| Friedrich Schiller - 1795 - 188 páginas
...est charmé de la rencontrer quelquefois. . « J'écris comme citoyen du monde ; je ne sers aufcun prince ; de bonne heure j'ai perdu ma patrie pour l'échanger contre le genre humain que je connaissais à Peine en imagination, Un singulier mal-entendu de «.nature, m'avait condamné à me... | |
| 1896 - 972 páginas
...lorsque le baron Dalberg l'appela .près de lui -u Manheim : "J'écris comme citoyen du monde. Je ne sers aucun prince. De bonne heure, j'ai perdu ma patrie pour l'échanger contre le genre humain, que je connaissais à peine en imagination." Cette profession de foi vaut celle de IVciudhon : " L'ancien... | |
| Ernest Cœurderoy - 1910 - 1430 páginas
...la Solidarité des Peuples. Juin 1849. VOYAGE m CONTREBANDE. DEPART. J'écris comme citoyen du monde De bonne heure j'ai perdu ma patrie pour l'échanger contre le genre humain que jô connaissais à peine en imagination. Scliiller. 76 Compris parmi les accusés du 13 juin, je fus... | |
| Romain Rolland - 1913 - 250 páginas
...pas. — Déjà, il ya cent vingt ans, le libre Schiller disait : « J'écris comme citoyen du monde. De bonne heure, j'ai perdu ma patrie pour l'échanger contre le genre humain2. » Déjà, il ya près d'un siècle, Gœthe au regard serein disait : « La littérature nationale,... | |
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