Chevaliers, leur nature, leur forme & leurs diverfités; I. 289 327. Armes. Richeffe extraordinaire de quelques-unes de ces armes; I. ibid. 334. ARMOIRIES que les Chevaliers faifoient peindre fur leurs écus;I.293, $46.

Ces armoiries étoient tranfmifes aux Chevaliers qu'ils adoptoient; I. ib.

B.

BACHELIE ACHELIER, grade inférieur de Chevalerie: ce que c'étoit proprement que ce grade; I. 306. BACINETS,efpèce d'armure ou partie de l'armure du Chevalier; I. 11. BAISER que le Chevalier vainqueur dans les tournois avoit droit de donner à la Dame qui lui préfentoit le prix; I. 104, 176.

BANNERET. Chevalier Banneret; grade de Chevalerie, fupérieur aux autres & très-diftingué; I. 306,359. Honneurs particuliers qu'on rendoit autrefois aux Chevaliers Banne rets; I. ibid.

BANQUET fingulier, ou feftin extraor dinairement magnifique, donné aux gens de la Cour par le Duc de Bourgogne; I. 188.

BATAILLE. Manière de fe ranger en bataille qui étoit en ufage dans les temps de l'ancienne Chevalerie; I. 24, 53.

Bataille de Poitiers, extrêmement funefte à la France; mais journée très-honorable à la Chevalerie; I.

219.

BLASON. Quelle a été fon origine. Ce font les tournois qui en ont fait naître l'idée; I. 295.

BRASSARDS, pièce de l'armure du Chevalier qui étoit destinée à couvrir & à garantir fes bras; I. 21. BRIGANDAGES Commis par les anciens Chevaliers; II. 24.

C.

CASTILLE, espèce particulière de combat, d'où eft venu parmi nous le mot de caftille, pour fignifier querelle, altercation; I. 92, 157. CÉRÉMONIE ufitée parmi la Nobleffe

Îui

pour paffer de l'état de Page à celui d'Ecuyer; I. 12, 42. CÉRÉMONIES inftituées avec beaucoup de folemnité pour la création. d'un Chevalier; I. 72, 133. Cérémonies fort extraordinaires qui étoient en ufage pour la dégradation des Chevaliers, I. 318. CHAPERONS, espèce de vêtement dont on ufoit autrefois pour fe couvrir la tête, I. 11. CHAMBELLAN, titre particulier aux Ecuyers, pour fignifier l'Ecuyer de la Chambre, I. 16, 45. CHANSONS en ufage pour célébrer les louanges du vainqueur dans les tournois, I. 109, 113, 178. CHARLES V. s'applique fagement à maintenir parmi les François l'ancien efprit de la Chevalerie, I. 204. CHARLES VI. montre beaucoup d'ardeur pour les exercices de la Chevalerie, II. 28, 85.

CHEV AL. Diverses efpèces de chevaux cheval rouffin, cheval amblant, cheval courfier, cheval de bataille ou deftrier; I. 22, 52.

CHEVAUX (grands). Monter fur fes grands chevaux; ce qu'on entendoit par-là, I. ibid. CHEVALERIE. Degrés différens où il falloit paffer pour y parvenir; I. 30, 56.

par

Son ancienneté : elle étoit connue du temps de Charlemagne ; I. 67, 115.

Son inftitution très-utile, & fondée fur les plus fages motifs; I. 69. Sa véritable origine ne remonte qu'au onzième fiécle; I. 68. 116. L'efprit de la Chevalerie ranimé par la fameufe Pucelle d'Orléans; I.

209. Caufes de la décadence & de la rui ne entière de l'ancienne Chevalerie,

II. 30. Prodiguée à de jeunes gens; II. 313

88.

Prefque inconnue depuis François premier, II. 39.

CHEVALIER. Sa principale charge étoit de proteger les foibles, les opprimés, les orphelins, les veuves & autres gens fans appui; I. 18, 134. CHEVALIER ·

CHEVALIER: il étoit obligé de rendre compte de fes aventures; I.

80.

Il étoit juge-né de tous fes pairs, c'eft-à-dire, de fes égaux; I. 79, 136.

Vertus très-relevées que le Chevalier devoit pratiquer; I. 80, 137. CHEVALIERS: ils étoient dans l'ufage en temps de guerre d'offrir le combat à l'ennemi, pour lui difputer l'avantage fingulier d'avoir la plus belle Dame; I. 221, 271. Effets très-particuliers qu'a eu quelquefois cette galanterie ; I. ibid. On en a retrouvé des traces dans les guerres qui fe font faites fous le regne d'Henri IV, & même de Louis XIV; I. 223.

L'union & l'intelligence parfaite qui regnoit entr'eux; I. 226, 272. Ils étoient reçus dans les châteaux avec empreffement & avec diftinction; I. 313.

On fe faifoit un devoir de les combler de préfens, I. ibid.

Ils recevoient des récompenfes des Princes & des Seigneurs au ferTome II.

N