Oeuvres, Volumen5 |
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admirable ainſi Anciens auſſi avoit beau beauté belle Boileau C'eſt caractere cauſe chante cher chercher choſes content Cour croit Dieu Dieux différence dire Divinités doit doivent donner également entendre eſt étoit Fables femme ferai figures fils font force Grecs harmonie Héros Homere homme images imiter j'ai jette jour juger l'amour l'art l'autre l'harmonie l'imitation l'un langage Langue Latins lieu loin lorſque malheureux maniere ment meurs mieux mort mots Muſique n'en n'eſt n'ont nation nature naturelle nombre objets oreille Ouvrages pareille parler paroles peine peinture pere peuple peuvent Piéce place plaire plein pluſieurs Poë Poëme Poëſie Poëtes poëtique porte premier qu'à qu'un raiſon rapport regarder régles rend rendre rien Rime s'il ſans ſçait ſemble ſeroit ſes ſimple ſoit ſon ſont ſouvent ſtile ſujets ſur tems terre tion tour Tragédie traits trouve vent vérité Verſification veut Virgile vive voit Vrai yeux
Pasajes populares
Página 113 - Sur d'éclatants succès ma puissance établie A fait jusqu'aux deux mers respecter Athalie; Par moi Jérusalem goûte un...
Página 86 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Página 182 - Mena victorieux jusqu'au bout de la terre : Libres dans leur victoire, et maîtres de leur foi. L'intérêt de l'Etat fut leur unique loi ; Et d'un trône si saint la moitié n'est fondée Que sur la foi promise et rarement gardée. Je m'emporte. Seigneur.
Página 137 - L'enfer s'émeut au bruit de Neptune en furie. Pluton sort de son trône, il pâlit, il s'écrie; II a peur que ce dieu, dans cet affreux séjour, D'un coup de son trident ne fasse entrer le jour, Et, par le centre ouvert de la terre ébranlée, Ne fasse voir du Styx la rive désolée; Ne découvre aux vivants cet empire odieux, Abhorré des mortels, et craint même des dieux1.
Página 112 - Notre versification perd plus, si je ne me trompe, qu'elle ne gagne par les rimes : elle perd beaucoup de variété, de facilité et d'harmonie. Souvent la rime, qu'un poète va chercher bien loin, le réduit à allonger et à faire languir son discours; il lui faut deux ou trois vers postiches pour en amener un dont il a besoin.
Página 56 - En tous lieux rejetté, l'horreur de la nature, Homicide d'un peuple à tes foins confié, De ce peuple aujourd'hui tu te vois oublié.
Página 124 - Un Prêtre , environné d'une foule cruelle , Portera fur ma fille une main criminelle ; Déchirera fon fein , & , d'un œil curieux , Dans fon cœur palpitant confultera les Dieux ! Un des Auditeurs a raconté à M. Racine fils...
Página 197 - Ce fang qui tout verfé fume encor de courroux De fe voir répandu pour d'autres que pour vous.
Página 164 - Il sait votre dessein; jugez de ses alarmes. Ma mère est devant vous ; et vous voyez ses larmes. Pardonnez aux efforts que je viens de tenter Pour prévenir les pleurs que je leur vais coûter.
Página 137 - L'enfer s'émeut au bruit de Neptune en furie : Pluton fort de fon trône : il pâlit , il s'écrie ; Il a peur que ce dieu dans cet affreux féjour , D'un coup de fon trident ne...
Información bibliográfica
| Título | Oeuvres, Volumen5 Oeuvres, Louis Racine |
| Autor | Louis Racine |
| Edición | 6 |
| Editor | M.M. Rey, 1750 |
| Procedencia del original | Universidad de Lausana |
| Digitalizado | 31 Mar 2008 |
| Exportar cita | BiBTeX EndNote RefMan |