| 1788 - 394 páginas
...j'en attends le remède. Il faut que demain même, au Sénat assemble" , C De ta témérité le secret dévoilé , D'un odieux hymen pour jamais me dégage. Si tu veux appuyer mes droits de ton suffrage, Je redouterai peu Constance et ses amis : Qui rend un Peuple heureux le voit toujours soumis.... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1803 - 920 páginas
...mal, j'en attends le remede; Il faut que demain même au sénat assemblé De ta témérité le secret dévoilé D'un odieux hymen pour jamais me dégage: Si tu veux appuyer mes droits de ton suffrage, Je redouterai peu Constance et ses amis. Qui rend unpeupleheureux,levoit toujours soumis.... | |
| 1810 - 716 páginas
...j'en attends le remède. Il faut que demain même , au sénat assemblé , De ta témérité le secret dévoilé , D'un odieux hymen pour jamais me dégage. , Si tu veux appuyer mes droits de ton suffrage , Je redouterai peu Constance et ses amis : Qui rend un peuple heureux le voit touîours soumis.... | |
| Bernard-Joseph Saurin, Saurin (M., Bernard-Joseph) - 1812 - 312 páginas
...j'en attends le remede ; II faut que demain même , an sénat assemblé , De ta témérité le secret dévoilé » D'un odieux hymen pour jamais me dégage : Si tu veux appuyer mes droits de ton suffrage, Je redouterai peu Constance et ses amis: Qui rend un peuple heureux , le voit toujours soumis.... | |
| Colardeau (M., Charles-Pierre) - 1821 - 290 páginas
...j'en attends le remède. 11 faut que demain même, au sénat assemblé, De ta témérité le secret dévoilé , D'un odieux hymen pour jamais me dégage. Si tu veux appuyer mes droits de ton sumage , Je redouterai peu Constance et ses amis : Qui rend un peuple heureux le voit tou1ours soumis.... | |
| 1822 - 288 páginas
...j'en attends le remède. 11 faut que demain même, au sénat assemblé, De ta témérité le secret dévoilé , D'un odieux hymen pour jamais me dégage. Si tu veux appuyer mes droits de ton suffrage, Je redouterai peu Constance et ses amis : iQui rend un peuple heureux le voit toujours soumis.... | |
| 1824 - 774 páginas
...j'en attends le remède. Il faut que demain même, au sénat assemblé, De ta témérité le secret dévoilé D'un odieux hymen pour jamais me dégage. Si tu veux appuyer mes droits de ton suffrage , Je redouterai peu Constance et ses amis : Qui rend un peuple heureux le vuit toujours soumis.... | |
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