Œuvres de Madame la marquise de Lambert, Volumen2 |
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... étoit de n'avoir pas été jaloux de M. de la Motte . Ju- gez du mérite d'un Auteur , qu'un auffi grand homme que M. de Fontenelle a trouvé digne de fa jaloufie . REFLEXIONS REFLEXIONS SUR LES RICHESSES . Les Richeffes , dans de M. de la ...
... étoit de n'avoir pas été jaloux de M. de la Motte . Ju- gez du mérite d'un Auteur , qu'un auffi grand homme que M. de Fontenelle a trouvé digne de fa jaloufie . REFLEXIONS REFLEXIONS SUR LES RICHESSES . Les Richeffes , dans de M. de la ...
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... étoit dûe qu'aux gran- des qualités . Elles inspirent à la plupart des hommes une certaine hauteur ; mais ce n'eft pas une hauteur de dignité , ce n'est qu'u- ne hauteur d'illufion . Elles occu- Réflexions fur les Richeffes . 5 pent une ...
... étoit dûe qu'aux gran- des qualités . Elles inspirent à la plupart des hommes une certaine hauteur ; mais ce n'eft pas une hauteur de dignité , ce n'est qu'u- ne hauteur d'illufion . Elles occu- Réflexions fur les Richeffes . 5 pent une ...
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... étoit un fang privilégié , & qui étoit tributaire à l'Amour & à fa Mere : la beauté & les graces préfidoient toujours à leur naiffance : les . amours & les jeux les accompa- gnoient dans la fuite de leur vie . Ce fut de ce fang chéri ...
... étoit un fang privilégié , & qui étoit tributaire à l'Amour & à fa Mere : la beauté & les graces préfidoient toujours à leur naiffance : les . amours & les jeux les accompa- gnoient dans la fuite de leur vie . Ce fut de ce fang chéri ...
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... étoit la pire de toutes . Il n'y a point de félicité humaine qui puiffe foutenir l'homme , fans le fecours de la Philofophie ; & vous - même , pressé du poids de votre orgueil , ne vous écriâtes- vous pas ? O ATHENIENS , qu'il m'en ...
... étoit la pire de toutes . Il n'y a point de félicité humaine qui puiffe foutenir l'homme , fans le fecours de la Philofophie ; & vous - même , pressé du poids de votre orgueil , ne vous écriâtes- vous pas ? O ATHENIENS , qu'il m'en ...
Página 62
... étoit celle des Coeurs : toujours hors de vous - même , raffafié de Gloire & de Fortune , ennuyé de , votre propre félicité ; cette Gloire , qui vous paroît charmante quand vous courez après , ne vous paroît plus rien quand vous l'avez ...
... étoit celle des Coeurs : toujours hors de vous - même , raffafié de Gloire & de Fortune , ennuyé de , votre propre félicité ; cette Gloire , qui vous paroît charmante quand vous courez après , ne vous paroît plus rien quand vous l'avez ...
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Términos y frases comunes
affez agrémens aifé aime ainfi amie au-deffus auffi auroit avez avoient avoit befoin bleffer bles bonheur c'eft c'eſt Cambray chofes cœur confeils conferver Confidération connoiffance deffein defirs délicateffe difant difoit difpofitions DIOG donner douleur efprit eftime ELEONOR eſt êtes étoient étoit fage faifoit fans fanté favoir fecours fecret femble Femmes fenfible fens fentimens fentir feroit fervir feule fincere foin foit folides font Fortune fouffrir fouhaite fous fouvent fuis fuiv gloire goût graces Homere hommes ISMENE j'ai j'avois j'étois jamais l'ame l'Amour l'efprit l'eftime Lettre m'avez Madame Madame DACIER Madame de Lambert MADE MADEMOISELLE malheurs maniere Marquife de LAMBERT ment mérite modeftie monde Monfieur n'avoit n'eft n'eſt n'étoit paffer paffion penfer penſe perfonne perfuader plaifir plaifirs plaiſirs pouvoit préfent premiere Prince Princeffe raifon refpecter refte Richeffes rien s'eft SACY ſes teffe TIMANDRE tion trifte trouver vertus
Pasajes populares
Página 40 - ... au cœur. M. de S. écrit parfaitement bien. Il ne touche à rien qu'il ne l'orne : les grâces vives et légères sont répandues partout, même dans les matières les plus sèches, et le procès, qui par ses mains change de forme.
Página 204 - Il me semble qu'on n'a jamais donné pour règle du véritable bonheur, les sensations agréables. Le bonheur que vous avez dans la vie répandue, tient à une infinité de choses ; ainsi vous avez une infinité de besoins. Plus vous avez de désirs, plus vous avez de pauvreté ; vous devenez esclave ; le sentiment de la liberté est moins vif, et s'affoiblit.