Histoire De François Premier, Roi De France, Dit Le Grand Roi Et Le Pere Des Lettres: 5Saillant & Nyon, 1769 - 500 páginas |
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... corps d'Arquebu- fiers , & un moulin dont toutes les embrafures étoient garnies d'artille- rie . La crainte fut plus forte que toutes les reffources , & que toutes les barriéres ; elle gagna bientôt le corps d'Arquebufiers , qui fut ...
... corps d'Arquebu- fiers , & un moulin dont toutes les embrafures étoient garnies d'artille- rie . La crainte fut plus forte que toutes les reffources , & que toutes les barriéres ; elle gagna bientôt le corps d'Arquebufiers , qui fut ...
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... corps nombreux de Che- vaux - Légers , pour escorter quatre cent Arquebufiers , chargés chacun d'un fac de poudre , & qui avoient ordre de tout tenter pour fe jetter dans la Ville , après quoi l'efcorte devoit rejoindre l'Armée du Dau ...
... corps nombreux de Che- vaux - Légers , pour escorter quatre cent Arquebufiers , chargés chacun d'un fac de poudre , & qui avoient ordre de tout tenter pour fe jetter dans la Ville , après quoi l'efcorte devoit rejoindre l'Armée du Dau ...
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... corps de troupes fuffifant , mais perfonne ne contribua tant à faire lever le fiége de cette Place , que le Tholofan qui l'avoit prife ; il s'étoit attaché à sa conquête , il fit des efforts extraor- dinaires pour la conferver . D'Affal ...
... corps de troupes fuffifant , mais perfonne ne contribua tant à faire lever le fiége de cette Place , que le Tholofan qui l'avoit prife ; il s'étoit attaché à sa conquête , il fit des efforts extraor- dinaires pour la conferver . D'Affal ...
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... ; qu'ils ne purent s'arrêter dans Suze où étoient leurs bagages & leurs ma- gafins : s'il avoit eu plus de cavalerie pour continuer la pourfuite , ce corps Sleidan . Commentar . de dix mille hommes eût été 70 HISTOIRE.
... ; qu'ils ne purent s'arrêter dans Suze où étoient leurs bagages & leurs ma- gafins : s'il avoit eu plus de cavalerie pour continuer la pourfuite , ce corps Sleidan . Commentar . de dix mille hommes eût été 70 HISTOIRE.
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... corps de la Devife étoit un chêne ébranché , & chargé d'armes ; il dit que ce fut le Duc Emmanuel - Philibert qui prit cette De- vife . Il fe trompe , c'étoit Charles III . fon pere , ce- lui qui figure dans toute cette histoire . pas ...
... corps de la Devife étoit un chêne ébranché , & chargé d'armes ; il dit que ce fut le Duc Emmanuel - Philibert qui prit cette De- vife . Il fe trompe , c'étoit Charles III . fon pere , ce- lui qui figure dans toute cette histoire . pas ...
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Términos y frases comunes
affez ainfi Ambaffadeurs Anglois auffi auroit avoient avoit bataille Belcar Bellay Boutiéres Briffac c'eft c'eſt c'étoit camp Carignan caufe Chancelier Charles Charles-Quint Château çois Commentar Comte d'An Comte d'Anguien Comte d'Aumale Confeil confidérable Connétable d'Annebaut Dauphin défenſe devoit Doria Duc d'Orléans Duc de Cleves Ducheffe d'Eftampes ennemis envoya Etats étoient étoit eût faifoit falloit fans fe rendre feconde fecours fent feroit fervice fervir feul fiége foit foldats fous Fran François Françoiſe fuccès fuivi fujet fur-tout garnifon guerre Henri VIII Impériaux jufqu'à l'Amiral l'armée l'Em l'Empe l'Empereur laiffer Landreci Lanfquenets Langei lorfque Luxembourg Maifon Maréchal du Biez Marquis du Guaft Martin du Bellay mée Mém Milanès mille Miniftres Monthelon Montmorenci n'avoit paffage paffer paix Paul Jove Pays-Bas pereur perfonne Piémont Pignerol place plufieurs pofte pouvoit prefque Prince Puiffances refte reur Savillan Sleidan Suiffes tems tion trève troupes Turcs Turin vaiffeaux vouloit
Pasajes populares
Página 481 - Le roi François ne faillit point, Quand il prédit que ceux de Guyse Met>roient ses enfans en pourpoint, Et tous ses sujets en chemise.
Página 304 - ... il laissa bonnes garnisons et moien de les fortifier. Puis, à raison que l'intention du Roy estoit de remettre en ses mains Carignan , qui luy estoit une espine en son pied, attendu qu'elle tenoit toute la (0 François de Bourbon , sieur d'Anguien : il étoit frère d'Antoine de Bourbon , duc de Vendôme , depuis roi de Navarre ; de Louis I , prince de Condé ; du cardinal de Bourbon, que les ligueurs nommèrent roi; et de Jean de Bourbon, tué en 1 55"], à la bataille de SainKJucntin.
Página 110 - C« fut, dit-on, l'effet d'une vengeance bizarre, qu'un mari jaloux prit des infidélités de sa femme, et des galanteries du roi. Il voulut les punir des outrages qu'il en avait reçus, par ceux qu'il espéra d'en recevoir encore.