Œuvres de Madame la marquise de Lambert, Volumen2 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 17
Página 39
... rend un bon compte au Pu- blic de fon loifir . Il a traduit PLI- NE , qui eft un Auteur aussi aima . ble que lui . Il a fait les Traités de PAmitié & de la Gloire : par l'un & par l'autre il infpire & fortifie deux fentimens fi ...
... rend un bon compte au Pu- blic de fon loifir . Il a traduit PLI- NE , qui eft un Auteur aussi aima . ble que lui . Il a fait les Traités de PAmitié & de la Gloire : par l'un & par l'autre il infpire & fortifie deux fentimens fi ...
Página 61
... coute pour être loué de vous ! Mais vous n'avez voulu être qu'un Héros , & non pas un grand hom- me . Le Héros n'a que la bravoure d'un Pirate , qui par la circonf-- ་ tance fe rend un Conquérant ; & cette Vertu Dialogue . 61.
... coute pour être loué de vous ! Mais vous n'avez voulu être qu'un Héros , & non pas un grand hom- me . Le Héros n'a que la bravoure d'un Pirate , qui par la circonf-- ་ tance fe rend un Conquérant ; & cette Vertu Dialogue . 61.
Página 62
Anne Thérèse de Marguenat de Courcelles marquise de Lambert. ་ tance fe rend un Conquérant ; & cette Vertu , en foi fi noble , cesse d'être Vertu par l'usage que vous en faites . Le grand homme réunit toutes les Vertus , & les a pures ...
Anne Thérèse de Marguenat de Courcelles marquise de Lambert. ་ tance fe rend un Conquérant ; & cette Vertu , en foi fi noble , cesse d'être Vertu par l'usage que vous en faites . Le grand homme réunit toutes les Vertus , & les a pures ...
Página 98
... rend sensible à mille douceurs qui échapent au vulgaire c'eft un microscope , qui groffit pour cer- tain temps ce qui eft impercepti- ble aux autres : elle fait l'affaifon- nement de tous les plaifirs . Se pourroit - il , que nous ...
... rend sensible à mille douceurs qui échapent au vulgaire c'eft un microscope , qui groffit pour cer- tain temps ce qui eft impercepti- ble aux autres : elle fait l'affaifon- nement de tous les plaifirs . Se pourroit - il , que nous ...
Página 99
... rend guères contens de foi . Quelle fource de brouilleric avec l'Amour propre ! Que de se- chereffe dans la Société , qui de- mande toujours des applaudiffe- mens ! Qu'il en coûte à la fincéri- té pour se rendre fupportable ! Et que la ...
... rend guères contens de foi . Quelle fource de brouilleric avec l'Amour propre ! Que de se- chereffe dans la Société , qui de- mande toujours des applaudiffe- mens ! Qu'il en coûte à la fincéri- té pour se rendre fupportable ! Et que la ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
affez agrémens aifé aime ainfi amie au-deffus auffi auroit avez avoient avoit befoin bleffer bles bonheur c'eft c'eſt Cambray chofes cœur confeils conferver Confidération connoiffance deffein defirs délicateffe difant difoit difpofitions DIOG donner douleur efprit eftime ELEONOR eſt êtes étoient étoit fage faifoit fans fanté favoir fecours fecret femble Femmes fenfible fens fentimens fentir feroit fervir feule fincere foin foit folides font Fortune fouffrir fouhaite fous fouvent fuis fuiv gloire goût graces Homere hommes ISMENE j'ai j'avois j'étois jamais l'ame l'Amour l'efprit l'eftime Lettre m'avez Madame Madame DACIER Madame de Lambert MADE MADEMOISELLE malheurs maniere Marquife de LAMBERT ment mérite modeftie monde Monfieur n'avoit n'eft n'eſt n'étoit paffer paffion penfer penſe perfonne perfuader plaifir plaifirs plaiſirs pouvoit préfent premiere Prince Princeffe raifon refpecter refte Richeffes rien s'eft SACY ſes teffe TIMANDRE tion trifte trouver vertus
Pasajes populares
Página 40 - ... au cœur. M. de S. écrit parfaitement bien. Il ne touche à rien qu'il ne l'orne : les grâces vives et légères sont répandues partout, même dans les matières les plus sèches, et le procès, qui par ses mains change de forme.
Página 204 - Il me semble qu'on n'a jamais donné pour règle du véritable bonheur, les sensations agréables. Le bonheur que vous avez dans la vie répandue, tient à une infinité de choses ; ainsi vous avez une infinité de besoins. Plus vous avez de désirs, plus vous avez de pauvreté ; vous devenez esclave ; le sentiment de la liberté est moins vif, et s'affoiblit.