| Pierre de Maupeou - 1603 - 598 páginas
...chair & le » démon ; J'en ai vu les contestations » avec une douleur fenfîble , je n'y ii » point pris d'autre part, que celle qu'y •» peut avoir un homme qui s'en afflige » devant Dieu , &c qui gémit aux pieds »> de fes autels 3 en confideranr le fein& » les entrailles... | |
| Jacques Marsollier - 1703 - 584 páginas
...* ï. Liv. I y. éj j'en ay vu les conte/lacions avec une " douleur fenfible , & je n'y ay point " pris d'autre part que celle qu'y peut " avoir un homme...afflige de- " vant Dieu , & qui gémit au pied de ft fes Autels , en confiderant le fein & les '* entrailles de fa mère déchirez pat fes " propres... | |
| Philippe-Irénée Boistel d' Exauvillez - 1842 - 438 páginas
...la chair et le démon); j'en ai vu les contestations avec une douleur sensible, et je n'y ai point pris d'autre part que celle qu'y peut avoir un homme qui s'en afflige devant Dieu et qui gémit au pied de ses autels, en considérant le sein et les entrailles de sa mère... | |
| Pierre Varin - 1847 - 416 páginas
...p. 121. « Église.... J'en ai vu les contestations avec une douleur « sensible; et je n'y ai point pris d'autre part que celle « qu'y peut avoir un homme qui s'en afflige devant Dieu, « et qui gémit au pied de ses autels en considérant le « sein et les entrailles de... | |
| Pierre Varin - 1847 - 422 páginas
...de son « Église.... J'en ai vu les contestations avec une douleur « sensible; et je n'y ai point pris d'autre part que celle « qu'y peut avoir un homme qui s'en afflige devant Dieu, « et qui gémit au pied de ses autels en considérant le « sein et les entrailles de... | |
| Pierre Joseph Varin - 1847 - 832 páginas
...p. 121. « Église.... J'en ai vu les contestations avec une douleur «sensible; et je n'y ai point pris d'autre part que celle « qu'y peut avoir un homme qui s'en adlige devant Dieu, « et qui gémit au pied dé ses autels en considérant le « sein et les entrailles... | |
| abbé Louis Dubois - 1869 - 680 páginas
...la chair et le démon) ; j'en ai vu les contestations avec une douleur sensible, et je n'y ai point pris d'autre part que celle qu'y peut avoir un homme qui s'en afflige devant Dieu , et qui gémit au pied de ses autels, en (1) Lettre au maréchal de Bellefonds. (Collect.... | |
| |