Histoire de la poësie francoise |
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i quis , de faire pour l'execution des Presentes , tous Exploits & Actes necesfaires , sans demander autre permission , nonobftant Clameur de Haro , Charte Normande , & Lettres à ce contraires : CAR tel est notre plaisir .
i quis , de faire pour l'execution des Presentes , tous Exploits & Actes necesfaires , sans demander autre permission , nonobftant Clameur de Haro , Charte Normande , & Lettres à ce contraires : CAR tel est notre plaisir .
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Términos y frases comunes
admirer amour appella appelloit aprés aſſez auſſi Auteur avoient avoit avons beaux belles c'eſt celebre Chanſons chanter choſe Comédie commença Comte coup Cour d'abord d'autres demande dés Deſpreaux differentes dire doit donna élevé enfin Eſprits eſt étoient étoit faiſoient faiſoit fans firent font forma fort fous François gens gloire goût Grecs homme jouer jour l'amour l'eſprit l'un langage Langue Latins Lettres lieu loin long-tems ment monde mort mots Muſes n'avoit n'en n'eſt naturel Ouvrages parler peine pendant Pere Pieces pluſieurs Poë Poëme Poëſie Poëtes porte pourtant premier premiere prés preſque prit Public qu'à qu'un quantité regarder regles regne rendre rent réputation rien rimes Ronſard Royaume s'en s'étoit s'il Saint ſans Satyres ſens ſes ſoin ſoit ſon Sonnet ſont ſous ſouvent ſtile ſuite ſujets ſur tems tems-là Theatre tion toûjours traiter trouver veritable voit
Pasajes populares
Página 249 - Je me flattais toujours d'une espérance vaine, Faisant le chien couchant auprès d'un grand seigneur. Je me vis toujours pauvre, et tâchai de paraître ; Je vécus dans la peine, espérant le bonheur, Et mourus sur un coffre, en attendant mon maître.
Página 113 - Frère Lubin le fera bien : On a beau dire je le tien, Et le presser de satisfaire. Jamais ne vous en rendra rien, Frère Lubin ne le peult faire.
Página 324 - Roy parle. A fa parole , Plus vite qu'un trait ne vole , On voit nager nos Guerriers : Et leur ardeur eft fi vive , Que déjà fur l'autre rive Ils ont cueilli des lauriers.
Página 248 - Coquin! ce me dit-il d'une arrogance extrême! Va chercher tes coquins ailleurs, coquin toi-même! Ici tous sont égaux; je ne te dois plus rien : Je suis sur mon fumier comme toi sur le tien.
Página 118 - C'étoit donner toute la terre ronde , Car seulement au cœur on se prenoit; Et si par cas à jouir on venoit, Savez-vous bien comme on s'entretenoit ? Vingt ans , trente ans ; cela duroit un monde Au bon vieux temps.
Página 151 - Cela serait touchant, si l'on y pouvait croire. Il est plus probable que Ronsard fut pris d'ennui ; on le comprend de reste en essayant la lecture du poème. Outre l'absurdité de la conception, le style rebute et fatigue l'attention la plus courageuse. Comment admettre ce héros fantastique, Francus...
Página 301 - Nous attendions de Chapelain, Ce noble et fameux écrivain, Une incomparable Pucelle. La cabale en dit force bien ; Depuis vingt ans on parle d'elle ; Dans six mois on n'en dira rien.
Página 253 - L'Aurore déployoit l'or de fa trefle blonde , Et femoit de rubis le chemin du Soleil : Enfin ce Dieu venoit au plus grand appareil Qu'il foit jamais venu pour éclairer le Monde. Quand la jeune Philis au vifage riant , Sortant de fon palais plus clair que l'orient , Fit voir une lumière & plus vive & plus belle.