La Faculté de théologie de Paris et ses docteurs les plus célèbres: moyen-age, Volumen4Picard, 1897 - 367 páginas |
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 289 - Satan vous a réclamés pour vous cribler comme le froment, mais j'ai prié pour toi afin que ta foi ne défaille point ; et toi, lorsque tu seras converti, affermis tes frères 8.
Página 183 - Fait tomber à ses pieds ce guerrier généreux ; Ses yeux sont pour jamais fermés à la lumière, Son casque auprès de lui roule sur la poussière ; D'Ailly voit son visage : ô désespoir ! ô cris ! Il le voit, il l'embrasse, hélas!
Página 170 - Après Dariot, venu avec les Représentants en mission , et qui n'a laissé aucun souvenir dans le pays , il faut nommer Marre et Crestey. Ce dernier publia , en 1827 , l'Essai sur l'Histoire et les Antiquités de la ville et arrondissement de Domfront, par Caillebotte. C'est probablemet là le premier livre qui ait été imprimé à Domfront. Fiers, ville de nouvelle création, n'eut d'imprimeur qu'en 1837; La Ferté-Macé se paya ce luxe encore plus tard. L'imprimeur de Fiers, Martin, a publié...
Página 245 - Et le vin venant à manquer, la mère de Jésus lui dit : Ils n'ont point de vin. 4. Jésus lui répondit : Femme, qu'y at-il de commun entre vous et moi?
Página 301 - La seconde fust que vous luy priastes que se les grandes adversitez et tribulations que le pauvre peuple de France souffroit et avoit souffert si longtemps procédoient de vostre péché et que vous en fussiez cause, que ce fust son plaisir en relever le peuple et que vous seul en fussiez pugni et portassiez la pénitence, soit par mort ou toIle aultre peine qu'il luy plairoit.
Página 301 - Le roy responditque ouy. Adonc la Pucelle lui dist : « Sire , la première requeste » que vous feistes à Dieu , fut que vous priastes , » que si vous n'estiez vrai héritier de France, que » ce fust son plaisir vous oster le courage de le » poursuivre , affin que vous ne fussiez plus cause de » faire et soutenir la guerre , dont procède tant de » maux, pour recouvrer ledit royaume. La seconde » fut que vous lui priastes , que si les grandes ad...
Página 183 - II déteste à jamais sa coupable victoire ; II renonce à la cour, aux humains, à la gloire ; Et se fuyant lui-même, au milieu des déserts, II va cacher sa peine au bout de l'univers. Là. soit que le soleil rendît le jour au monde, Soit qu'il finît sa course au vaste sein de l'onde, Sa voix faisait redire aux échos attendris Le nom, le triste nom de son malheureux fils.
Página 128 - Kecteur et à Messieurs de Nostre Mère l'Université de Paris. Monsieur le Recteur, je me recommande à vous et à Messieurs de Nostre Mère l'Université, tant comme je puis. Le roy m'a chargé faire déclouer et défermer tous les livres des Nominaux qui ja pieça furent sceellez et clouez par M. D'Avranches es Collèges de la dite Université à Paris, et que je vous fisse sçavoir que chacun y estudiast qui voudrait.
Página 50 - Toutesvoies finablemeut nous supplions humblement à vostre excellente haultesse que très diligemment ceste matière soit par justice menée à fin briefvement ; car, en vérité , la longueur et dilacion est très périlleuse, et si est très nécessaire sur ce, notable et grande réparacion , à ce que le peuple qui , par icelle femme a esté moult scandalizé, soit réduit à bonne et sainte doctrine et crédulité.