Histoire de la poësie françoiseÉditeur non identifié, 1706 - 336 páginas |
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... naturels lement bouffons & comiques ; ils alloient à Rome pour y re prefenter des Pieces de leur fa çon , qui n'étoient remplies que de bouffonneries & d'équivo ques groffieres ; elles amuferent pourtant le Peuple affez long- tems on ...
... naturels lement bouffons & comiques ; ils alloient à Rome pour y re prefenter des Pieces de leur fa çon , qui n'étoient remplies que de bouffonneries & d'équivo ques groffieres ; elles amuferent pourtant le Peuple affez long- tems on ...
Página 75
... naturel fatyrique , & il s'étoit même fouvent déchaîné contre les Souverains ; mais il s'en repentit enfin ; il a été ca- nonife , & l'Ordre de Cîteaux en fait l'Office le treize de Jan- vier . Les Picards furent les premiers qui ...
... naturel fatyrique , & il s'étoit même fouvent déchaîné contre les Souverains ; mais il s'en repentit enfin ; il a été ca- nonife , & l'Ordre de Cîteaux en fait l'Office le treize de Jan- vier . Les Picards furent les premiers qui ...
Página 103
... appella au Parlement , qui crut que c'étoit impofer une peine affez rude à un homme d'efprit , que de le bannir de les Paris . Corbueil avoit tant de naturel pour la I iiij de la Poëfie Françoise . 103 combien l'harmonie des rimes ...
... appella au Parlement , qui crut que c'étoit impofer une peine affez rude à un homme d'efprit , que de le bannir de les Paris . Corbueil avoit tant de naturel pour la I iiij de la Poëfie Françoise . 103 combien l'harmonie des rimes ...
Página 104
Joseph Mervesin. les Paris . Corbueil avoit tant de naturel pour la Poëfie , que horreurs d'une Sentence de mort ne lui firent pas perdre l'envie de rimer ; aprés fa con- damnation du Châtelet , il fit les Vers fuivans ; Je fuis François ...
Joseph Mervesin. les Paris . Corbueil avoit tant de naturel pour la Poëfie , que horreurs d'une Sentence de mort ne lui firent pas perdre l'envie de rimer ; aprés fa con- damnation du Châtelet , il fit les Vers fuivans ; Je fuis François ...
Página 107
... naturel , pour être un des plus grands Monarques du monde ; il étoit intrepide , genereux , affable , indulgent & magnifique ; les guerres continuelles , qu'il fut obligé de foûtenir contre pref- que toutes les Puiffances de l'Europe ...
... naturel , pour être un des plus grands Monarques du monde ; il étoit intrepide , genereux , affable , indulgent & magnifique ; les guerres continuelles , qu'il fut obligé de foûtenir contre pref- que toutes les Puiffances de l'Europe ...
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Términos y frases comunes
affez agréable ainfi appelloit auffi Auteur avoient avoit beaux Efprits belles bien-tôt aprés Bouts-rimez c'eft c'eſt celebre Chan Chanfons chanter chofe choſe Comédie compofa crire crû d'efprit Defportes Defpreaux déja délors differentes donna donnoit Dulot efpece enfuite Epique eſt Etienne Jodelle étoient étoit faifoient faifoit fans fe font fens fent férieux fervit fes amis fes Ouvrages feul feur fiecle firent foient foin foit fous le nom fouvent fpectacles François Frere Lubin ftile fuite fujets gens d'efprit gloire Grecs Heros ingénieufes jufques l'amour laiffa Latins lefquels long-tems aprés Lully Mademoiſelle merite Moliere Mufes n'avoient n'avoit n'eft naiffance obferva paffa paffions Parnaffe paroître penfée perfonne Phocide Pieces plaifir plufieurs Poë Poëfie Poëme Dramatique Poëtes pofa Pontus de Thyard pouvoit prefenter prefque premiere prit raifon reçû rent reprefentation rimes Ronfard s'étoit Satyres Sonnet tems tems-là Theatre tion toûjours tres veritable vrages
Pasajes populares
Página 249 - Je me flattais toujours d'une espérance vaine, Faisant le chien couchant auprès d'un grand seigneur. Je me vis toujours pauvre, et tâchai de paraître ; Je vécus dans la peine, espérant le bonheur, Et mourus sur un coffre, en attendant mon maître.
Página 113 - Frère Lubin le fera bien : On a beau dire je le tien, Et le presser de satisfaire. Jamais ne vous en rendra rien, Frère Lubin ne le peult faire.
Página 324 - Roy parle. A fa parole , Plus vite qu'un trait ne vole , On voit nager nos Guerriers : Et leur ardeur eft fi vive , Que déjà fur l'autre rive Ils ont cueilli des lauriers.
Página 248 - Coquin! ce me dit-il d'une arrogance extrême! Va chercher tes coquins ailleurs, coquin toi-même! Ici tous sont égaux; je ne te dois plus rien : Je suis sur mon fumier comme toi sur le tien.
Página 118 - C'étoit donner toute la terre ronde , Car seulement au cœur on se prenoit; Et si par cas à jouir on venoit, Savez-vous bien comme on s'entretenoit ? Vingt ans , trente ans ; cela duroit un monde Au bon vieux temps.
Página 151 - Cela serait touchant, si l'on y pouvait croire. Il est plus probable que Ronsard fut pris d'ennui ; on le comprend de reste en essayant la lecture du poème. Outre l'absurdité de la conception, le style rebute et fatigue l'attention la plus courageuse. Comment admettre ce héros fantastique, Francus...
Página 301 - Nous attendions de Chapelain, Ce noble et fameux écrivain, Une incomparable Pucelle. La cabale en dit force bien ; Depuis vingt ans on parle d'elle ; Dans six mois on n'en dira rien.
Página 253 - L'Aurore déployoit l'or de fa trefle blonde , Et femoit de rubis le chemin du Soleil : Enfin ce Dieu venoit au plus grand appareil Qu'il foit jamais venu pour éclairer le Monde. Quand la jeune Philis au vifage riant , Sortant de fon palais plus clair que l'orient , Fit voir une lumière & plus vive & plus belle.