Œuvres de Madame la marquise de Lambert, Volumen2 |
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... s'il eft livré à la plus vive douleur , il la fouffre avec patience , il eft doux avec elle ; il fait fentir qu'il n'a point ufé dans les plaifirs ce fond de gayeté que la Nature lui a don- né , puifqu'il fait la retrouver dans fes ...
... s'il eft livré à la plus vive douleur , il la fouffre avec patience , il eft doux avec elle ; il fait fentir qu'il n'a point ufé dans les plaifirs ce fond de gayeté que la Nature lui a don- né , puifqu'il fait la retrouver dans fes ...
Página 54
... s'il falloit convenir que c'eft le mérite qui vous a mis au- deffus de nous : nous nous confo- lons , quand nous penfons que vous ne devez qu'au hasard , ou au caprice de l'aveugle Fortune , cette extrême différence qu'il y a de vous à ...
... s'il falloit convenir que c'eft le mérite qui vous a mis au- deffus de nous : nous nous confo- lons , quand nous penfons que vous ne devez qu'au hasard , ou au caprice de l'aveugle Fortune , cette extrême différence qu'il y a de vous à ...
Página 63
... s'il- luftrer par de grandes Conquêtes . DIOG . Je fai bien que vous au- rez pour vous la multitude . Le nombre des Sages est très - petit ; & tout Prince que vous êtes , vous êtes un homme du Peuple par votre maniere de penfer Dialogue ...
... s'il- luftrer par de grandes Conquêtes . DIOG . Je fai bien que vous au- rez pour vous la multitude . Le nombre des Sages est très - petit ; & tout Prince que vous êtes , vous êtes un homme du Peuple par votre maniere de penfer Dialogue ...
Página 145
... s'il n'en avoit écrit que conformément aux idées reçues ? Mais je m'apperçois que je cite ; je vous en demande pardon : je m'en hardis avec vous , & je vous fais part de mes débauches littéraires . Vous dites auffi , avec M. DE LA MOTHE ...
... s'il n'en avoit écrit que conformément aux idées reçues ? Mais je m'apperçois que je cite ; je vous en demande pardon : je m'en hardis avec vous , & je vous fais part de mes débauches littéraires . Vous dites auffi , avec M. DE LA MOTHE ...
Página 150
... s'il les habilloit à notre façon , ils ne conviendroient plus aux temps où ils étoient ; & ceux de ces temps là ne plaifent guères au nôtre . - Vous réduisez toutes ces quef- tions , mon R. P. dans un Pyr- rhonisme bien fondé ; & tout ...
... s'il les habilloit à notre façon , ils ne conviendroient plus aux temps où ils étoient ; & ceux de ces temps là ne plaifent guères au nôtre . - Vous réduisez toutes ces quef- tions , mon R. P. dans un Pyr- rhonisme bien fondé ; & tout ...
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Términos y frases comunes
affez agrémens aifé aime ainfi amie au-deffus auffi auroit avez avoient avoit befoin bleffer bles bonheur c'eft c'eſt Cambray chofes cœur confeils conferver Confidération connoiffance deffein defirs délicateffe difant difoit difpofitions DIOG donner douleur efprit eftime ELEONOR eſt êtes étoient étoit fage faifoit fans fanté favoir fecours fecret femble Femmes fenfible fens fentimens fentir feroit fervir feule fincere foin foit folides font Fortune fouffrir fouhaite fous fouvent fuis fuiv gloire goût graces Homere hommes ISMENE j'ai j'avois j'étois jamais l'ame l'Amour l'efprit l'eftime Lettre m'avez Madame Madame DACIER Madame de Lambert MADE MADEMOISELLE malheurs maniere Marquife de LAMBERT ment mérite modeftie monde Monfieur n'avoit n'eft n'eſt n'étoit paffer paffion penfer penſe perfonne perfuader plaifir plaifirs plaiſirs pouvoit préfent premiere Prince Princeffe raifon refpecter refte Richeffes rien s'eft SACY ſes teffe TIMANDRE tion trifte trouver vertus
Pasajes populares
Página 40 - ... au cœur. M. de S. écrit parfaitement bien. Il ne touche à rien qu'il ne l'orne : les grâces vives et légères sont répandues partout, même dans les matières les plus sèches, et le procès, qui par ses mains change de forme.
Página 204 - Il me semble qu'on n'a jamais donné pour règle du véritable bonheur, les sensations agréables. Le bonheur que vous avez dans la vie répandue, tient à une infinité de choses ; ainsi vous avez une infinité de besoins. Plus vous avez de désirs, plus vous avez de pauvreté ; vous devenez esclave ; le sentiment de la liberté est moins vif, et s'affoiblit.