffert en mon absence les outrages atroces que ma femme a reçus du bandit en cotillon auquel madame de Cezarges a jugé à propos de nous livrer, après nous avoir ôté les gens qu'elle nous avoit tant vantés elle-même, et avec qui nous vivions en paix.
Página 457 - Je suis prêt à demander au roi mon seigneur la « paix, le repos de son royaume et le mien... On m'a souvent sommé de « changer de religion, mais comment? la dague à la gorge... Si vous désirez « simplement mon salut, je vous remercie ; si vous ne désirez ma conversion « que par la crainte que vous avez qu'un jour je ne vous contraigne, vous
Página 382 - Faire un plus doux ombrage à des hôtes meilleurs. Vous n'abriterez plus de sanglants sacrifices ; L'âge emporte les dieux ennemis de la paix. Aux chants, aux jeux sacrés vos séjours sont propices; Votre mousse aux loisirs offre des lits épais. Ne penche plus ton front sur les choses qui meurent ; Tourne au levant tes yeux, ton cœur à l'avenir. Les arbres sont tombés, mais les germes demeurent ; Tends sur ceux qui naîtront tes bras pour les bénir. Poète aux longs regards, vois les races...
Página 26 - ... point; et en attendant je ne veux plus m'occuper , si je puis , qu'à me rapprocher de moi-même , et à goûter ici entre la compagne de mes infortunes, et mon cœur, et Dieu qui le voit, quelques heures de douceur et de paix en attendant la dernière.
Página 260 - Jouffroy remonta en effet, sans le secours » d'aucune force animale et par l'effet seul de la pompe à feu, pendant » un quart d'heure environ; après quoi, M.