Anecdotes de la cour de Philippe-Auguste, Volumen1 |
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Je vis de vieux Seigneurs , hériffez de leur noblefle , de leur probité , & de leurs Fortereffes , où ils fe croïoient de petits Souverains : je vis des meres fieres de la beauté de leurs filles , fans être humiliées de la perte de la ...
Je vis de vieux Seigneurs , hériffez de leur noblefle , de leur probité , & de leurs Fortereffes , où ils fe croïoient de petits Souverains : je vis des meres fieres de la beauté de leurs filles , fans être humiliées de la perte de la ...
Página 51
Si fa fille , alors dans fa feiziéme or année , n'eût pas été à fes côtez , pe au moment que je la faluai , elle re m'eût paru ce que j'avois jamais es vû de plus beau . Mes regards édtonnez , fe partagerent d'abord enand tre la mere ...
Si fa fille , alors dans fa feiziéme or année , n'eût pas été à fes côtez , pe au moment que je la faluai , elle re m'eût paru ce que j'avois jamais es vû de plus beau . Mes regards édtonnez , fe partagerent d'abord enand tre la mere ...
Página 57
S -e Dur 10 O Or en 300 le ALD no pre entre la mere & la fille : j'avois le plaifir de m'appercevoir , que la plus fimple attention pour Madame de Rofoi , l'arrachoit à un air penfif & diftrait , qu'elle avoit pris peu de jours après ...
S -e Dur 10 O Or en 300 le ALD no pre entre la mere & la fille : j'avois le plaifir de m'appercevoir , que la plus fimple attention pour Madame de Rofoi , l'arrachoit à un air penfif & diftrait , qu'elle avoit pris peu de jours après ...
Página 60
de Rofoi entra ; elle parut surprise - & offenfée de me trouver aux genoux de fa fille ; elle nous regarda d'un œil févere . Alix , dont le défordre avoit encore augmenté à la vûë de sa mere , tut à elle , & en fe jettant à fes pieds ...
de Rofoi entra ; elle parut surprise - & offenfée de me trouver aux genoux de fa fille ; elle nous regarda d'un œil févere . Alix , dont le défordre avoit encore augmenté à la vûë de sa mere , tut à elle , & en fe jettant à fes pieds ...
Página 63
Madame de Rosoi me reçut avec politeffe , mais toujours froidement : cette froideur non méritée , & trop foutenuë , m'inquiéta ; je le dis à mon pere , qui me répondit : La tendreffe d'une mere pour fa fille , cause feule cette ...
Madame de Rosoi me reçut avec politeffe , mais toujours froidement : cette froideur non méritée , & trop foutenuë , m'inquiéta ; je le dis à mon pere , qui me répondit : La tendreffe d'une mere pour fa fille , cause feule cette ...
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Adelaïde affez aime Alberic Alix amitié arriver auffi aufli avez avoit Barres bonheur c'eft caufe charmes Chelles cher chercher cœur Comte de Rethel Comteffe Couci Cour crainte cruelle d'être dame Dammartin demander devoir digne dire donner douleur doute enfin étoit faifoit fans faveur fecret fenfible fentir fera feroit feule fille fils foin font force fortit foupçons frere fuis Hélas heureux homme j'ai jours l'amour l'un laiffer m'en Madame de Fajel Madame de Rofoi Made Mademoiſelle de Rofoi Mademoiſelle du Mez main malheur Maréchal ment mere mort n'eft nouvelle paffer paffion parler peine pere peut-être Philippe plaifir plaindre porter pouvoit Prince qu'à qu'un quitta raifon Raoul refpect refte regarder rend rendre repartit répondit reprit reprocher rien Rocheville Roger Seigneur Sénéchal tems tendre tendreffe touché trouver vais venir vertu veux Vicomte vive voïant vois yeux