V II I aa & % 3 V8 -aa. Or il est évident que c'est la petite racine . 9 I 8 aa qui est le sinus de l'angle le plus avan 3 tageux de la ligne du vent & de la voile , puisque cet angle doit être toujours moindre que celui de la ligne du vent, & de la quille, & qu'au contraire la plus gran V de racine x = - aa donneroit un angle plus grand. 9 Cette plus grande racine n'est pas cependant inutile; elle est le sinus de l'angle le plus avantageux de la voile, & de la ligne du vent dans le cas du vent largue, lorsque le sinus de la ligne du vent & de la direction de la quille est 3 2 SECTION 类类: SECTION IV. Des situations de la voile par raport aux differentes routes & dérives des Vaisseaux , dont le plan de leurs coupes horisontales de la carene est un poligone reflisligne. 35. Voique le terme de carene ne signifie quel quefois que la quille, on entend cependant par la carene toute la partie du Vaisseau , comprise depuis la quille jusqu'à la ligne de l'eau, ou l'endroit du bordage où l’eau vient se terminer quand le Bâtiment est en Mer. Soit le profil du corps d'un Vaisseau représenté par la fig. 8. dont BMHE représente la partie enfoncée dans l'eau ; cette partie est appellée la carene, terminée par la ligne de l'eau B E. Or il est évident qu'on peut regarder la carene comme formée par une infinité de plans ou tranches horisontales pofées les unes sur les autres, dont les circuits seront les mêmes que les contours du bordage du Vaisseau , correspondans à chaque tranche. Nous prendrons dans cette section chaque tranche pour un poligone rectiligne que nous pourrons regarder comme la figure même du Vaisseau. Ces poligones , quoiqu'irreguliers, auront toujours deux moitiés parfaitement égales & semblables , partagées par une ligne qui divise le Vaisfeau en deux également de la prouë à la poupe. Soit par exemple le poligone MQH9, fig. 12. une des tranches ou coupes horisontales du Vaisseau, la ligne MH qu'on peut prendre pour la quille , le divise en deux parties égales & semblables. С Fig. 9. 36. Lorsqu'une surface plane MR N reçoit obliqueinent l'impulsion d'un fluide, suivant une direction quelconque L P R, il est évident go. que si l'on prend M R pour le sinus total, M P sera le linus d'incidence; 2°. que ( art. 9.) la dire&tion selon laquelle la surface est poussée par le Auide, est toujours perpendiculaire à la même furface ; 30. qu'on peut décomposer l'expression de la force avec laquelle la surface est poussée par l'action du Auide dans la direction RI, perpendiculaire à la surface en deux forces laterales , l'une suivant RK perpendiculaire à la direction du fluide, & l'autre suivant R/ parallele à la même direction. Mais ( par l’ait. 10) si l'on prend la longueur MR pour l'expression de la force de l'impulfion du Huide, lorsqu'il rencontre la surface dans la direction perpendiculaire, MQ sera l'expression de la force de l'impulsion oblique, suivant l'angle d'incidence MRP: prenant donc li I perpendiculaire à la surface, & égale à MQ. Si l'on décompose cette force R I en deux laterales. RK, R1, perpendiculaires. & paralleles à la direction du Auide, R K sera l'expresion de l'effort perpendiculaire, & al celle de l'effort parallele. Si l'on fait MR = 1, MPEX, P R sera = Vaa—xx, les triangles semblables MRP, MPQ, & RIK donnent M R (a). M P(x): : MP,X; Me E RI; & MR, a', MP, x, :: MQ, ou RI, ** ; KI, ou Kl, , pour l'expression de la force laterale parallele. Les mêmes triangles donnent MR, a, PR, Vaa—xx :: RI, * xx V aa--XX RK, pour la laterale parallele. On aura a аа ad our chan oncle dincidence les expreffionis pour la laterale parallele. xx Vaa-xx pour la laterale perpendiculaire. 38. Et lorsque les angles d'incidence sont inégaux, Si le Auide rencontre les deux surfaces fous 1 fluide 61 ; il est évident que le sinus d'incidence MV, 41. Tout ce que nous venons de dire sur l'effort 42. Pour déterminer la fituation de la voile par ra port à la route & à la dérive des vaisseaux dont les FIG. 12. coupes horisontales de la carene sont des poligones , sa per |